(charlie&wilby) new dudley member

prête à reprendre tes bonnes vieille habitude, ta chambre a meilleure allure et ton sourire en dit long. retrouvaille avec tes meilleurs amis, tu te sens d'attaque pour entamer cette nouvelle année. peut être la dernière ? tu n'en sais trop rien. tu profites de ton après-midi de libre pour venir à la dudley. t'aimes le côté conviviale de cette confrerie. membre depuis le début. tu arrives tranquille, porte qui se referme derrière toi. la confrerie se rempli à ton plus grand bonheur. tu es rentrée trop tôt de tes vacances, et ce brouahah te manque un peu. tu marches tranquillement et là tu croises son regard. âme perdu, tu plisses les sourcils et finis par t'approcher de lui. " perdu, c'est sa ? " tu n'es pas méchante charlie, tellement pas que tu accueilles sans difficulté les personnes qui s'offrent à toi.  

t'es gentille charlie, tu as toujours aimé aller au devant des choses. sociable, tu n'as jamais eu aucun problème pour aller vers les autres. assise tranquillement dans le salon, tu as très vite remarquer qu'il était perdu. regard qui scanne tout sur ton passage, tu l'as suivis pour venir à sa rencontre. tu souris et finis par dire en grimaçant légèrement. " oh sa se voit juste un petit peu beaucoup " tu rigoles légèrement et finis par rajouter. " t'en fais pas, sa fait sa à tout le monde. c'est une habitude à prendre " tu hoches la tête pour accompagner ta réponse. tu l'observes, difficile de ne pas remarquer la béatitude de ce mec. " je t'ai jamais vu à harvard, tu commences cette année ? " tu l'aurais remarqué si sa avait été le cas. oeil avisé, difficile de passer à côté d'un canon. tu te rapproches pour regarder le plan qu'il avait dans les mains. " alors... c'est un ancien plan " tu souris " ils ont fait des travaux cette été et on dirait qu'ils t'ont pas donner le bon plan " tu lui prends et dis en avançant dans le couloir " tu veux que je te montre tout ce qui a à savoir ici ? "

En voyant la jeune fille qui venait à mon secours, je ne pus qu’être heureux d’avoir choisi de venir à Harvard. Ainsi que d’avoir intégré cette maison. Il semblerait que j’ai fait le bon choix. Même si en en étant perdu, je ne montrais pas le meilleur de mon côté. « C’est ça. Je suis un de petits nouveaux. » Dis-je tout en sachant que je n’allais pas être le seul et l’unique nouveau de cette rentrée. Mais surement le seul avec mon âge… Je ne sais pas vraiment si c’est une bonne chose ou non. Lorsqu’elle s’avança vers moi afin de regarder le plan, je pus sentir sa douce odeur. Je n’écoutais même plus ce qu’elle me disait. « Hein ? » Demandais-je, n’ayant pas entendu ce qu’elle venait de me dire. « Ah … oui, avec plaisir. » Elle m’avait bien demandé si je voulais qu’elle me fasse une petite visite non ? « On peut commencer par ta chambre d’ailleurs. » Non parce que j’aurais tout mon temps pour voir le reste du campus par la suite.

tu souris bêtement, tu es une habitué de ces lieux, alors les nouveaux tu les repères facilement. tu viens à la rencontre d'un d'entre eux. tu t'avances vers lui, machinalement, spontanément. tu regardes les vieux plan qu'il avait entre les mains, tu ricanes légèrement. plus rien ne correspond au plan. tu lui demandes gentiment s'il veut un peu d'aide. regard qui se croise, il semble troubler. tu rigoles et lui dis : " ça va ? " tu sembles l'avoir troubler. du moins c'est ce que tu perçois. tu recules un peu et finis par lui dire : " tu peux le mettre à la poubelle, il te servira à rien " que tu dis en pointant son plan qu'il avait encore entre les mains. tu commences à marcher et là, ton visage se tourne directement vers l'inconnu. tu souris et tu finis par rigoler. " par ma chambre ? " tu le regardes et te stoppe en croisant les bras contre ta poitrine. " on va d'abord allez voir la tienne " que tu lui fais avec un clin d'oeil. tu t'avances de nouveau pour regarder le numéro de chambre qui lui était attribuer. tu fronces des sourcils. " oh.. je connais ton colocataire. " zed burgess, ton meilleur ami. " impossible que tu ne te sentes pas chez toi dans cette chambre. "

Je peux vite être troublé par une femme. Je l’avoue. Je les aime tellement que je peux vite me perdre dans leurs regards, boire leurs paroles, ou encore m’enivré de leur parfum. Mais je retrouve aussi très vite mes esprits afin de tout faire pour qu’elles se retrouvent dans le même état que moi. Oui, j’aime tout faire pour leur faire tourner la tête. « Oui oui, ça va. » Répondis-je tout en lui souriant. Je regarde mon plan et dès la première poubelle rencontrée, je le jetterais. Si elle me dit de le faire, soit. « La mienne, hein ? » J’aimais sa répartie. Cette fille me plaisait bien. « Mon colocataire ? Ils m’ont foutu avec quelqu’un ? » Pestais-je. Ceci n’était pas une bonne nouvelle. Comment allais-je pouvoir ramener de jolies jeunes filles, comme celle-ci, si je dois partager une chambre. Bon, ce n’est pas si grave. Je vivais bien dans la rue et cela ne m’a jamais stoppé. Je trouverais bien une solution. « Et toi ? Tu n’as pas une place dans ta chambre pour un petit nouveau ? » Non parce que tant qu’à faire … autant directement la partager avec une femme.