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feels like we only go backwards | @Aden Standall
Les yeux fermés, tu laisses ton corps se mouvoir au rythme de la musique. Tu te déchaînes sur la piste de danse. Tu te laisses entraîner. Tu virevoltes. Tu tourbillonnes. Tu tournoies. Ne laissant aucune chance aux amatrices présentes ce soir-là. Ton bassin se déhanche avec grâce. T'as l'impression de revivre à nouveau. Tu respires. T'avais besoin de te déchaîner. De laisser éclater ta rage. Cette colère qui enflammait ton coeur. Mélangée à la tourmente. La laissant se déferler en toi. Douleur qui te comprimait la poitrine. A chaque fois que tu pensais à lui. À cet instant sur l’hydroglisseur. Ce moment où t’as compris qu’il t’avait laissé tomber pour une autre femme. Fallait croire qu’il avait un faible pour les blondes. Beaux spécimens en approche qui viennent t’aborder. Sourire enjôleur qui ne te quitte pas. Le regard qui ensorcelle, qui hypnotise leurs coeurs déchainés et avides de passion. Rigolant à la remarque de l’inconnu numéro un. Il te plait bien celui-là. Sa main qui vient se poser derrière ton dos, geste possessif à ton égard. Et tu le laisses faire. Venant lui murmurer quelques mots à l’oreille. Mode séductrice activé. Inconnu numéro deux t’apport ton verre, comme promis. Verre que tu bois d’un seul trait. Tu ne comptes même plus. Nectar royal qui te permet de canaliser sa rancoeur. Tu la contiens. Esprit endiablé du spring break qui te conforte dans cette idée de profiter. Et de ne plus réfléchir. N’ayant plus l’envie de te préoccuper d’Aden. Persuadée qu’il s’amusait bien lui. Avec sa nouvelle blonde. Qu’il y reste. T’es bien là. Ton corps pressé contre celui de l’inconnu numéro un. Ses lèvres qui viennent chercher les tiennes. Le repoussant subtilement. Voulant le faire patienter, augmenter considérablement son désir envers ton être. Tu lui offres ton cou comme substitut. Le seul endroit autorisé, pour le moment. On te sert à boire. Et tu continues de les vider. Les uns à la suite des autres. La tête qui tourne. Commençant lentement à tanguer. Mauvais signe. Ton corps qui t’informe qu’il serait temps de ralentir la cadence. Et tu t’apprêtais à le faire. À les remballer. Mais tu viens de le croiser. Ton regard ébahi qui percute le sien. Aden. Présent à cette soirée organisée dans une des nombreuses maisons hantées. Adossé au bar. Il t’observe. Il ne s’en prive pas. T’arques un sourcil, ayant envie de lui faire comprendre que toi aussi désormais tu pouvais offrir ta compagnie à n’importe quel être qui croise ta route. Lui faire comprendre que tu ne lui appartenais plus. Sa décision, ses choix. À lui d’en payer le prix. Tu fais volte-face, pressant tes lèvres ardemment contre celles de l’inconnu qui dansait à tes côtés. Et ton coeur qui criait au désespoir. Parce que c’était celles d’Aden que tu désirais. Depuis toujours.
Les yeux fermés, tu laisses ton corps se mouvoir au rythme de la musique. Tu te déchaînes sur la piste de danse. Tu te laisses entraîner. Tu virevoltes. Tu tourbillonnes. Tu tournoies. Ne laissant aucune chance aux amatrices présentes ce soir-là. Ton bassin se déhanche avec grâce. T'as l'impression de revivre à nouveau. Tu respires. T'avais besoin de te déchaîner. De laisser éclater ta rage. Cette colère qui enflammait ton coeur. Mélangée à la tourmente. La laissant se déferler en toi. Douleur qui te comprimait la poitrine. A chaque fois que tu pensais à lui. À cet instant sur l’hydroglisseur. Ce moment où t’as compris qu’il t’avait laissé tomber pour une autre femme. Fallait croire qu’il avait un faible pour les blondes. Beaux spécimens en approche qui viennent t’aborder. Sourire enjôleur qui ne te quitte pas. Le regard qui ensorcelle, qui hypnotise leurs coeurs déchainés et avides de passion. Rigolant à la remarque de l’inconnu numéro un. Il te plait bien celui-là. Sa main qui vient se poser derrière ton dos, geste possessif à ton égard. Et tu le laisses faire. Venant lui murmurer quelques mots à l’oreille. Mode séductrice activé. Inconnu numéro deux t’apport ton verre, comme promis. Verre que tu bois d’un seul trait. Tu ne comptes même plus. Nectar royal qui te permet de canaliser sa rancoeur. Tu la contiens. Esprit endiablé du spring break qui te conforte dans cette idée de profiter. Et de ne plus réfléchir. N’ayant plus l’envie de te préoccuper d’Aden. Persuadée qu’il s’amusait bien lui. Avec sa nouvelle blonde. Qu’il y reste. T’es bien là. Ton corps pressé contre celui de l’inconnu numéro un. Ses lèvres qui viennent chercher les tiennes. Le repoussant subtilement. Voulant le faire patienter, augmenter considérablement son désir envers ton être. Tu lui offres ton cou comme substitut. Le seul endroit autorisé, pour le moment. On te sert à boire. Et tu continues de les vider. Les uns à la suite des autres. La tête qui tourne. Commençant lentement à tanguer. Mauvais signe. Ton corps qui t’informe qu’il serait temps de ralentir la cadence. Et tu t’apprêtais à le faire. À les remballer. Mais tu viens de le croiser. Ton regard ébahi qui percute le sien. Aden. Présent à cette soirée organisée dans une des nombreuses maisons hantées. Adossé au bar. Il t’observe. Il ne s’en prive pas. T’arques un sourcil, ayant envie de lui faire comprendre que toi aussi désormais tu pouvais offrir ta compagnie à n’importe quel être qui croise ta route. Lui faire comprendre que tu ne lui appartenais plus. Sa décision, ses choix. À lui d’en payer le prix. Tu fais volte-face, pressant tes lèvres ardemment contre celles de l’inconnu qui dansait à tes côtés. Et ton coeur qui criait au désespoir. Parce que c’était celles d’Aden que tu désirais. Depuis toujours.
:copyright: lumos solem.
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