(avla) tonight i'm feeling free

@Layla Rothschild Sourire amusé, clairement taquin lorsque ses mots parviennent jusqu'à toi "t'es trop parfaite pour être vraie." tu lui réponds la joie dans les traits. Te faire à manger si les sushis n'allaient pas ? t'en demandait pas tant. Honnêtement tu n'attendais rien de cette soirée, juste rentrer chez toi après le travail, et voilà que tu es en passe d'avoir tout. Vos lèvres qui se rencontrent, qui se retrouvent, un peu trop facilement, un peu trop naturellement. C'est trop facile, à quel point c'est naturel, c'est louche et bien pourtant t'es vraiment pas près à te poser mille questions. Tu ris doucement en reculant, passes une main dans tes mèches brunes pour les repousser de ton front, laisses retomber ta main et croises même tes avants bras devant ta ceinture pour cacher… cacher l'effet qu'elle te fait à balancer des trucs pareils. Oui car dans ta tête le fantasme a bien trop vite muri. Dans d'autres circonstances, la chaleur de ton corps n'est plus du tout un problème car il est là contre le sien, nu. Tu secoues la tête pour chasser ses pensées, ne retires pas tes mains car t'es un peu gêné, et files dans la direction qu'elle t'a indiqué en ne pouvant te retenir avant de partir "je me dépêche." déposant un dernier baiser au coin de ses lèvres avant de filer dans la salle de bain. Douche rapide, tu ressors et enroules la serviette qu'elle t'a donné autour de ta taille. T'as pas d'autres affaires évidemment, tu devras enfiler ta tenue de tout à l'heure pour repartir, mais en attendant, tu t'amuses à la rejoindre dans ta tenue d'Adam seulement accessoirisée de la serviette resserrée autour des hanches.

@Avery Langford T’es trop parfaite pour être vraie. Sourire énigmatique qui vient s’ancrer sur tes lèvres quand t’entends le mot parfaite. Il t’avait visiblement bien cerné. Première fois qu’on t’offrait un tel compliment. Quand bien même t’étais pas certaine à 100% qu’il était honnête avec toi, tu ne pouvais qu’admettre à quel point ces quelques mots t’avaient réchauffé ce coeur glacé. Tes mots à leur tour ont eu l’air de le tourmenter. De le toucher. Faisant jaillir ce feu ardent qui venait de prendre place au niveau de son intimité. Baiser rapide à ton intention et le voilà qu’il prenait la direction opposée. Te certifiant qu’il ferait vite. Le désir qui s’éveille, la lèvre inférieure mordillée, réprimer cette envie démesurée de le rejoindre. Invitation inexistante, t’allais pas l’astreindre de cette manière. Profitant de son absence pour remettre tes idées en place. Avery représentait ton jardin d’Éden. T’offrant réconfort et bonheur dans cet endroit paradisiaque. Et ses lèvres, sources du bien et du mal, éternelle tentatrices, essayant sans cesse de te faire céder. Et de commencer ainsi ce fruit tant convoité, tant défendu. Tu perdais le contrôle avec lui. N’arrivant plus à manipuler. Ni à te servir de lui. Tes gestes, tes mots envers lui se voulaient spontanés. Naturels. Et c’était précisément ça qui t’effrayait. L’huile de massage qui attendait sagement sur la table basse, il ne tarda pas à te rejoindre sur le canapé. Parfum d’un gel douche qui vient embaumer ton coeur, prisonnier de cette passion naissance. « Allez viens t’allonger sur le ventre, je suis censée être la première à te montrer ce que je sais faire. Du coup je vais le faire maintenant… » tu lui annonces, attendant qu’il s’exécute pour venir s’installer sur ses fesses. Proximité effrayante mais rassurante. Sentiments contradictoires. « Désolée tu vas devoir supporter le poids de mon corps pendant un moment » tu t’excuses, te penchant vers sa nuque pour y déposer tes lippes. Il était dos à toi, complètement vulnérable, et tu comptais bien en profiter. Les mains enduites d’huile, concentration à son maximum tandis que tu t’appliquais à lui masser le dos. Sensualité et érotisme à son paroxysme.    

@Layla Rothschild Toujours cette impression de jouer avec le feu dans le bide, marcher sur une corde raide ou le moindre geste, le moindre mot, le moindre regard pourrait tout faire basculer. C'est clairement ça, Layla et toi. Pourtant tu adores ça. Et malgré tous les hauts, les bas, les faux départs, les feintes, les retours, tu serais capable de plonger dedans la tête la première, juste pour ces moments là. Comme ici et maintenant, lorsque son sourire hypnotique t'invite à approcher. Tu t'excuse docilement, vas t'allonger sur le canapé, la serviette encore uniquement présente pour dissimuler ta taille et tes cuisses. C'est excitant, l'idée de savoir que ce seul et unique tissus épais fait office de remparts à tes plus grandes idées fantasmées. Tu la sens s'asseoir sur le haut de tes fesses, au bas de ton dos, croises les bras devant ta tête et déposes une joue sur tes avant bras. "ça va aller layla, t'es toute légère." Layla, Layla, Layla. Tu te lasses pas de la saveur de ce prénom sur ta langue. Tu sens ses lèvres se déposer sur ta nuque, frisonnes légèrement et tes muscles se contractent lorsque l'huile fraiche glisse sur ta peau. Puis tu t'y fais, apprécies son contact ses gestes, tes muscles se détendent, ses mains ainsi sur ta peau t'empêchent un peu de te concentrer "t'es trop douée de tes mains, ça me fait trop du bien." tu soupires les yeux fermés, comme sur ton petit nuage.

@Avery Langford Position très légèrement suggestive. Il t’offrait son dos, position vulnérable, ébranlable. Les opales attendries qui ne cessaient de fixer cette bouille à moitié endormie qu’il t’offrait. Nullement la première fois que tu le trouvais aussi mignon. Visage angélique qui t’attendrissait, beaucoup trop facilement. Tes mains enduites d’huile posées sur sa peau, tu viens te pencher vers son oreille droite. « C’est vrai ce mensonge Avery ? » Souffle contre sa nuque, la voix taquine. Tes doigts tracent un parcours, massant chaque parcelle de peau qui t’était accessible. Gestes contrôlés. Essayant tant bien que mal de te concentrer un minimum. Tentant de contrôler ces pulsions qui te submergent. « Ah ouais ? T’aimes bien ? Je te fais pas trop mal ? Tu sais… T’es le premier à qui je fais un massage… » Depuis Aden. Première fois que tu prenais le temps de montrer tes talents en matière de massage. Électricité statique qui charge la pièce. Les minutes qui s’écoulent, vous ne voyez pas le temps passer. Tes mains fatiguées posées sur ses bras, tu finis par t’allonger complètement sur lui. Sans réfléchir.  « Je me sens vraiment bien ici … avec toi… »   

@Layla Rothschild Elle est vraiment douée. Est-ce parce qu'elle à l'habitude ou qu'elle s'applique pour toi ? T'en sais rien, t'as pas à te poser cette question, juste à te détendre en profiter au maximum. Elle vient souffler contre ton oreille des mots qui te font frissonner. Long soupir, épiderme en feu, désir incontrôlable, heureusement que t'es allongé sur le ventre sinon cette histoire de massage ne saurait durer plus très longtemps encore. Elle t'avoue ensuite que c'est une première et… "vraiment ? je ne te crois pas, c'est pas possible, t'es trop agile pour que ce soit que la première fois." tu lances un sourire, effaçant la question d'une nouvelle phrase. Au fond elle n'a pas à te répondre, ça ne te regarde pas et t'as vraiment envie de savoir, en fait. Tu la sens s'allonger sur ton dos, prends plusieurs minutes pour te retourner et finalement te retrouver face à elle. "merci, c'était génial." Dans ton mouvement la serviette se détache et commence à glisser le long de tes jambes. T'appuies sur tes coudes pour pas que ton dos huileux ne touche le tissus "je suis plein d'huile, je veux savoir salir ton canapé…" tu souffles avant de te redresser pour de bon, prendre la serviette pour cacher l'avant de tes cuisses, venir attraper sa main et observer vos doigts s'entremêler en silence avant de finalement reprendre la parole. "je vais juste me rincer, promis je ne vais pas vider ton ballon d'eau chaude." tu ris doucement et te redresses mais ne lâche pas sa main. Vos regards se croisent encore, et dans le silence le tien parle, l'invite, lui fait comprendre que tu ne comptes pas la lâcher et même l'entrainer dans ton sillage.

@Avery Langford Tes gestes le front frémir. Tes mains contre son dos le font frissonner. Tu le sens. Tu le ressens. Et clairement t’es rassurée. Soulagée. De lui faire un tel effet. Sans chercher à comprendre pourquoi t’éprouvais un tel soulagement. Sans vraiment vouloir le comprendre. T’es trop agile pour que ce soit la première fois. Tes mains qui se figent. Le temps d’une seconde. Un court laps de temps. Durant lequel tu t’immobilises. Parce qu’il vient de surgir dans tes pensées. Aden. Et t’avais aucune envie de penser à lui. Pas maintenant. Et surtout pas avec Avery. Pouvant compter sur le fait qu’il était de dos pour ne pas voir ta réaction. Sourire ayant laissé place à une légère grimace. « Peut-être bien que non… » tu murmures à voix basse. Pas certaine qu’il puisse t’entendre. Secouant la tête pour le chasser rapidement de ta tête. Préférant te concentrer sur lui. Le présent. Pas le passé. « Si jamais t’as mal quelque part, appelle moi… » tu réponds, doux sourire qui reprend sa place sur tes lèvres. Le laissant se remettre face à toi. Serviette qui se détache et tes prunelles qui lorgnent sans gêne. Appréciant toujours ce tableau qu’il t’offrait. Les lèvres qui s’entrouvrent pour venir lui voler un baiser mais il te devance. S’éloignant pour se redresser. Et te faisant comprendre qu’il avait encore besoin de retourner sous la douche. Le sourcil arqué, la frustration qui te gagne et qui prend place dans ton coeur. L’abandon qui s’offre à toi. Encore une fois. Deux fois qu’il s’éloigne. T’allais vraiment finir par te poser des questions. Le palpitant désappointé, désarçonné par son changement de comportement, qui finit pourtant par être calmé. Rassuré. Sa main qui a attrapé la tienne, entremêlant vos doigts. Les regards qui se croisent, et là tu finis par tilter. Il venait de t’inviter à l’accompagner. Cette fois-ci. Visage qui s’illumine, lui offrant un sourire chaleureux, soulagée. Vos âmes liées qui finissent rapidement dans la cabine de douche. L’eau qui ruisselle sur vos deux corps enflammés. Chaque effleurement de sa bouche, chaque caresse, chaque frôlement du bout des doigts avait ce don d’éveiller en toi une extase indicible.

Le temps qui défile, incapacité à compter les minutes qui se sont écoulées. Les corps enveloppés dans une serviette, il vient te porter pour t’amener jusqu’au lit. Tes lippes qui viennent capturer les siens, l’obligeant à te position à califourchon sur lui. Les serviettes qui volent. Une main qui vient saisir sa tignasse, l’autre qui emprisonne la sienne. « Avery… T’imagines pas l’effet que tu me fais… » tu souffles, mots échangés pendant ces moments de pause où vos lèvres ne sont pas scellées. Ces moments de répit, bien trop long. Alors tu l’embrasses. Encore et encore.
  

@Layla Rothschild T'aimes cette façon que vos regards ont de parler ensemble, oubliant parfois complétement l'usage de la parole. C'est grisant, c'est excitant. Cette fille te fait de l'effet depuis la toute première fois que tu l'as vu, et malgré le fait que tu l'ai déjà eu, contrairement à bien d'autres t'as jamais su t'en trouver lasser. T'en veux toujours plus, depuis le spring break et votre rencontre écourtée. Tu veux l'avoir pour toi, la rencontrer d'une façon nouvelle, sentir la chaleur de son corps contre le tien, faire battre vos cœurs à l'unisson le temps d'une soirée. Est-ce que sera ce soir ? T'as tout fait pour la retrouvé, tu l'as retrouvé, et après c'est comme elle qui t'a convoqué avec cette commande de nourriture que vous avez finalement totalement oublié. Non ce soir c'est pas de nourriture dont t'es affamé, mais de quelque chose de bien plus délicieux. Dans la salle de bain, tu laisses la serviette tomber sur le coin de l'évier pour entrer de nouveau dans sa douche, mais cette fois tu ne lâches pas sa main, sauf le temps de l'aider à retirer tous ses vêtements. La température de l'eau est la même que quelques minutes auparavant, pourtant chaque goutte qui ruisselle te fait un effet glacé tellement ta peau est bouillante. Les baisers, les caresses, le désir, tout se mélange. Finalement après de longues minutes, vous voilà sortis et tu viens glisser tes mains suis ses cuisses pour la porter jusqu'à son lit. Elle te fait tomber sur le matelas, tu souris largement en la voyant se pencher à califourchon sur toi alors que vous vous retrouvez déjà nus comme des vers. Tes mains caressent la moindre parcelle de sa peau, ta bouche ne manque pas de suivre le chemin. Cette fois il n'y a plus rien pour vous arrêter. Pas l'alcool, pas les appréhensions, pas même vos idéaux ou vos cerveaux. Tout ça oublié et vous ne vivez plus que pour le désir qui va vous faire froisser ses draps toute la nuit.