les retrouvailles w/zed

c'est reparti. retour précipité, tu as voulu revenir avant l'heure dans ta chambre de confrérie. tu es comme sa, prévoyante. porte ouverte, tu te fiches bien d'avoir ton petit coin tranquille. tu es en manque des autres, tu veux voir du monde. alors tu te places à des points stratégique. un sourire, un ça va, une discussion. harvard t'a manqué mais aussi tes amis zed et jade. tu regardes machinalement l'heure de ton réveil, tu sais qu'il est trop tôt et qu'il ne rentrera pas avant ce soir. tu prends ton mal en patience, tu ranges, tu jettes les choses inutiles et tu retrouves des reliques. sourire au lèvre, tu te raccroches de nouvelle photo sur ton mur. âme d'enfant, tu aimes faire ces choses débiles. tu prends ton casque et tu le portes à tes oreilles. la dudley est encore trop calme, alors tu t'occupes l'esprit pour éviter de regarder ton reveille. tu n'entends même pas les doigts qui claquent contre ta porte, tes plongés dans ta chanson de Bishop Briggs - river -. tu chantes faux et tu t'en fous.

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LES RETROUVAILLES
[ DUDLEY HOUSE LE 28/09/2021 ]
@Charlie Sanders
tu pensais arriver beaucoup plus tard à boston. de ce fait, avant de rejoindre ta meilleure amie dans sa chambre à la dudley, tu passes rapidement à l'appartement histoire de faire tourner une première machine de fringues, ranger un peu tes affaires. ouais bon ça, non. t'as pas su faire. tu t'es contenté de jeter la reste de tes fringues dans ta chambre. un peu partout. histoire de montrer que t'es de retour à ceux qui viendront s'aventurer dans cet appartement. tu prends soin d'aérer quand même, sous la demande de sean. bon, toi c'est pas la première chose que t'aurais fais, mais du coup t'en profites. puis t'arrives enfin à la dudley. wow, ça fait des mois que t'as pas mis les pieds ici et clairement, c'est que du kiff. ta deuxième maison ici, sans déconner YOOOO ! que tu cries en sautant à pieds joints dans sa chambre. sauf que, malgré le fait que t'aies crié, elle ne t'entends pas. tu t'avances alors vers elle, puis te jettes à ses côtés sur le lit, battant des cils, histoire de te faire un peu remarquer quoi, héhé.

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tu fredonnes, réalité qui s'évapore le temps d'un instant. bulle qui se forme, tu patientes comme tu peux. tu t'occupes l'esprit pour ne pas avoir le regard braqué sur ce réveil. tu as toujours été impatiente. c'est comme ça, difficile à gérer. tu continues à trier les papiers qui te sert à rien. lit qui bouge, ton visage se redresse et là tu croises le regard de ton meilleur ami. il n'a pas le temps de réagir que machinalement ton corps se jette dans ses bras. tu le fais tomber en arrière, buste qui s'allonge sur ton lit. tu l'écrases avec ton petit corps et tu t'en fous. tu retires ton casque toujours sur lui. " mais bordel, il est que 18h, t'es en avance " dis-tu en souriant bêtement sans pour autant le lâcher. tête qui se colle à la sienne. tu patientes quelques seconde profitant de ce moment de retrouvaille et la, ton visage s'éloigne pour pouvoir le regarder " même après plusieurs heures de vol, tu sens bon " tu rigoles légèrement. tu te pousses un peu sur le côté pour le laisser respirer. vous êtes allongé sur le lit et mains qui se rejoignent sur le milieu de son torse, tu poses ton visage dessus, c'est comme sa entre vous. fusionnel. " t'es vraiment super bronzé et c'est quoi sa.. ? " tu passes ta main dans ses cheveux et tirent légèrement, cheveux qui semblent avoir poussé.

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[ DUDLEY HOUSE LE 28/09/2021 ]
@Charlie Sanders
et si elle pensait être tranquille, elle se foutait le doigt dans l'oeil. parce que quand t'es dans les parages, et surtout dans SES parages à elle, ya aucune chance qu'elle puisse souffler. mais en réalité, elle aime ça, t'avoir dans les parages. même si t'es un boulet, même si t'aimes user et abuser de sa patience. c'est comme ça depuis toujours. et au fil des années, elle est devenue aussi perchée que toi chacha. tu sautes, t'étales de tout ton long sur son matelas, puis quand elle s'allonge sur toi, retire son casque, tu te mets à grimacer de douleur comme pour lui faire comprendre qu'elle t'écrase. mais en vrai, elle est toute légère yep. bah du coup, on aura l'temps d'aller chercher macdo. tu te le rêves ce macdo. d'ailleurs, t'as rien acheté pendant le vol, préférant attendre le moment de manger ces bons nuggets/frites. les moments de tendresses prennent vite le dessus. ça te fais du bien de la retrouver. charlie, c'est ta meilleure amie d'enfance, ta soeur, ta confidente, ta moitié... le meilleur moment que t'as vécu à boston depuis toutes ces années, c'est quand elle t'as fais la surprise de venir s'y installer. tu voyais clairement pas ta vie sans elle ici. petit compliment sur ton odeur, qui n'a pas bougée malgré les heures de vol, qui te fais légèrement pouffer. tu bombes le torse, tout fier et j'ai même pas mis d'parfum. c'est fou hm ? mais oui, tu sens bon naturellement. le frais, la soupline, tout ça tout ça quoi. non en réalité, ya du parfum + du déo sous les bras. elle dirait pas la même après un match ou un entrainement. puis, plongeant ses doigts dans tes bouclettes, tirant quelque peu sur ces dernières, tu secoues rapidement la tête puis passes tes propres doigts dans tes cheveux ouais, j'vais me laisser pousser les cheveux jusqu'aux épaules à peu près. le pire, c'est que tu serais capable sur un délire de plus te couper les cheveux comme ça, tu pourras me faire des tresses. tu seras sa tête à coiffée humaine, si elle veut. puis, tu relèves le bas de ton jogg, dévoilant tes chaussettes zelda mate ça... c'est des nouvelles. la classe ou pas ?

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c'est comme sa avec lui. fusionnel. vous avez toujours été habitué à vivre comme sa. l'un avec l'autre, ensemble même à des millions de kilomètre, vous étiez inséparable. point de ton corps qui l'écrase, sa grimace te fait froncé des yeux mais tu bouges sans rien dire. probable que tu es prit un peu de poids ou de masse musculaires. T'en sais trop rien, tu n'as pas été voir. " mais carrément et on aura le temps de " et là, t'imites une cigarette que tu tiens dans les mains. fumé imaginaire que tu relâches dans les airs, il sait de quoi tu parles. il t'a tenté l'autre soir en parlant de joint. tu veux recommencer. tu souris bêtement contente d'avoir retrouver ta moitié. " menteur tu sens le déodorant et le parfum " t'es flatté. tu passes une main dans ses cheveux. ils ont poussé. " ah ouai ? genre comme les miens ? " toi tu les as coupé un peu. carré qui te va plutôt bien, tu n'as jamais trop apprécier tes cheveux. tu te redresses pour le lui montrer. " mais carrément " que tu dis en souriant. cobaye depuis toujours, il savait à quoi s'attendre. tu mattes ensuite ses chaussettes. tu te redresses un peu plus puis vient relever un peu plus son jeans. " et tu m'en as pas prit une paire ? " que tu dis avec un petit regard d'enfant. tu finis par te lever et tu te places devant lui. mains qui se placent sur tes hanches. tu le regardes encore étaler sur ton lit. " au faite.. " et là tu décides de bouger pour aller chercher ce qui t'as pris une bonne petite heure cette après midi. Tu sors de ton tiroir, ton nouveau jouet. " prêt à l'utiliser ? " que tu dis en souriant et en lui montrant le téléphone à ficelle que tu avais construit. " t'as la chambre juste à côté de la mienne "

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[ DUDLEY HOUSE LE 28/09/2021 ]
@Charlie Sanders
s'il y a en a bien une qui est aussi légère qu'une plume, c'est bien elle. mais au vu de sa tête toute boudeuse, elle a pas saisit la blague. mais elle semble bien vite préoccupée par autre chose. fumer. tu pouffes comme un con en la voyant faire le geste. sérieux ? ça fait des années qu'elle a pas touché à un bédo. toi qui pensais qu'elle se dégonflerait. t'hausses les sourcils, puis te mets en tailleur sur le lit, sortant de ta poche un bédo que t'avais préparé avant de partir tout à l'heure tu parles de ça ? tu te lèves vite ouvrir la fenêtre de sa chambre puis revient t'asseoir en sortant un briquet que t'avais pris soin de prendre aussi. au cas où elle n'en ai pas. comme les tiens ouais. en plus soyeux et ondulés pour moi. tu secoues légèrement la tête pour faire bouger tes bouclettes. bon, en réalité, tu comptais les faire recouper un peu tu trouves pas qu'ça me donne un petit côté surfeur ? entre les cheveux longs, les bouclettes, et le bronzage ? tu portes le bédo à tes lèvres, acquiesces d'un signe de tête en l'allumant biensur que je t'ai pris des chaussettes. j'ai juste oublié de les apporter. je te les amènent demain ou lundi. et elle saura pas ce que c'est comme motifs. mais elle kiffera, pour sur. puis tu la regardes se lever et te montrer le téléphone à ficelle qu'elle avait surement fait elle même. recrachant la fumée, tu te penches pour lui prendre des mains et l'inspecter, tout en lui faisant passer le bédo énoooorme ! on teste ? tu te lèves d'un bond, t'approches de la grille d'aération, la retire puis y fait passer la ficelle. puis, tu replaces la grille et sans rien lui dire, tu te rends dans ta chambre, jusqu'à la grille, plaçant la boite de converse à l'oreille vas y, parles moi ?

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corps masculin qui se redresse sur ton lit, tu l'observes et ton sourire s'allonge au fur et à mesure. sa main vient attraper l'objet que tu mimais. tu n'as pas oublié, et aujourd'hui, tu veux fêter vos retrouvailles comme il se doit. " c'est exactement de sa que je parlais " zed se lève pour ouvrir la fenêtre, toi tu t'approches de la porte de ta chambre que tu refermes. tu viens t'asseoir de nouveau à côté de ton meilleur ami et tu le regardes... " j'avoue... sa te va bien " tu souris et finis par rajouter " le côté surfeur a du bien marché pendant les vacances hein, t'en a pécho combien des filles comme sa ? " il s'éclate et il a raison. tu l'encourages dans ce sens, toi sa te rassure de le savoir comme sa. " sérieux ? " tu les imagines déjà tes chaussettes. " han t'es un amour ". d'ailleurs, toi aussi, tu lui as pris un petit cadeau mais tu ne l'as pas encore emballé. tu lui fileras une prochaine fois, là maintenant, tu veux juste profiter de sa présence. tu te lèves pour aller chercher ton téléphone ficelle. Il te donne le bedo et prends le téléphone. " va y " tu apportes le poison à tes lèvres et tu tires une première latte. tu ne fumes peut être pas mais tu sais qu'il ne faut pas tirer trop fort. tu t'assis sur ton lit pendant qu'il met le téléphone en place. il part dans sa chambre et tu prends la boite de conserve. " putaiiiiiiiin sa marche " que tu dis en rigolant. " tu crois que si je tire sur le bedo et que je souffle dedans, sa arrivera jusqu'à toi " t'es bête charlie mais tu sens déjà tes muscles se relâcher. " je crois qu'on a plus besoin de nos téléphones. t'es au courant qu'on est insupportable ? " toi sa te dérange pas, mais tu vois déjà les remarques des autres fusées.

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[ DUDLEY HOUSE LE 28/09/2021 ]
@Charlie Sanders
t'hausses les épaules bah non, j'ai pas pécho tant que ça. et c'est vrai en plus. pourquoi tout le monde croit que tu pécho de ouf ? c'était pas du tout ton objectif premier au summer camp. l'occasion s'est souvent présentée, c'est vrai, mais l'envie n'était pas là. parfois, t'as l'impression que ta relation passée avec nina n'est pas encore bien enterrée. comme ci tu n'arrivais pas à faire ton deuil. que ça t'empêches d'avancer. tu t'es longtemps dis que tu terminerais avec elle. que c'était ton âme soeur, l'amour de ta vie et qu'aucune fille n'était faite pour toi à part elle. mais quand t'en parles aux gens, il se pourrait que dans ta tête ce soit bel et bien terminé. même si t'évites à tout prix le sujet. tu préfères rester vague sur ce sujet. t'y penses déjà assez. et quand tu vois sa tête enthousiaste quand elle apprend que tu lui a prit une paire de chaussettes à elle aussi, tu peux pas t'empêcher de sourire. t'allais surement pas oublier de lui en acheter à elle aussi. il est temps de tester le téléphone à ficelle. tu te rends dans ta chambre, testes et pouffes tout en disant yeah, vous m'recevez cinq sur cinq sanders ? elle confirme puis tu te mets à rire à sa remarque tout en t'essayant par terre à côté de la grille d'aération allez, recrache la fumée et j'te dis. non mais ouais, on est pires qu'insupportables. c'est pas nouveau. et faut dire elle est pire que toi.

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il pourrait pourtant. simple déduction que tu fais. zed a toujours été un homme que l'on regarde, qui interpelle. tu as souvent pu le remarquer, regard féminin et parfois masculin qui se posent sur lui ou qui laisse leur numéro derrière un ticket de caisse. tu sais pourtant qu'il ne joue pas de cette situation. " moi non plus " que tu dis en souriant. tu as pourtant toujours fonctionner comme sa, t'écartant de toute relation sentimentale pour te concentrer uniquement sur ton plaisir. zed part dans sa chambre et toi tu t'allonges dans ton lit, joint entre les doigts, tu profites pour fumer une première fois. " cinq sur cinq agent burgess. " que tu dis en rigolant légèrement. connerie plus grosse que tes doigts de pied, vous ne vous arrêtez pas quand vous êtes ensemble. " depuis quand on se préoccupe des autres ? " tu souris, vous ne l'avez quasiment jamais fait en cinq ans ici. c'est vous et votre univers. " allez je vais recracher la fumé " tu prends une grande inspiration fumé, qui se bloque dans ta bouche, tu sais que tu ne dois pas l'avaler. tu apportes la conserve à ta bouche et souffle dedans. " aloooooors ? " tu sais qu'il y a peu de chance qu'elle parvienne jusqu'à lui mais sait-on jamais. prit dans votre petit délire. ton oreille finit par se tendre en entendant une voix. tu fronces les yeux. tu la reconnais cette voix. " zed... je crois que ma grand mère est là ! " t'en est presque sur. " putain ! le bédo, j'en fais quoi ? "

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[ DUDLEY HOUSE LE 28/08/2021 ]
@Charlie Sanders
le jour où t'auras vraiment fait le deuil de ta relation sérieuse passée, là tu pourras enfin un peu plus te lâcher. tu te rends dans la chambre voisine, qui est désormais la tienne, après avoir fait passer votre petite 'invention' qui n'en est pas une, par la grille. tu lui dis de recracher la fumée puis te reçois un tout petit nuage. bon, c'est pas ouf, mais ça a marché ya mieux, mais ça maaaaarche meuf ! vas y j'arrive, je vais test.. hein ? c'est là qu'elle te dis que sa grand-mère arrive et quand tu comprends qu'elle ne sait pas quoi faire du bédo, tu lui cris euh... bah écrase le avec ton pied et balance le par la fenêtre, tout simplement! tu te lèves, ouvres la porte de ta chambre d'un coup sec et te retrouves face à la doyenne. grand sourire, tu lui fais signe de rentrer le temps de l'occuper pour que l'odeur s'en aille dans la chambre de charlie venez voir la vue ! elle est impressionnante d'ici. vue sur les jardins. vraiment une tuerie. elle fronce les sourcils, se pointe à la fenêtre et évidemment, la vue était pas aussi belle que tu le prétendais AH. non, j'me trompe tout le temps. c'est la vue de mon ancienne chambre qui donnait sur les jardins. ça va vous sinon ? vous passez rarement par ici. charlie est dans sa chambre, mais d'abord, j'veux vous montrer ma nouvelle collection de chaussettes.. et là, tu te rends vers l'armoire, l'ouvres et commence à tout déballer. sauf que lorsque tu te retournes, tu vois qu'elle est déjà partie. ah. ok. tes chaussettes l'intéresse pas. pff, elle sait pas c'qui est bien. espérons que l'odeur dans la chambre de chacha soit partie.

- fin du rp -

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