qué mas pues?

trop changer, ouais. personne ne me reconnaîtrait, pas même tiffany qui a eu du mal. tatouages, percing, coupe, muscles, tout a changé chez moi, j'hoche vivement la tête. je me dis que c'est pas plus mal qu'elle ne m'ait pas connu à l'époque, je préfère montrer ce que je suis maintenant plutôt ce que j'ai été. ma main sur sa joue, elle s'approche et me fait décocher un petit sourire au coin de mes lèvres. m'approchant un peu plus, réduisant clairement l'écart entre ses lèvres et les miennes, le sourire toujours présent, je murmure : ce n'est pas mon genre de demander la permission. et je n'attends pas pour déposer mes lippes sur les siennes.

Bon c’est bien beau de parler de la pluie et du beau temps mais, t’es pas certaine qu’il t’ait envoyé cette invitation pour ça. T’as d’ailleurs longtemps hésité avant de lui répondre, pesant le pour et le contre. Seulement tout le monde te demande de lâcher prise, de profiter, de t’amuser. Et même si c’est difficile, t’as envie de suivre leurs conseils car il semblerait que les tiens ne soient clairement pas les meilleurs. Il te complimente et tu esquives un sourire avant de lui demander si c’était une curieuse proposition. Il se rapproche à son tour et tu sens ton cœur battre un peu plus vite parce que tu ne sais pas si c’est une bonne idée. T’es yeux passent de ton regard à ses lèvres. Il dit ne pas avoir besoin de demander la permission et finit par poser ses lèvres contre les tiennes. Tu décides de faire le vide dans ta tête. Tu fermes les yeux pour te concentrer sur le moment et pas sur tes pensées. Et finalement, tu réponds à son baiser sans te poser de questions. Comme quoi tout est possible !

j'aime parle, j'aime séduire, je dois l'avouer. mais, je suis très loin d'être patient. non, je préfère m'amuser, je veux réellement plaire. j'ai ce besoin de plaire. elle me demande si c'est une façon cachée pour l'embrasser, sourire aux lèvres, je lui fais comprendre alors que je n'ai pas besoin de permission. non, jamais. je m'approche, ma main sur sa joue, mes lippes qui se posent sur les siennes. fermant les yeux, profitant de ce baiser, elle y répond favorablement. main descend le long de sa joue vers le bas de son corps, ses hanches, elle passe en-dessous de son haut, touche sa peau sans pour autant que mes lèvres n'arrêtent d'être collés aux tiennes.

Donc c’est à ce moment précis que tu es censée faire le vide dans ta tête pour te concentrer exclusivement sur le moment présent. C’est à ce moment qu’il faut que tu profites des petits bonheurs du summer camp comme, les vacances sans stress, le soleil qui réchauffe ta peau, le bruit des vagues qui glissent sur le sable fin et les douces lèvres d’un parfait inconnu rencontré sur les réseaux. C’est donc à ce genre d’activités que se livre les demoiselles une fois les cours terminés. Elles disent adieux à toute forme d’obligations pour juste… profiter. Et tu fermes les yeux pour apprécier cet échange. Ta langue retrouve sa jumelle pour une danse endiablée. Ton corps se rapproche dangereusement du sien. Tu frissonnes au contact de ses doigts sur ta peau. T’as à la fois envie de plus mais aussi de reculer en un bond. Doux mélange de sensations et sûrement d’incertitude quand au comportement que tu dois adopté. T’as toujours su où tu allais et pourtant au fil du temps, il semblerait que tu régresses. La Colombe sure d’elle est à des années lumière de cette terre. Elle regarde la scène d’en haut et rigole devant le spectacle qui s’offre à elle.

Tu es la, sur la plage, en train d’embrasser un parfait inconnu, frissonnant suite à ses caresses. Depuis que ses mains se sont posées sur ton corps, ta respiration s’est emballée. Tu bascules en arrière. Ses lèvres viennent se nicher dans ton cou. C’est peut-être ce qu’il n’aurait pas du faire. Car t’as le temps de réfléchir. T’as le temps de culpabiliser. Tu te mords la lèvre inférieure en essayant de te vider la tête. Mais t’arrives pas. C’est plus fort que toi. Tu fermes les yeux, inspires profondément. Finalement, tes mains viennent se plaquer contre son torse et tu murmures : Je suis désolée, je peux pas faire ça… Putain, la honte franchement. @B. Mael Velasquez

elle m'attire. enfin, il n'a jamais été compliqué pour moi d'être attiré par une femme, mes goûts sont polyvalents. je peux autant apprécier une blonde, une rousse ou juste une personnalité. cette colombe récolte pas mal de points dans mon for intérieur, j'aime ce côté là d'elle, un peu mystérieuse. on s'embrasse, son tee-shirt est vite sur le sable tandis que mes lèvres descendent jusqu'à son cou. et là. stop. mur. qu'ai-je fait de mal ? je me recule légèrement, restant à une certaine proximité d'elle tout de même. faire quoi? j'ai fait un truc qu'il ne fallait pas ? demandé-je doucement, posant mon regard sur elle.

Tu ne dis rien. Tu ne le connais ni d’Ève ni d’Adam et pourtant, vous vous retrouvez lèvres contre lèvres, ses mains posées sur ton corps. Seulement voilà, tu n’as eu personne depuis Nicolas. Tu n’as embrassé personne. Tu n’as laissé personne te toucher comme tu le fais actuellement. Et tu paniques. Comme un brin de trahison alors qu’il a clairement dit que c’était terminé entre vous. Tu déglutis, tu t’excuses en le repoussant légèrement, quelque peu mal à l’aise. Il se redresse légèrement et tu inspires profondément tandis qu’il te demande ce qu’il a fait. Je peux pas aller plus loin avec toi. J’arrive pas. Tu secoues la tête comme pour te remettre les idées en place. C’est pas toi, c’est moi ! Phrase typique évidemment.