ORION MOON ► song kang

orion moon

— orion, à venir d'un tout - et d'un rien à la fois, se décide sans appartenance. par qu'il écrit, orion, sur vous tous, à chercher le moindre défaut à exploiter. et lui, il étouffe les siens, en écrivant sur la vie étudiante, et les conflits dans les ennuis, les éclats de rire dans les vices. oui, orion, il n'aime pas appartenir.

à la tradition familiale, aux jolies têtes colorées qui rendent hommage à l'éducation, aux valeurs que l'on conte dans la famille de la lune ; presque jamais le faux pas, petit garçon au crâne brillant, ô roi des astres doués de paroles, au venin des jolis mots, à convaincre de sa plume, l'ange des maux, poésie sur le bout de la langue, au charme naturel des plus grands écrivains, à l'avenir qui appartient si vite, aux résultats d'un brio évident. joli minois au paroxysme des beaux idéaux.

s u n ☼ v i r g o
m o o n ☽ l e o

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p l a y l i s t

love talk -- wayv ; cherry bomb -- nct ; god's menu -- stray kids ; human -- zico ; try again -- jaehyun & d.ear ; gravity -- d.ear ; we need to talk -- d.ear ; twilight -- ateez ; insomnia -- the rose ; i don’t love you -- urban zakapa ; she’s in the rain -- the rose

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t h e c h a r a c t e r

TALENTED -- 80%
ATTRACTIVE -- 90%
HOT TEMPERED -- 90%
ROMANTIC -- 60%
DUMB -- 40%
BROKEN -- 90%
LITERARY -- 100%

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a l i t t l e b i t o f h i m

c’est le môme perdu là - le passé qu’il ressasse, et les mensonges de vie trop parfaite. les tâches pourpres tachent ses mains, dans l’effort, il épuise l’épiderme - lave sans cesse les péchés. à parcourir le monde de ses écrits - les mots sur les bouts de chair, glissent si aisément sur les lèvres qui racontent mille poèmes ; orion, le prénom qui raconte l’histoire désastre des astres - brutale la pandémie d’autrefois, les démons qui engloutissent. aux adieux mélancoliques, masque triomphant sur son visage - et il charme, orion, du sourire de mars. menteur, songeur, acteur d’une vie - s’en lasse et ressasse autrefois sans cesse, à épouser l’enfant solitaire, quand il aime à l’infini le monde qui l’enferme dans sa cage dorée.

pseudo femme d'aster
âge 2+2
nationalité petit prince de lu
forum connu par... j'y suis déjà :heaart:

ILH, j'en pense quoi ? jtm
autres comptes ? @Jo Hee Seo @Theo Yun @Ron Warner
avatar utilisé song kang
crédits images energiesombre (avatar)
nombre de mots par rp vive le rp court, yoouh
type personnage pré-lien par @Adhara Moon

code études
journalisme ;; facultés des arts et des sciences ;; cinquième année

Code:: @"Orion Moon" » <i>(journalisme)</i>

code bottin

Code:: » <span class="pris">SONG KANG</span> » @"Orion Moon"

(Invité)

Un jour, une histoire

il s’assure - que les détails ne ressortent pas. chaire livide, le cadavre ambulant, il est le fruit de l'expressionnisme. on voit presque ses os, c’est un squelette que le vent emporte là, brusquement c’est la brise - qui le brise. c’est livide, son ombre sur le bitume, que sa peau s’arrache là, comme c’est dur parfois, de même tomber sur les gouttes de pluie. et orion, finalement, il a mal. la justice délicate frappe - la sentence c’est juste le souvenir qui bouffe, et le mensonge qu’on façonne, parce tout doit bien aller. et ils les voient, les curieux qui jugent, à cirier coupable sur leurs lèvres scellées. c’est les regards méfiants, envers trois gamins dans la nuit. ça n’a rien d’un poème, quand les bouffons se mettent à rire - culpabilité qu’on aime lui faire ressentir. rejet, à l’abandon sur les sentiers de terre, môme qu’on brutalise tard dans les ruelles sombres.
et orion, il s’effondre lui-même, dans l’effort. il est l’être, et le devenir, les souvenirs en trop. il se rappelle, le gamin de la lune, des taches pourpres sur le grain livide de sa peau, des cris et des pleurs venant là - probablement des enfers, c’est flou. contre les veines c’est les substances illicites, un mélange âcre d’alcool de mauvaise qualité et de drogue mal consommée. c’était sûrement de trop, la latte qu’il fallait pas fumer et l’alcool trop facilement ingurgité. les éclats de rire, à pas se souvenir qui on est, à se perdre dans l’un puis dans l’autre - la musique qui cogne contre les oreilles, là aussi, c’est de basse qualité, c’est un boucan sans sens, juste des têtes qui se penchent d’arrière en avant dans un rythme effréné.
puis - plus rien. s’enfermer là, dans le crépuscule, rien n’est plus beau que la nuit sans étoiles, les contes qu’on raconte aux gamins pour sentir la frayeur, les monstres sous le lit qui effraient, à dévorer les pieds et les rêves des mômes. au tribunal, les yeux rivés dans le vide, à l’impression que les chaînes lui arrachent les poumons, il cherche sa respiration -et c’est foutu.
géniteur qui déteste, le pauvre gamin ~~sûrement~~ innocent. il jure, par delà des dieux qui n’ont aucune réelle existence, qu’il doit se taire, à coudre sa bouche de mensonge et d’or. il étouffe l’affaire par argent - et par cupidité. doit se taire, le môme trop bousillé, en voit des gens qui lui murmurent des sons - jamais des mots, c’est jamais simple de poser des paroles sur la culpabilité d’un garçon.
et il est l’horreur, la deuxième, quand c’est les autres que l’on admire. et lui, il sait plus. le mensonge qu’il brode, la commissure des lèvres dans un sourire, jamais un autre, l’astre - désastre - qu’on désire. et lui, dans ses démons, qu’il baise quand vient les représailles d’autrefois, charme les bouffons qui rient de lui.
et puis orion, des fois, il se souvient, quand le mensonge est plus doux à croire - qu’à faire croire. il s’y perd, dans ses sourires et ses merveilles, à perdre le vice sur la commissures des lèvres, et les sillons creusés par les larmes, qu’on remplace par les baisers volés.

(Invité)