Tu secoues la tête. Pas intéressée pour une histoire avec un de ces gamins. Et puis, la réalité te rattrape. Kassim te pose des questions qui te mettent un peu mal à l'aise. Est-ce que tu es heureuse ? Est-ce que tu sais t'amuser ? Est-ce que tu prends du temps pour toi ? C'est constamment ce qu'on te demande. Il t'attrape les bras et tu roules des yeux en soupirant, le laissant terminer son discours. Il t'énonce une liste de crimes que tu aurais potentiellement pu commettre. T'as toujours été une gentille fille bien rentrée. Tes parents t'ont bien éduqué. Tu t'es toujours tenue à carreaux parce que c'est ce qu'on t'a dit à l'orphelinat, il faut être sage si on veut tomber dans une bonne famille. D'autant plus si tu voulais rester avec ton petit frère. Il doit être en train de se demander pourquoi Baker t'apprécie autant. Est-ce qu'il a vu chez toi d'intéressant à exploiter... Baker t'a jamais trop rien dit sur moi, pas vrai ?! Parce qu'il saurait que tu es une fille bien. T'as pas peur du danger mais, tu cherches pas les ennuis. Tu te fais toujours discrète. J'ai jamais rien fait de tout ça mais, je m'en porte bien. Tu esquives un sourire en haussant les épaules. Et je suis heureuse dans ma vie. Du moins, autant que tu peux l'être avec ton passif et les problèmes d'argent !
(Jules Weaver)
some of us are aware, that it's good for us to care. some of us feel the icy wind, of poverty blowing in the air for those of us who simply like to socialize, for those of us who tend the sick and heed the people's cries. let me say to you, right on.