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Aimée Rothschild
naissance
16 Septembre 1996 à Londres.
nom et prénom (s)
Rothschild. De la grande famille Rothschild, tu sais, celle qui gère, depuis des décennies... si, tu la connais pas c’est que tu vis dans une grotte ! Ce nom de famille ne passe pas vraiment inaperçu, aux alentours de Londres, vu qu'y'en a un paquet, des Rothschild, plus ou moins apprécié : peu importe, le jugement de certaines personnes, comme dans chaque famille, y a son lot d’idioties et son lot de personnes qui sont vraiment dignes d’intérêt ! Aimee, bordel tu as le prénom d’une déesse Grec. Tu es cette voûte étoile où les regards se mirent et admirent la beauté, la douceur d’un matin d’hiver. Et, y a cette fameuse tradition qui fait que les triplés ont des prénoms identiques. Tu as donc le prénom d’un ange, inutile de se plaindre sweetie.
nationalité(s)
Anglaise. Ayant grandie là depuis toujours, tu aimes cette ville. British Girl. L'accent aux coins des lèvres. Dans l'arrondis de la langue. La prononciation qui chaloupe, qui coupe. C’est quand même drôlement con.
origine(s)
Père Allemand avec des origines lointaine maghrébines,néo-zélandaises, écossaise, anglaises et irlandaises. & Mère américaine canadienne aux origines brésiliennes.
orientation sexuelle
Bicurious. Perdue parfois entre les deux, peut-être pour échapper au quotidien. Malgré tout c’est bien les hommes qui font chavirer ton cœur. Leurs rires, sourires, tablettes en chocolat, yeux troublemaker.
statut amoureux
l'amour c'est pour les blaireaux. Et toi, tu veux pas être un blaireau. Alors, tu te dis que tu n'as pas besoin d'aimer, pas besoin de tout ça, de ce truc qui rend les garçons bêtes et les filles niaisent. C’est bien pour ça que t’es sentiments envers ton meilleur ami, tu ne préfères jamais lui avouer. Ça serait idiot de tout gâcher. T’as bien eu quelques petits copains, quelques relations toxiques, pour faire un peu comme tout le monde, mais c’était sans intérêt. Insuffisant à ton cœur qui réclamait beaucoup plus que ça. Et, puis Bailey arrive dans ta vie. Cet infirmier beaucoup trop séduisant, qui veut à tout prix te séduire et accaparer ton attention. Il avait été d’un grand secours quand ta sœur a eu son accident. Sauf que cela n’était pas suffisant. Lorsque tu as revu Tad et sa nouvelle copine, ton cœur brisé s’est mis à battre la chamade. Sur le coup, tu as inventer que toi aussi tu était heureuse en amour. Sortant avec Bailey pour tromper les apparences, c’était un mal nécessaire. Jusqu’à ce qu’il se mette à vouloir t’épouser. Oups ce n’était pas prévu du tout. Et, l’attachement que tu avais à son égard encore moins. Shut up mon cœur, que tu lui as dit, à ce putain d'organe qui se met à battre pour lui.
études
Marketing
bourse
E R R O R
statut social
Scandaleusement aisées à en perdre la raison ; ressentir le manque t’es inconnu, comme si tout était de marbre. Fille solaire qui plane sur cette lune, bien trop vaste et curieuse, ne dépense pas tout cet argent.
job étudiant
Animatrice des réseaux sociaux où tu as près de 5 millions de fans, qui te suivent grâce à tes performances de danseuse. Tu as aussi une chaîne Youtube sur laquelle tu publies des routines beauté et des vlogs.
— Toi, déesse de la lune, tu aurais pu être chez les Student, car après tout tu n’as besoin de l’aide de personne pour t’épanouir. Mais de par le statut privilégié que tu as hériter, il va de soi que la PH t’ouvrira ses portes avec joie. Tu es cette fille qui veut dominer le monde d’un mouvement de cil. C’est devenu ton havre de paix, faire partie des meilleurs et en plus de ça Mahé fait parti aussi de cette confrérie. Cela fait plaisir au paternel, on ne peut le décevoir c’est une évidence. Tu connais les valeurs les règles les moindres secrets de ces murs.
Tu aurais préférée rester à Londres, c’était bien les études là-bas. Mais famille oblige tu connais. Harvard est un vrai choix de prestige, la poupée de lune que tu es le mérite bien. C’est un choix évident. En plus votre trio est présent, donc que demander de mieux ? Tes notes au début laissaient à désirer, mais ce sont améliorer au fur et à mesure. Un essay fabuleux qui a rendu fier ton père, étant donné que c’était sur le monde des affaires. En observant le maître Rothschild, tu as pu acquérir certaines de ces qualités, qui ont plu lors de ton entretien. Jeune fille de bonne famille ; gracieuse, éloquente et pleine d’espoir pour l’avenir. Poupée désarticulée qui gravite entre la lune et le soleil.
Aimee, tu es une fille remplie d'ambivalence. Tu incarnes tantôt une tempête lorsque les choses ne conviennent pas, tantôt devient lumineuse et épanouie. Créative parce que sans art la vie serait triste et ennuyeuse. Franche et directe, quelque chose ne lui plait pas ? c'est simple, elle vous le fera savoir. Rêveuse, qui ne cesse de se projeter dans une vie lunaire, plus douce et pleine d’espoir. Soucieuse du bonheur des autres, touche à un seul être du clan Rothschild et la lionne montrera ses dents. Très protectrice, peu de personnes peuvent prétendre faire partie des gens pour qui tu serais prête à tuer. Impulsive, tu agis sous l’émotion et n’écoute très peu ta tête. Jalouse, la pire amie de la possessivité. La jalousie. "Pourquoi elle te regarde, tu la connais? Pourquoi je ne la connais pas ?", "Cesse de la regarder, c'est quoi, tu la trouves plus jolie?". Quand l'on ne te porte pas toute l'attention ou que l'on commence à s'éloigner, la jalousie se gratte peu à peu en surface afin de faire une jolie petite crise. Des verres brisés, il y en aura eu. Passionnée, tu es celle qui vit sa passion a 1000 pour cent, tu ressent les émotions tellement fort et tu l’es exprime dans n’importe quel forme d’art. Intelligente, toujours un nez dans un bouquin, un roman de Arséne Lupin ou bien regarder des films de thriller psychologique. Tu es bien plus maligne que ce que l'on pourrait croire. Lunatique telle la lune qui ne sait que faire, elle ne se décide jamais. un jour blanc, le lendemain noir. tableau changeant, dérangé parfois. cycle qui tourne en boucle. mains et pieds liés à jamais.Pleine d’énergie, Une vraie pile sur deux pattes. Consommatrice de café, tu sembles avoir besoin de peu de sommeil pour te recharger et tu es toujours prête à démarrer sur un nouveau projet, une nouvelle tâche, une nouvelle idée ou à sortir faire la fête. Tu sembles infatigable, au grand désarroi de certains, sans doute. Charismatique, du charme tu en détiens. Tu n'es pas narcissique, loin de là, mais tu sais que tu dégages une aura qui fait que plusieurs ne savent pas te résister, que ce soit pour l'énergie qui t'amène certaines amitiés, certaines confiances, que de ces gens qui espèrent plus. Drôle avec un humour décalé. C’est fou comme ton sens de l’humour est marrant et avec ce petit air très sarcastique c’est foudrement épique et drôle. Téméraire, le défi, le danger, le palpitant qui bat à toute allure, tu es une adepte de sensations fortes, d'adrénaline. Le danger t’excite, te rend comme une gamine qui attendrait Noël et les sensations fortes te permettent de te sentir vivante. Tu ne recules pas devant les défis, toujours prête à aller plus loin, qu'importe comment tu risques d'y laisser ta peau. bienveillante & altruiste depuis toujours tu fais passer le bien des personnes qui te sont vraiment chères avant le tien car dans le fond tu es incapable de goûter au bonheur si tes proches ne sont pas heureux. Tu participes à de nombreuses associations afin de rendre à ton échelle le monde meilleur. gourmande l'amour n°1 de ta vie, la bouffe, grasse de préférence (la pizza 4 fromage ). optimiste tu préfères voir le verre à moitié plein que vide. Enfin, sauf quand un mauvais truc t'arrive, les premières semaines sont dans une seule teinte de noir intense. Romantique, tu es tombée amoureuse de l'idée d'aimer avant même de tomber amoureuse. Ton premier amour était un personnage de livre, les mêmes livres qui te servaient d'évasion enfant.
on n'écrit pas de poème pour une fille qui en est u n
( Aimee dans son corsage, enserrée comme dans un étau au milieu des moeurs et des idéaux qu'on lui impose depuis le sevrage )
(1) S O L A I R E Aimee, la mer et les étoiles. le fracas des vagues, les doigts de pieds plongés dans l’écume, le regard perdu dans l’immensité de ce ciel couleur encre. La mer l’apaise. Mon dieu que c’est poétique. Et, tu y passes le plus clair de ton temps. Assise sur ton lit, tu t’aventures à rêver d’une autre vie. Quel serait cette vie ? les fesses au bord de l’eau, les écouteurs enfoncés dans les oreilles, le regard perdu au loin. Dans ta vie parallèle, tu es un peu égoïste. Le vent de tes mèches brunes, l’humidité de tes vêtements collés à ta peau fine. C’est un sentiment de solitude qui remplit ton cœur de bonheur. Comme si la mer n’appartenait qu’à tout ton être. Enfant solaire, qui rêve de milles choses ; comme gravir de centaines petites montagnes aux côtés de Danae & Mahé. (2) M E R C U R E étoile constante qui brille dans le ciel, toi tu as toujours su que tu voulais briller comme une étoile. Une vie passionnée par la magie des arts, la musique - le dessin et nombreux de tes croquis peuvent en témoigner. Tu ne peux être défini par une seule catégorie, ça serait trop dur de faire un choix. Au fils du temps, tu as quand même exceller dans la danse classique, où tu as pu gagner pas mal de concours. Une fierté dans les yeux de ta famille, même si tu le savais que papa avait choisi tout autre chemin pour ta destinée. (3) S A T U R N trois. Un chiffre important, car il n’y a pas eu une naissance mais bien 3. Il y a eu d’abord Mahé, puis Danae et toi Aimee. Un trio de choc. Le trio qu’il ne faut pas faire chier, car malgré le caractère de chacun ; vous êtes toujours là les uns pour les autres. Comme l’étoile, la lune et le soleil. Différent à bien des égards, mais surtout complémentaire. Personne ne pourra vous séparer, c’est une certitude. Impossible pour toi de faire sans eux dans ta vie. Quand l’un souffre, vous le ressentez immédiatement, quelque chose glisse en toi, comme si ton cœur venait de se fondre au soleil. Relation fusionnel, impossible de ne pas avoir un message de l’un ou de l’autre. C’est une communion entre trois âmes qui se rejoignent jusqu’à l’infini. (4) J U P I T E R enfant, tu fis la connaissance de Tadeuz surnommé très vite « Tad », ses parents étaient amis avec les tiens. Un peu une relation d’amitié s’est créé entre vous. A la mode comme dans Dawson. Il venait chez toi, tu venais chez lui. Tu l’as toujours su au fond de toi. Au fils du temps, cette amitié a déclenché chez toi un sentiment amoureux. Lui, c’est un écorché de la vie, une tasse qu’on a envie de recoller. C’était une amitié hors du commun. Ou presque. Tu ne peux te résoudre à lui avouer tes sentiments, car au fond ça serait briser un lien pour toujours. Lorsqu’il a une peine de cœur, toi, tu es là pour lui et cela ne changera jamais. Il était le seul avec qui tu voulais être. Sous les conseils de ta sœur Danae, tu te sentais prête à tout lui dire. Hélas, au moment où tu avais voulu bouger. Lui révéler tes sentiments inavoués, il fut que bien trop tard. Tu ne t'étais guère réveillée à temps... Il était en couple et t’annonças dans la foulée qu’il allait se fiancé avec sa copine. Il semblait épanouit. Sans toi, peut-être. Mais, heureux, quand même. Cela avait résonné comme une trahison, pour toi. Ton âme était brisée, esseulée. Il s'était fissuré en mille et un éclat. Tu demeurais dans le silence, le plus totale. Le plus complet. Allant jusqu'à prendre tes distances, durant un temps, et noyer ton chagrin, avec d’autres garçons, heureusement que Danae avaient été là pour soulager ta peine. (5) V E N U S Aimee à eu une période très sombre, le coma de ta sœur Danae. Ça t’a mis un coup au cœur. Un dur moment pour eux. Elle a été deux mois dans le coma. A ce moment là, tu te levais en même temps que la lune; cherche à travers les étoiles, cette chose que les hommes appellent -l’espoir. Et, pourtant tu as toujours été pleine d’espoir, mais la voir dans cet état ta marqué à tout jamais. Bien sûr que tu as pu compter sur ta famille, Mahé qui comprenait ta douleur égale à la sienne. Et, y a eu ton meilleur ami. C’était un déchirement au cœur de le voir. Pourtant il était toujours là. Après tout, il te connaissait par cœur. Il t’a connu dans les pires moments, mais tout avait changé désormais tout n’était plus pareil. Ton cœur s’est éteint lorsqu’il a décider de donner son cœur à une autre. Après sa visite, toi qui gérait très mal tes émotions tu fous le bordel. Renverse tout sur ton passage, qui casse les verres. C’était un mal nécessaire, puis tu t’es promis de ne plus jamais recommencer. Alors, après ça tu enchaînais les histoires sans raisons, mais celui qui a retenu ton attention c’était cet infirmier. Celui qui avait été d’une grande aide à l’hôpital. Et, puis ça rimait à quoi tout cela ? Tu te souviens qu’il t’avait laisser son numéro de téléphone au cas où. C'est contraire à l'éthique. A tout ce que tu crois... Tu ne demandais guère cela. Tu avais besoin d'une relation stable, sérieuse. Réelle, qui t'aiderait à te sentir bien. Heureuse et épanouie. Qui t'aiderait à y voir clair. A passer, outre, tes sentiments, que tu avais, pour un autre, que lui. Pas d'une histoire sans lendemain, qui te rabaisserait plus bas que terre! Tu aimais beaucoup Bailey. Mais, il y avait des limites à ne pas franchir. Et, il le savait. Il se doutait pertinemment, depuis le tout premier jour, où vous vous êtes rencontrés, que ce genre de choses, n'aboutirait à rien. Cela ne servait à rien de faire ça. Tu n’es pas le genre de fille qui sort avec un garçon, car elle ne peut avoir l’élue de son cœur. Ce n’était pas toi. Sauf que ce bel apollon ne l’entendait pas de cette oreille. Cela faisait déjà plusieurs mois, que tu repoussais ses avances. Que tu renvoyais tous les présents, que le bel apollon t'offraient, sans exception. Non pas que cela ne te plaisait guère. Bien au contraire. Mais il était beaucoup plus âgé que toi. Lui était déjà dans le vrai monde. Notre époque est constituée d'une génération ratée. Et, si l'on y prend pas garde, les gens se trouvant autour de vous, n'hésiteront point à venir jasés, derrière votre dos. Voir, pire... Pourtant, même si tu n'osais te l'avouer. Même si, tu agissais comme tel, il était évident, qu’il était charmant, mais tu ne pouvais succomber à son charme. Vos mondes n’étant pas les mêmes, tu refusait de sauter le pas. Après tout, tu n'avais jamais été très heureuse. Très chanceuse, question sentiments. Parce que, dans le fond, tu ne voulais lui donner de faux espoirs, étant donné, que, ton âme esseulée, appartenait, secrètement, à un autre. Que, la supercherie de tes sentiments, demeurer enfouis. Dissimuler, à jamais... C'est d'ailleurs, pour ça, que tu te demandais bien, pourquoi ce bel ange, persévérait... Oui, il fallait se rendre à l'évidence : Bailey était bien trop beau, trop gentil. Trop romantique, attentionné. Bien trop parfait, pour toi. L'homme idéal, tu le voyais en lui. Mais, tu te savais, parfaitement, qu'il pouvait avoir n'importe quelle femme, alors... Pourquoi diable, continuer à te tourmenter ? (6) M A R S Rothschild tu es, études tu feras. Pourtant tu n’as jamais été passionnée par tout ça. Pour toi, ce n’est pas une évidence. Il n’y avait que la danse qui comptait, mais pour ton père il en était autrement. Chaque enfant a une ligne directrice à suivre. L’élitisme a tout prix. Qu’importe les talents des enfants, c’est papa qui a décidé, petite poupée Aimee n'a fait qu’acquiescer ((les rêves de ballerine, c'est pour les gens sans avenir)) ce n'est pas pour toi, disait ton père d’un ton bien décider et fier. Le rêve de la belle étoile s’en est allé à tout jamais. Mais si la curiosité a le goût de l'humanité, il reste ce poison dans les relations, cette tendance virale à vouloir tout savoir. savoir tout, comme pour contrôler cet avenir qui lui échappe totalement. Alors, tu fais comme Danae et Mahé, en suivant un cursus Marketing, pour les beaux yeux de la famille. Après malgré que ça t’ennuies tout ces cours, tu t’appliques quand même. Tu as su gérer tes réseaux à la perfection, donc suivre des cours de marketing devrait être un jeu d’enfant. Tu fais d’oncle bien pour ta famille, oubliant ton rêve. La famille est quelques chose d’importante à tes yeux, faire la fierté de tes parents également. En admiration devant le travail de ton père. Il t’inculque ses valeurs et son amour du monde du travail. Consciencieuse, la petite poupée que tu es. Et, tu l’est aussi dans ton autre domaine préférée. Devenue maintenant animatrice des réseaux sociaux, spécialement tiktok où il t’arrives de montrer tes talent de danseuse. Tu t’amuses aussi à faire des tuto beauté et des vlogs. C’est l’occasion pour toi de t’épanouir dans ce que tu aimes. (7) U R A N U S ça a commencé très tôt pour que tu sois méfiante avec les gens. D’abord parce que pour toi, il y avait que Danae et Mahé qui comptait et que tu ne voulais te mélanger à personne d’autre. Et, aussi car dès que les gens savent que tu as de l’argent ils ne t’aiment pas pour ce que tu es. Tu te rappelles de ton premier emois, c’était au lycée. Un garçon qui t’avait approcher pour seul but d’obtenir ce qu’il voulait : ton innocence. Il avait jouer avec toi, mais ton frère a su l’arrêter à temps. Ce fus un mauvais souvenir qui avait plonger ta méfiance à une très grande échelle. Une méfiance envers tout, contre tout, pour tout. Est ce que les gens sont sincères ou naturellement méchant ? cette question a tourner dans ta tête pendant longtemps, avant que tu te rendes compte qu’au final on est tous des humains. Mais attention à ne pas se brûler les ailes, car accorder sa confiance c’est comme donner un peu de son innocence, c’est trop dangereux d’être humain. (8) N E P T U N E tu joues les poupées de cristal, malgré qu’il y a en toi une fragilité à l’état brut. La délicate rose est d’un naturel vibrant lors des nuits étoilées. Chignon pas fait ou mal fait, mèche rebelle qui veut s’en aller et légère trace de labello sur tes lèvres gercées, tu as ce charme unique, cette réalité déroutante. Cette simplicité fascinante avec cette manière bien à toi de croquer dans ta pizza, inconsciente des dégâts. Tu brilles quand même, fidèle qu’à la lune. (9) P L U T O N tu as revu Tad, il y a de ça quelques jours, souhaitant bientôt se marier avec sa copine, il ta fait part de son envie que tu sois amie avec elle. N’ayant pas beaucoup d’amies et pour qu’elle se sente bien, il souhaite que tu la mette à l’aise. Parce que tu es la seule personne en qui il a vraiment confiance, toi belle poupée de la lune, tu es celle qui arrive à donner de l’espoir au gens. Tu as accepter en souriant, mais tu ne sais toujours pas pourquoi ce jour-là, tu lui a dit que toi aussi tu avais quelqu’un dans ta vie. La victime ? Bailey. Il n’y avait que lui avec qui tu avais assez échangé et puis bon, il est un peu amoureux de toi. Hors de ton système solaire, trop parfait pour qu’il puisse accaparer ton cœur. Malgré tout il a cet aura insaisissable sur ta personne, qui te rend muette, silencieuse comme fée clochette. Et, y a Tad, celui qui te connaît presque aussi que ton trio de choc. Tu ne peux que l’observer que de loin, le voir échanger avec sa copine aux milles qualités, c’est une évidence qu’ils s’aiment plus que tout. Sa planète est si différente qu’elle trace sa propre ellipse autour de toi, aussi brillant qu’un soleil qui pourrait mourir de regret de n’avoir rien fait. (10) T E R R E tellement secrète sur tes sentiments, parce qu’aimee aime démesurément, trop d’émotions surgit en toi. Comme le soleil levant, ce morceau de mystère que tu possèdes pourrait bien brûler face au soleil si captivant. De ces cils qui recouvrent tes yeux amande, observant le peu d’informations pour ces voleuses de vie et de sentiment. Comme c’est fascinant ! Te voilà dans les esquisses d’une toile dont tu ne maitrises pas tout. Tu apportes ce qu’on te demandes sans jamais faillir, trop loyale pour les trahir. Il y a ce goût de l’addiction sur leurs lèvres en ébullition. Une ombre diabolique dans cet océan de sensibilité. connaître les secrets, savoir qui sont les autres mais au fond, peut-être que tout cela n'est fait que pour te connaître toi, aimee. Depuis que cette mascarade avait commencé, tu errais avec Bailey depuis quelques semaines. Tu le toisais, alors qu'il te faisait face. Voulant absolument rester, dans ton champ de vision. Tu lui adressais, dont, un regard navré, à mesure que tu comprenais, que tu n'avais guère écouté, ce qu'il venait de te dire. Il s'enquit de ton état, sentant une certaine quiétude, pour toi, néanmoins, que tu lui adressais un doux et mignon petit rictus. Te sentant touchée, de son intention, qu'il avait à ton égard. Tu hochais vivement la tête, pour approuver, alors, que, tu masquais ton écart, en reportant toute ton attention, sur le bel apollon. Lui demandant, gentiment, de bien vouloir se répéter, en espérant, de tout cœur, qu'il ne serait guère lassé. Une ébauche de sourire, vint dont, peindre ses douces lèvres, pulpeuses à souhaits, cependant, qu'il avait l'air amusé, de la situation. « Je disais, que, j'ai fait une petite folie... » Tu fronçais les sourcils, dans un semblant d'incompréhension. Ne comprenant. Ne saisissant, point, l'essence même, de ces quelques propos, que tu changeais en quiproquo. Tu ouvrais, dont, la bouche, pour placer quelques paroles censées, alors que ton bel ange, te devançais. Sachant, lisant en ton être, comme dans un livre ouvert. « Je t'ai acheté un cadeau. » Tu penchais la tête légèrement de côté. Prenant un air légèrement désespéré. Bien que, ce dernier avait de délicates attentions. Que tu avais toujours apprécié ces louables efforts. Aussi incommensurables, soient-ils, tu n'avais jamais aimé, cependant, qu'on t'offre quelques présents. En particulier, quand il s'agissait du beau brun. « Bailey... » Lui soufflais-tu, presque dans un murmure, à mesure que, tu laissais un soupir, aussi léger qu'une brise, s'échapper, de tes lèvres légèrement rosées. Ton bel ange te coupais, net, dans ton élan. Plaçant une main devant les fins traits de ton visage. Laissant tes paroles, tes différents, s'évanouirent, dans les fines brumes de la nuit. Accepter de jouer la comédie jusqu’à mariage de Tad ? c’était insupportable. Mais te dans une galère que tu avais orchestrer pour faire peut être réagir ton meilleur ami. On ne sait pas. « Je sais... Tu vas me dire, que, je n'aurais pas dû. Que tu n'aimes pas qu'on te fasse ça, mais, si je l'ai fait, c'est parce que, je sais, que ça va te plaire... » Se justifia-t'il, d'une voix douce, suave. Mélodieuse. Sortant, alors, de la poche de son léger manteau, un petit papier cadeau, qu'il te tendait, délicatement, de sa main calleuse. Patientant, attendant sagement, que tu daignes l'ouvrir. « Bon, je veux bien faire un effort, parce que, c'est toi. Mais, aussi, parce qu'il ne reste plus, que, quelques minutes avant que j’aille rejoindre Danae. » Lui retournais-tu, sagement, cependant qu'une légère moue, se dessiner sur ton visage. Prenant, délicatement, de tes petits doigts de fées, l'emballage dorée, qui scintillait dans le firmament. « C'est trop aimable de ta part! » Te rétorqua-t'il, d'un timbre rassurant. Laissant échapper, un léger rire cristallin. Un petit rictus s'élargit davantage, quand tu remarquais qu'il se moquait gentiment de toi, alors que tu prenais, finalement, le paquet. Lui faisant le plaisir, sous ses iris chatoyantes. Impatientes, de l'ouvrir. De t'exécuter. « Oh, une boite! T'as raison, c'est vrai que c'est très plaisant à voir! » Répliquais-tu, avec un certain sens de l'humour. Bailey levait, alors les yeux au ciel, se mordant la lèvre inférieure, pour s'empêcher de glousser. S'esclaffer. T'imitant dans tes gestes : secouant la tête, de gauche à droite. « Plus sérieusement... Ouvre-le, princesse. » - « A tes ordres, chef! » Proclamais-tu, d'une voix, que tu trouvais un peu trop aiguë, sur le moment, bien que tu ouvrais, finalement, l'écrin de velours. Tu aperçus alors, dans le contenu, une bague scintillante, à la fine couleur de l'argent. De la forme d'un flocon, comme la chaîne que tu portais depuis longtemps, déjà, autour de ton cou délicat, à mesure que tu restais bouche bée. Le temps de quelques longs instants durant, les mots restés coincés, dans le fin fond de ta trachée. Tu pris peur qu’il fasse sa demande, alors que vous n’êtes même pas un vrai couple. « Bailey, c'est... » Tu n'eut guère le temps, de terminer ta phrase, que tes grands yeux opaques s'écarquillèrent. Se changèrent presque en secoupes, alors qu'ils rencontrèrent les siens, qui te sondèrent, avec amour et passion. Alors, que son doux visage envoûtant. Pénétrant, rayonnait de bonheur. « Une alliance ? Oui. » Ajouta-t'il, aussitôt, d'un timbre, qui se voulait toujours aussi doux, rassurant, à mesure que tu restais, quelque peu, pantoise. Ne sachant que dire, comment agir. Tu songeais, sans nul doute, que ce dernier, te jouais quelques vilains tours. Qu'il s'amusait à tes dépends... Tu l'observais, silencieusement. Comme pour y déceler une légère pointe d'amusement. En vain... Le bel homme, à la carrure magnifiquement sculptée, semblait sérieuse. Se préparant, certainement. Mentalement, à te faire cette demande, mais tu n’était pas prête à ça. « Ça fait un moment que j'y pensais. Que je voulais te demander en fiançailles, donc si tu acceptes je pourrais aller voir ton père et lui demander officiellement. Je sais, qu’au début cela ne devait être qu’un jeux, pour faire enrager Tad... je suis au courant de tout cela et depuis le début. Je suis amoureux de toi depuis le premier jour où je t’ai vu à l’hôpital, mais avec tout ce qui s’est passé... j’avoue que j’ai pas oser te dire ce que je ressentais vraiment pour toi. » Il s'apprêtait, dont, à continuer, dans sa lancée. A demander ta main, en bonne et due forme. Mais, avant même que celui-ci n'arrive jusqu'au bout, tu lui coupais net, l'herbe sous le pied, sous ses grands yeux éberlués. Quitte a cassé ce bel instant. « Attends, je... Je pensais, que...tu savais que je n’étais pas prête à ça. C’est vrai, tu es beaucoup plus vieux que moi, j’ai à peine 24 ans, c’est trop tôt pour se marier..... » - « Je sais... J'ai eu tort. » A ces mots, qui avait l'air, pourtant, sincères, tu fronçais les sourcils, dans un semblant d'incompréhension. Tu ouvrais, alors, la bouche, pour lui demander si c'était bel et bien ce qu'il désirait. Que, s'il y avait quelque chose qui le tourmentait, le torturait, ton bel ange pourrait tout aussi bien se confier. Il savait pertinemment. Parfaitement, que tu gardais n'importe quel secret, au demeurant. Mais, tu n'eus le temps, une fois encore, d'y arriver, qu’il te devançais « Tu as été gentille, patiente... Tu as fait tellement de choses. Tu m’as présenté à ta famille, c’est bien que c’est important pour toi, non ? » Il marquait, alors, une légère pause. Avant de t’embrasser fougueusement et rangea soigneusement la bague dans son pantalon. Il prend un chemin différent de toi. « Mais, attends ou tu vas ? » dans un élan de cœur, il cria à tout poumon. « Va rejoindre ta sœur princesse, je vais te prouver de ma bonne foi, je t’aime Aimee. » il disparaît en même temps que la brume du vent. Tu ne sais point ce qui venait de se passer, mais c’était vital d’en parler a Danae et aussi Mahé.
( Aimee dans son corsage, enserrée comme dans un étau au milieu des moeurs et des idéaux qu'on lui impose depuis le sevrage )
on a coupé les ailes de l'ange avant-même qu'elle n'ait eu le temps de les déployer.
(1) S O L A I R E Aimee, la mer et les étoiles. le fracas des vagues, les doigts de pieds plongés dans l’écume, le regard perdu dans l’immensité de ce ciel couleur encre. La mer l’apaise. Mon dieu que c’est poétique. Et, tu y passes le plus clair de ton temps. Assise sur ton lit, tu t’aventures à rêver d’une autre vie. Quel serait cette vie ? les fesses au bord de l’eau, les écouteurs enfoncés dans les oreilles, le regard perdu au loin. Dans ta vie parallèle, tu es un peu égoïste. Le vent de tes mèches brunes, l’humidité de tes vêtements collés à ta peau fine. C’est un sentiment de solitude qui remplit ton cœur de bonheur. Comme si la mer n’appartenait qu’à tout ton être. Enfant solaire, qui rêve de milles choses ; comme gravir de centaines petites montagnes aux côtés de Danae & Mahé. (2) M E R C U R E étoile constante qui brille dans le ciel, toi tu as toujours su que tu voulais briller comme une étoile. Une vie passionnée par la magie des arts, la musique - le dessin et nombreux de tes croquis peuvent en témoigner. Tu ne peux être défini par une seule catégorie, ça serait trop dur de faire un choix. Au fils du temps, tu as quand même exceller dans la danse classique, où tu as pu gagner pas mal de concours. Une fierté dans les yeux de ta famille, même si tu le savais que papa avait choisi tout autre chemin pour ta destinée. (3) S A T U R N trois. Un chiffre important, car il n’y a pas eu une naissance mais bien 3. Il y a eu d’abord Mahé, puis Danae et toi Aimee. Un trio de choc. Le trio qu’il ne faut pas faire chier, car malgré le caractère de chacun ; vous êtes toujours là les uns pour les autres. Comme l’étoile, la lune et le soleil. Différent à bien des égards, mais surtout complémentaire. Personne ne pourra vous séparer, c’est une certitude. Impossible pour toi de faire sans eux dans ta vie. Quand l’un souffre, vous le ressentez immédiatement, quelque chose glisse en toi, comme si ton cœur venait de se fondre au soleil. Relation fusionnel, impossible de ne pas avoir un message de l’un ou de l’autre. C’est une communion entre trois âmes qui se rejoignent jusqu’à l’infini. (4) J U P I T E R enfant, tu fis la connaissance de Tadeuz surnommé très vite « Tad », ses parents étaient amis avec les tiens. Un peu une relation d’amitié s’est créé entre vous. A la mode comme dans Dawson. Il venait chez toi, tu venais chez lui. Tu l’as toujours su au fond de toi. Au fils du temps, cette amitié a déclenché chez toi un sentiment amoureux. Lui, c’est un écorché de la vie, une tasse qu’on a envie de recoller. C’était une amitié hors du commun. Ou presque. Tu ne peux te résoudre à lui avouer tes sentiments, car au fond ça serait briser un lien pour toujours. Lorsqu’il a une peine de cœur, toi, tu es là pour lui et cela ne changera jamais. Il était le seul avec qui tu voulais être. Sous les conseils de ta sœur Danae, tu te sentais prête à tout lui dire. Hélas, au moment où tu avais voulu bouger. Lui révéler tes sentiments inavoués, il fut que bien trop tard. Tu ne t'étais guère réveillée à temps... Il était en couple et t’annonças dans la foulée qu’il allait se fiancé avec sa copine. Il semblait épanouit. Sans toi, peut-être. Mais, heureux, quand même. Cela avait résonné comme une trahison, pour toi. Ton âme était brisée, esseulée. Il s'était fissuré en mille et un éclat. Tu demeurais dans le silence, le plus totale. Le plus complet. Allant jusqu'à prendre tes distances, durant un temps, et noyer ton chagrin, avec d’autres garçons, heureusement que Danae avaient été là pour soulager ta peine. (5) V E N U S Aimee à eu une période très sombre, le coma de ta sœur Danae. Ça t’a mis un coup au cœur. Un dur moment pour eux. Elle a été deux mois dans le coma. A ce moment là, tu te levais en même temps que la lune; cherche à travers les étoiles, cette chose que les hommes appellent -l’espoir. Et, pourtant tu as toujours été pleine d’espoir, mais la voir dans cet état ta marqué à tout jamais. Bien sûr que tu as pu compter sur ta famille, Mahé qui comprenait ta douleur égale à la sienne. Et, y a eu ton meilleur ami. C’était un déchirement au cœur de le voir. Pourtant il était toujours là. Après tout, il te connaissait par cœur. Il t’a connu dans les pires moments, mais tout avait changé désormais tout n’était plus pareil. Ton cœur s’est éteint lorsqu’il a décider de donner son cœur à une autre. Après sa visite, toi qui gérait très mal tes émotions tu fous le bordel. Renverse tout sur ton passage, qui casse les verres. C’était un mal nécessaire, puis tu t’es promis de ne plus jamais recommencer. Alors, après ça tu enchaînais les histoires sans raisons, mais celui qui a retenu ton attention c’était cet infirmier. Celui qui avait été d’une grande aide à l’hôpital. Et, puis ça rimait à quoi tout cela ? Tu te souviens qu’il t’avait laisser son numéro de téléphone au cas où. C'est contraire à l'éthique. A tout ce que tu crois... Tu ne demandais guère cela. Tu avais besoin d'une relation stable, sérieuse. Réelle, qui t'aiderait à te sentir bien. Heureuse et épanouie. Qui t'aiderait à y voir clair. A passer, outre, tes sentiments, que tu avais, pour un autre, que lui. Pas d'une histoire sans lendemain, qui te rabaisserait plus bas que terre! Tu aimais beaucoup Bailey. Mais, il y avait des limites à ne pas franchir. Et, il le savait. Il se doutait pertinemment, depuis le tout premier jour, où vous vous êtes rencontrés, que ce genre de choses, n'aboutirait à rien. Cela ne servait à rien de faire ça. Tu n’es pas le genre de fille qui sort avec un garçon, car elle ne peut avoir l’élue de son cœur. Ce n’était pas toi. Sauf que ce bel apollon ne l’entendait pas de cette oreille. Cela faisait déjà plusieurs mois, que tu repoussais ses avances. Que tu renvoyais tous les présents, que le bel apollon t'offraient, sans exception. Non pas que cela ne te plaisait guère. Bien au contraire. Mais il était beaucoup plus âgé que toi. Lui était déjà dans le vrai monde. Notre époque est constituée d'une génération ratée. Et, si l'on y prend pas garde, les gens se trouvant autour de vous, n'hésiteront point à venir jasés, derrière votre dos. Voir, pire... Pourtant, même si tu n'osais te l'avouer. Même si, tu agissais comme tel, il était évident, qu’il était charmant, mais tu ne pouvais succomber à son charme. Vos mondes n’étant pas les mêmes, tu refusait de sauter le pas. Après tout, tu n'avais jamais été très heureuse. Très chanceuse, question sentiments. Parce que, dans le fond, tu ne voulais lui donner de faux espoirs, étant donné, que, ton âme esseulée, appartenait, secrètement, à un autre. Que, la supercherie de tes sentiments, demeurer enfouis. Dissimuler, à jamais... C'est d'ailleurs, pour ça, que tu te demandais bien, pourquoi ce bel ange, persévérait... Oui, il fallait se rendre à l'évidence : Bailey était bien trop beau, trop gentil. Trop romantique, attentionné. Bien trop parfait, pour toi. L'homme idéal, tu le voyais en lui. Mais, tu te savais, parfaitement, qu'il pouvait avoir n'importe quelle femme, alors... Pourquoi diable, continuer à te tourmenter ? (6) M A R S Rothschild tu es, études tu feras. Pourtant tu n’as jamais été passionnée par tout ça. Pour toi, ce n’est pas une évidence. Il n’y avait que la danse qui comptait, mais pour ton père il en était autrement. Chaque enfant a une ligne directrice à suivre. L’élitisme a tout prix. Qu’importe les talents des enfants, c’est papa qui a décidé, petite poupée Aimee n'a fait qu’acquiescer ((les rêves de ballerine, c'est pour les gens sans avenir)) ce n'est pas pour toi, disait ton père d’un ton bien décider et fier. Le rêve de la belle étoile s’en est allé à tout jamais. Mais si la curiosité a le goût de l'humanité, il reste ce poison dans les relations, cette tendance virale à vouloir tout savoir. savoir tout, comme pour contrôler cet avenir qui lui échappe totalement. Alors, tu fais comme Danae et Mahé, en suivant un cursus Marketing, pour les beaux yeux de la famille. Après malgré que ça t’ennuies tout ces cours, tu t’appliques quand même. Tu as su gérer tes réseaux à la perfection, donc suivre des cours de marketing devrait être un jeu d’enfant. Tu fais d’oncle bien pour ta famille, oubliant ton rêve. La famille est quelques chose d’importante à tes yeux, faire la fierté de tes parents également. En admiration devant le travail de ton père. Il t’inculque ses valeurs et son amour du monde du travail. Consciencieuse, la petite poupée que tu es. Et, tu l’est aussi dans ton autre domaine préférée. Devenue maintenant animatrice des réseaux sociaux, spécialement tiktok où il t’arrives de montrer tes talent de danseuse. Tu t’amuses aussi à faire des tuto beauté et des vlogs. C’est l’occasion pour toi de t’épanouir dans ce que tu aimes. (7) U R A N U S ça a commencé très tôt pour que tu sois méfiante avec les gens. D’abord parce que pour toi, il y avait que Danae et Mahé qui comptait et que tu ne voulais te mélanger à personne d’autre. Et, aussi car dès que les gens savent que tu as de l’argent ils ne t’aiment pas pour ce que tu es. Tu te rappelles de ton premier emois, c’était au lycée. Un garçon qui t’avait approcher pour seul but d’obtenir ce qu’il voulait : ton innocence. Il avait jouer avec toi, mais ton frère a su l’arrêter à temps. Ce fus un mauvais souvenir qui avait plonger ta méfiance à une très grande échelle. Une méfiance envers tout, contre tout, pour tout. Est ce que les gens sont sincères ou naturellement méchant ? cette question a tourner dans ta tête pendant longtemps, avant que tu te rendes compte qu’au final on est tous des humains. Mais attention à ne pas se brûler les ailes, car accorder sa confiance c’est comme donner un peu de son innocence, c’est trop dangereux d’être humain. (8) N E P T U N E tu joues les poupées de cristal, malgré qu’il y a en toi une fragilité à l’état brut. La délicate rose est d’un naturel vibrant lors des nuits étoilées. Chignon pas fait ou mal fait, mèche rebelle qui veut s’en aller et légère trace de labello sur tes lèvres gercées, tu as ce charme unique, cette réalité déroutante. Cette simplicité fascinante avec cette manière bien à toi de croquer dans ta pizza, inconsciente des dégâts. Tu brilles quand même, fidèle qu’à la lune. (9) P L U T O N tu as revu Tad, il y a de ça quelques jours, souhaitant bientôt se marier avec sa copine, il ta fait part de son envie que tu sois amie avec elle. N’ayant pas beaucoup d’amies et pour qu’elle se sente bien, il souhaite que tu la mette à l’aise. Parce que tu es la seule personne en qui il a vraiment confiance, toi belle poupée de la lune, tu es celle qui arrive à donner de l’espoir au gens. Tu as accepter en souriant, mais tu ne sais toujours pas pourquoi ce jour-là, tu lui a dit que toi aussi tu avais quelqu’un dans ta vie. La victime ? Bailey. Il n’y avait que lui avec qui tu avais assez échangé et puis bon, il est un peu amoureux de toi. Hors de ton système solaire, trop parfait pour qu’il puisse accaparer ton cœur. Malgré tout il a cet aura insaisissable sur ta personne, qui te rend muette, silencieuse comme fée clochette. Et, y a Tad, celui qui te connaît presque aussi que ton trio de choc. Tu ne peux que l’observer que de loin, le voir échanger avec sa copine aux milles qualités, c’est une évidence qu’ils s’aiment plus que tout. Sa planète est si différente qu’elle trace sa propre ellipse autour de toi, aussi brillant qu’un soleil qui pourrait mourir de regret de n’avoir rien fait. (10) T E R R E tellement secrète sur tes sentiments, parce qu’aimee aime démesurément, trop d’émotions surgit en toi. Comme le soleil levant, ce morceau de mystère que tu possèdes pourrait bien brûler face au soleil si captivant. De ces cils qui recouvrent tes yeux amande, observant le peu d’informations pour ces voleuses de vie et de sentiment. Comme c’est fascinant ! Te voilà dans les esquisses d’une toile dont tu ne maitrises pas tout. Tu apportes ce qu’on te demandes sans jamais faillir, trop loyale pour les trahir. Il y a ce goût de l’addiction sur leurs lèvres en ébullition. Une ombre diabolique dans cet océan de sensibilité. connaître les secrets, savoir qui sont les autres mais au fond, peut-être que tout cela n'est fait que pour te connaître toi, aimee. Depuis que cette mascarade avait commencé, tu errais avec Bailey depuis quelques semaines. Tu le toisais, alors qu'il te faisait face. Voulant absolument rester, dans ton champ de vision. Tu lui adressais, dont, un regard navré, à mesure que tu comprenais, que tu n'avais guère écouté, ce qu'il venait de te dire. Il s'enquit de ton état, sentant une certaine quiétude, pour toi, néanmoins, que tu lui adressais un doux et mignon petit rictus. Te sentant touchée, de son intention, qu'il avait à ton égard. Tu hochais vivement la tête, pour approuver, alors, que, tu masquais ton écart, en reportant toute ton attention, sur le bel apollon. Lui demandant, gentiment, de bien vouloir se répéter, en espérant, de tout cœur, qu'il ne serait guère lassé. Une ébauche de sourire, vint dont, peindre ses douces lèvres, pulpeuses à souhaits, cependant, qu'il avait l'air amusé, de la situation. « Je disais, que, j'ai fait une petite folie... » Tu fronçais les sourcils, dans un semblant d'incompréhension. Ne comprenant. Ne saisissant, point, l'essence même, de ces quelques propos, que tu changeais en quiproquo. Tu ouvrais, dont, la bouche, pour placer quelques paroles censées, alors que ton bel ange, te devançais. Sachant, lisant en ton être, comme dans un livre ouvert. « Je t'ai acheté un cadeau. » Tu penchais la tête légèrement de côté. Prenant un air légèrement désespéré. Bien que, ce dernier avait de délicates attentions. Que tu avais toujours apprécié ces louables efforts. Aussi incommensurables, soient-ils, tu n'avais jamais aimé, cependant, qu'on t'offre quelques présents. En particulier, quand il s'agissait du beau brun. « Bailey... » Lui soufflais-tu, presque dans un murmure, à mesure que, tu laissais un soupir, aussi léger qu'une brise, s'échapper, de tes lèvres légèrement rosées. Ton bel ange te coupais, net, dans ton élan. Plaçant une main devant les fins traits de ton visage. Laissant tes paroles, tes différents, s'évanouirent, dans les fines brumes de la nuit. Accepter de jouer la comédie jusqu’à mariage de Tad ? c’était insupportable. Mais te dans une galère que tu avais orchestrer pour faire peut être réagir ton meilleur ami. On ne sait pas. « Je sais... Tu vas me dire, que, je n'aurais pas dû. Que tu n'aimes pas qu'on te fasse ça, mais, si je l'ai fait, c'est parce que, je sais, que ça va te plaire... » Se justifia-t'il, d'une voix douce, suave. Mélodieuse. Sortant, alors, de la poche de son léger manteau, un petit papier cadeau, qu'il te tendait, délicatement, de sa main calleuse. Patientant, attendant sagement, que tu daignes l'ouvrir. « Bon, je veux bien faire un effort, parce que, c'est toi. Mais, aussi, parce qu'il ne reste plus, que, quelques minutes avant que j’aille rejoindre Danae. » Lui retournais-tu, sagement, cependant qu'une légère moue, se dessiner sur ton visage. Prenant, délicatement, de tes petits doigts de fées, l'emballage dorée, qui scintillait dans le firmament. « C'est trop aimable de ta part! » Te rétorqua-t'il, d'un timbre rassurant. Laissant échapper, un léger rire cristallin. Un petit rictus s'élargit davantage, quand tu remarquais qu'il se moquait gentiment de toi, alors que tu prenais, finalement, le paquet. Lui faisant le plaisir, sous ses iris chatoyantes. Impatientes, de l'ouvrir. De t'exécuter. « Oh, une boite! T'as raison, c'est vrai que c'est très plaisant à voir! » Répliquais-tu, avec un certain sens de l'humour. Bailey levait, alors les yeux au ciel, se mordant la lèvre inférieure, pour s'empêcher de glousser. S'esclaffer. T'imitant dans tes gestes : secouant la tête, de gauche à droite. « Plus sérieusement... Ouvre-le, princesse. » - « A tes ordres, chef! » Proclamais-tu, d'une voix, que tu trouvais un peu trop aiguë, sur le moment, bien que tu ouvrais, finalement, l'écrin de velours. Tu aperçus alors, dans le contenu, une bague scintillante, à la fine couleur de l'argent. De la forme d'un flocon, comme la chaîne que tu portais depuis longtemps, déjà, autour de ton cou délicat, à mesure que tu restais bouche bée. Le temps de quelques longs instants durant, les mots restés coincés, dans le fin fond de ta trachée. Tu pris peur qu’il fasse sa demande, alors que vous n’êtes même pas un vrai couple. « Bailey, c'est... » Tu n'eut guère le temps, de terminer ta phrase, que tes grands yeux opaques s'écarquillèrent. Se changèrent presque en secoupes, alors qu'ils rencontrèrent les siens, qui te sondèrent, avec amour et passion. Alors, que son doux visage envoûtant. Pénétrant, rayonnait de bonheur. « Une alliance ? Oui. » Ajouta-t'il, aussitôt, d'un timbre, qui se voulait toujours aussi doux, rassurant, à mesure que tu restais, quelque peu, pantoise. Ne sachant que dire, comment agir. Tu songeais, sans nul doute, que ce dernier, te jouais quelques vilains tours. Qu'il s'amusait à tes dépends... Tu l'observais, silencieusement. Comme pour y déceler une légère pointe d'amusement. En vain... Le bel homme, à la carrure magnifiquement sculptée, semblait sérieuse. Se préparant, certainement. Mentalement, à te faire cette demande, mais tu n’était pas prête à ça. « Ça fait un moment que j'y pensais. Que je voulais te demander en fiançailles, donc si tu acceptes je pourrais aller voir ton père et lui demander officiellement. Je sais, qu’au début cela ne devait être qu’un jeux, pour faire enrager Tad... je suis au courant de tout cela et depuis le début. Je suis amoureux de toi depuis le premier jour où je t’ai vu à l’hôpital, mais avec tout ce qui s’est passé... j’avoue que j’ai pas oser te dire ce que je ressentais vraiment pour toi. » Il s'apprêtait, dont, à continuer, dans sa lancée. A demander ta main, en bonne et due forme. Mais, avant même que celui-ci n'arrive jusqu'au bout, tu lui coupais net, l'herbe sous le pied, sous ses grands yeux éberlués. Quitte a cassé ce bel instant. « Attends, je... Je pensais, que...tu savais que je n’étais pas prête à ça. C’est vrai, tu es beaucoup plus vieux que moi, j’ai à peine 24 ans, c’est trop tôt pour se marier..... » - « Je sais... J'ai eu tort. » A ces mots, qui avait l'air, pourtant, sincères, tu fronçais les sourcils, dans un semblant d'incompréhension. Tu ouvrais, alors, la bouche, pour lui demander si c'était bel et bien ce qu'il désirait. Que, s'il y avait quelque chose qui le tourmentait, le torturait, ton bel ange pourrait tout aussi bien se confier. Il savait pertinemment. Parfaitement, que tu gardais n'importe quel secret, au demeurant. Mais, tu n'eus le temps, une fois encore, d'y arriver, qu’il te devançais « Tu as été gentille, patiente... Tu as fait tellement de choses. Tu m’as présenté à ta famille, c’est bien que c’est important pour toi, non ? » Il marquait, alors, une légère pause. Avant de t’embrasser fougueusement et rangea soigneusement la bague dans son pantalon. Il prend un chemin différent de toi. « Mais, attends ou tu vas ? » dans un élan de cœur, il cria à tout poumon. « Va rejoindre ta sœur princesse, je vais te prouver de ma bonne foi, je t’aime Aimee. » il disparaît en même temps que la brume du vent. Tu ne sais point ce qui venait de se passer, mais c’était vital d’en parler a Danae et aussi Mahé.
pseudo Blondiiie
âge 24 ans comme mon personnage
nationalité Marseillaise qui est partie vivre à Londres pour ses études
forum connu par... en cherchant sur Facebook et je suis tomber sur votre beau forum.
ILH, j'en pense quoi ? Il me fallait un forum pour briller, pourquoi pas ici, vous êtes trop gentils et j’aime déjà tout le monde
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avatar utilisé Addison Rae
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nombre de mots par rp 200 - 600 mots, parfois peu ou parfois long
type personnage scénario/pré-lien par @Danae Rothschild
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nom des études ;; nom de la faculté ;; année d'étude -
Marketing ;; Harvard Business School ;; 4ème année
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