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— with @Grace-Ann Beckett  

Nous sommes le 30 janvier 2031 et je suis heureux. Je suis en couple avec la plus belle des femmes, Grace-Ann. Je suis plutôt proche de mes deux filles. Plus de Vesta, étant dans la même ville qu’elle. En revanche, j’ai appris ses petites activités de gang, je ne cautionne pas. Mais ne voulant pas la reperdre, je ferme les yeux. Bien que ce soit difficile. J’ai toujours peur qu’il lui arrive quelque chose. Mais je compte sur Edgar pour prendre soin d’elle. Et à mourir pour elle si l’occasion venait à arriver. Après tout, elle est grande, elle sait ce qu’elle fait. Alors, je me concentre sur ma relation, sur ma famille. Car oui, nous avons adopté il y a un an. Un petit garçon de cinq ans. Et depuis un an, nous vivons littéralement un rêve, tous les trois. A chaque fois que mon regard se pose sur ma tendre, j’en souris. Je me sens extrêmement chanceux de l’avoir croisé un jour. Que Dieu l’ait mise sur mon chemin. Depuis, je suis l’homme le plus heureux. Et c’est bien pour ça, que ce soir je voulais faire une surprise à ma bien aimée. Pour nos huit ans d’amour. J’avais laissé notre fils chez Vesta et Edgar, qui avaient eux aussi fonder une famille. Je m’habillais classe, une chemise sombre à pois blancs, plus une veste de la même couleur que la chemise. Pareillement pour le pantalon. Je mettais le paquet. Ce soir était notre soir. Elle ne savait pas à quoi s’attendre... et à vrai dire, moi non plus.

Une fois prêt, je l’attendis dans l’entrée de notre maison familiale. “Bientôt prête Chérie ? On va être en retard.” Je ne savais pas si c’était vrai... j’étais plutôt impatient de passer cette soirée avec Grace. Lorsque je la vis arriver, mon cœur s’arrêta le temps de quelque seconde. Je lui souris, pour venir la prendre dans mes bras. “Tu es magnifique ma beauté.” Elle me tendit alors un collier afin que je lui mette. Chose que je fais très souvent lorsqu’elle sort. Une fois le collier mit, je lui dépose un baiser dans le cou. Enfin de compte, on pourrait arriver un peu en retard au restaurant non ? Ma main sur sa taille, je la fis se tourner vers moi et l’embrassa langoureusement. Il n’y a pas une seule fois où je n’ai pas envie d’elle. Si ça ne tenait qu’à moi, ma main serait déjà sous sa robe, mais je la connais maintenant. Elle n’aime pas qu’on le fasse avant une sortie. Pas après avoir pris tout ce temps pour se préparer. C’est vrai que lorsqu’on le fait, c’est assez sauvage tout en étant doux. Si je me mettais à lui faire l’amour, là, notre repas au restaurant serait totalement annulé. “Je suis le plus chanceux des hommes.” Dis-je avant de lui déposer un léger dernier baiser sur les lèvres. Je lui pris son sac, avant de lui ouvrir la porte et la laisser sortir. Je fermais la porte, pour enfin nous diriger vers notre voiture. En vrai gentleman, je lui ouvris la portière, la laissa s’installer tranquillement et mis à mon tour au volant.
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(GRACE&VICTOR) TEN YEARS LATER.
@Victor Borges
Me trouvant face au miroir sur pied présent dans le dressing, je peine à croire que ma vie est devenue un rêve éveillé. Lorsque je suis arrivée à Boston, j’étais réellement brisée et je ne pensais jamais me remettre de ce que j’avais vécu, seulement, Victor m’est apparu et après une longue période à le scruter au loin, nous avons terminé par faire connaissance. Un sourire naissant sur mon visage à cette pensée, des étoiles présentes dans mes prunelles noisette, je ne peux que le laisser s’épanouir sur mon visage puisque nous voilà dix années plus tard, ensemble, heureux, avec un fils. « Mes deux amours. » Je souffle dans un sourire, quant après un laps de temps que je ne peux quantifier, je termine d’émerger de mes pensées. « Je vais nous mettre en retard. » Je prononce tout bas, mes prunelles se trouvant bien rondes et vêtue de ma robe signée Christian Dior, d’escarpins de la même griffe, je descends avec un collier en argent en main, ainsi que mon sac à main et mon manteau en fausse fourrure, chargé en poils et bien doux, que je mets dès qu’il commence à faire froid. « Je suis là. » J’annonce mon arrivée alors que je suis en haut des escaliers, avec douceur, un fin sourire présent sur mon visage. « Nous n’allons pas être en retard. » J’assure à Victor, puisque je déteste cela, bien que j’admette que nous l'avons été à quelques reprises, et cela, à cause de moi, de temps en temps. « Promis. » J’ajoute en me pinçant les lèvres avant de sourire, largement, à sa vision. Chaque fois que je le vois, mon cœur a un raté. Il n’y a rien à faire, avec les années qui défilent, je suis toujours aussi amoureuse de Victor et peut-être même un peu plus à chaque journée qui passe. « Tu es superbe. » Je lui murmure, me sentant toujours aussi chanceuse de l’avoir au sein de mon existence. « Merci mon amour. » Je réponds, mes joues rosies par son compliment, quand j’agite mon collier en argent sous ses yeux afin qu’il me le passe. « Peux-tu ? » Je demande, alors que je me tourne déjà afin de lui présenter mon dos pour qu’il me le mette et l’ajuste. « Hm… » Je laisse s’échapper d’entre mes lèvres à son baiser déposé dans mon cou, un frisson parcourant mon échine. « Merci chéri. » Je murmure, puisque mon collier est passé et qu’enfin, nous allons pouvoir y aller. « On y… » Mais je n’ai pas le temps de continuer ma phrase qu’il me fait tourner sur moi-même afin que l’on se trouve face à face et que l’on s’embrasse. Comme toujours, notre baiser est langoureux, sexy et enflammé, seulement, il doit prendre fin puisque nous allons être en retard ou alors nous n’irons pas au restaurant du tout. Mes mains posées sur son torse, mes lèvres encore présentes contre les siennes, je pousse un soupir de frustration lorsque nous rompons ce contact que j’aime tant. « Hm… » Je frotte mon nez contre le sien, partageant ainsi mon baiser favori : l’esquimau. « Je suis la plus chanceuse des femmes également. » Je souffle à son attention, accueillant son nouveau baiser avec plaisir tandis que mes mains descendent avec lenteur de son torse à ses abdominaux, pour se retirer. « Allons-y, si nous ne voulons pas être en retard. » Enfilant mon manteau après lui avoir tendu mon sac à main Dior, nous nous faufilons jusqu’à la voiture. « Merci, amour. » Je dis alors qu’il m’ouvre la portière, avant de m’engouffrer dans cette dernière et de m’installer en silence, attachant ma ceinture. « Tu es parfait. » Je murmure à son intention une fois présent derrière le volant et dans un geste tendre ainsi qu'emprunt d’amour, je caresse son visage avant de déposer un baiser sur sa joue. « Allons-y. » Puis alors qu’il démarre, je m’empare de mon cellulaire pour regarder l’heure et grimacer : « Penses-tu que Gabriel va bien ? » Mon regard se pose sur mon bien-aimé. « J’ai confiance en ta fille et son petit-ami, mais… » Je me tortille les doigts. « Je suis nerveuse, je crois. » Je fixe à présent ces derniers, puisque je ne veux pas être une mauvaise mère. J’ai toujours rêvé de l’être et à présent que nous avons pu adopter, je m’inquiète de ne pas être parfaite dans ce rôle qui m’a toujours tenu tant à cœur. « Vesta va me haïr si on les appelle plusieurs fois dans la soirée. » Je murmure davantage pour moi-même que pour l’homme de ma vie, tandis que nous roulons à présent.


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— with @Grace-Ann Beckett  

Bien que nos affaires soient dans le même dressing, dès qu’il s’agit de nous préparer pour une soirée en amoureux, nous aimons nous préparer séparément. Afin d’avoir l’effet de surprise. Et ça marche à chaque fois. Je suis tout le temps émerveillé par la beauté de celle qui partage ma vie aujourd’hui. Elle a ce petit quelque chose qui fait vibrer mon cœur. Et malgré les années qui passent je n’arrive toujours pas à mettre la main dessus, à savoir ce qui me rend fou d’elle. Ce soir ne dérogeait pas à la règle, lorsque je la vis descendre les escaliers, je fus époustouflé. Il m’en avait fallu du temps avant de trouver la bonne, mais je l’avais, enfin, trouvée. Je ne comptais plus la lâcher. Elle est à moi. Tout son corps. Je le lui fais d’ailleurs comprendre à chaque instant passé à ses côtés. Je lui dis ô combien je l’aime et à quel point elle m’excite. Après l’avoir aidé à terminer de se préparer, nous nous trouvions enfin dans la voiture. Je lui souris lorsqu’elle mentionna Gabriel, notre fils. “Je suis sûr qu’il va bien et que nous ne lui manquons même pas.” Lui répondis-je en rigolant. C’était mon troisième enfant, comparé à Grace, pour qui, il s’agissait du premier. Elle me rappelait comment nous étions, avec mon ex-femme, au sujet de Vesta. Et il est vrai que la plupart du temps, ce sont les parents qui ressentent le plus le manque. “Elle va surtout arrêter de te répondre et ne plus vouloir nous le garder par la suite.” Je comprenais la nervosité de ma compagne, mais seulement, pas pour les mêmes raisons. Je ne lui avais pas fait part des activités illégales de ma fille et de son copain. Je savais qu’elle ne l’accepterait pas et qu’elle interdirait surement Vesta de voir Gabriel. Ce que je comprendrais totalement. Je suis le premier à m’inquiéter chaque seconde pour ma fille, dès que mon téléphone sonne j’ai peur. Peur d’avoir une mauvaise nouvelle. Mais lorsque nous lui laissons Gabriel, je sais qu’elle fait attention et qu’il ne devrait rien arriver. Normalement. Je ne suis pas forcément à l’aise de cacher cela à Grace-Ann... Je pense seulement qu’il est mieux ainsi. De toute façon, ce n’est pas comme si j’en savais beaucoup sur ces activités. Je sais tout simplement qu’il y a une histoire de gang. J’espère tout simplement qu’il ne s’agisse pas d’activités trop illégales. Plutôt... gentil ? Genre, trafic de drogues, blanchissement d’argent, cambriolage... Rien que de penser à cela, me rend nerveux. Quel genre de père espère cela pour sa fille ? Seulement, je ne veux pas qu’il y ait d’autres histoires de trafiques, genres humains, kidnapping, voire pire. Je reposais mon regard sur ma belle pour chasser toutes ces idées. “Tiens regarde mon téléphone. Elle m’a envoyé une vidéo pendant que tu te préparais.” Alors qu’elle prenait le téléphone, je regardais la route, pour ensuite rajouter. “De toute façon, tu la connais. Si tout va bien, elle nous envoie des petites photos et vidéos pour nous rassurer. Puis s’il n’y a plus rien c’est qu’il dort.” Tentais-je de la rassurer, bien que ce soit plus facile à dire qu’à faire. J’allumais alors la radio, aimant conduire avec un petit fond sonore. Je la regardais, un sourire sur le visage. Je n’arrivais pas à dévier mon regard de son visage. Ni de son décolleté d’ailleurs. Elle a ce don pour être sexy tout en restant classe. Je posais main droite sur sa cuisse la plus proche de moi, avant de la remonter doucement. “Tu as quelque chose en dessous ?” Demandais-je en me mordant les lèvres. Je voyais bien qu’elle n’avait pas mis de soutien-gorge, je pouvais deviner les courbes de sa poitrine avec cette robe. Elle m’avait déjà surprise une fois à être totalement nue sous sa robe, à un évènement mondain. J’avais adoré. “Je te rappelle que nous n'avons toujours pas baptisé la voiture...” En effet, je l’avais acheté il y a seulement un petit mois. Et si ça ne tenait qu’à moi, je me serais déjà arrêté sur le bord de la route, pour lui faire l’amour, là, tout de suite. Seulement, nous devions nous rendre au restaurant. Et ne pas être en retard, au risque de ne pas être acceptés.  

Après quelques minutes, nous arrivions enfin sur place. Je nous avais réservé une table au Del Frisco’s. Une table près de la baie vitrée, donnant sur le petit port. J’avais spécialement demandé d’être à l’écart des autres, ne voulant pas être parasité par les discussions des autres clients. Une fois garé, je sortis en premier de la voiture, pris le manteau de ma belle, lui ouvris la porte, tout en lui mettant tout de suite son manteau, afin qu’elle n’attrape pas froid. Nous étions pile à l’heure. On nous emmena à notre table et j’en fus heureux, car tout était parfait. Une petite bougie au centre de la table, accompagnée d’une fleur de lotus rose. Les roses étant trop vues. Je lui reculais sa chaise afin qu’elle s’assoie. Je me donnais jusqu’au bout. Bien que ce soit tout naturel pour moi. Une fois assis à mon tour, je lui pris sa main, me mis à la lui caresser. “Es-tu heureuse ?”

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(GRACE&VICTOR)
TEN YEARS LATER.
@Victor Borges
S’il y a bien un regret que je n’ai plus, aujourd’hui, c’est celui d’avoir quitté mon Australie natale afin de rejoindre Boston puisque j’y ai rencontré l’amour de ma vie. Un sourire ineffaçable est présent sur mon visage depuis que nous sommes ensemble et il s’est élargi depuis la venue de Gabriel, l’enfant, le petit garçon que nous avons adopté et qui se trouve être notre fils à présent. Je suis une épouse ainsi qu’une mère comblée, une grande sœur qui l’est également, puisque ma Lilly est heureuse, ce qui emplit mon cœur de joie. Alors, étant vêtue d’une robe signée Christian Dior, ainsi que d’escarpins de la même griffe, je termine de descendre les escaliers afin de rejoindre l’élu de mon cœur. Chaque fois que je le vois, il s’emballe, comme en cet instant précis, tandis que je fonds littéralement sous sa beauté. *Je suis follement amoureuse de vous, Victor Borges.* Je songe, des scintillements d’émerveillements plein les yeux, quand après un baiser passionné et des caresses absolument divines, nous rejoignons la voiture, flambant neuve, que mon cher époux à acheter afin que nous puissions faire des trajets en toute sécurité avec Gabriel à l’arrière, notre petit amour et premier enfant ensemble. C’est à lui que je songe tandis que je me trouve aux côtés de mon Victor et en entrecroisant mes doigts, je l’interroge, pour nous demander s’il va bien, notre fils, bien que j’ai confiance en Vesta, la fille de mon époux, que j’apprécie et que je porte dans mon cœur. « Pardon ? » Je prononce à l’intention de Victor, qui m’assure, dans un rire, que nous ne lui manquons pas. « Tu penses que… » Je ne parviens pas à achever ma phrase que des larmes perlent dans mon regard et que je serre mes mains, l’une dans l’autre, comme si l’on me tenait l’une d’elle, ce que je faisais lorsque je me retrouvais seule, ce qui n’est plus le cas aujourd’hui, mais comme le dit si bien l’adage, les veilles habitudes ont la vie dure. « Hm. » Je me contente de souffler lorsqu’il reprend au sujet de Vesta, qui en aura assez et cessera de nous répondre, puis qui ne voudra plus garder Gabriel, selon mon Victor, ce que je ne pense pas. *Il plaisante.* Je me dis intérieurement, afin de me rassurer et après avoir clos mon regard et pousser un soupir, je défais ma prise sur mes propres mains et pose mon regard au travers de la fenêtre qui se trouve à mes côtés. L’obscurité a pris le pas sur la lumière, la nuit est tombée, mais heureusement, les luminaires de la ville nous permettent de voir ce qui nous entoure, malgré la vitesse de la voiture que mon époux conduit. « Je vais essayer d’y aller doucement sur les textos. » Je finis par prononcer, pour me perdre dans mes pensées avant que mon amour ne me présente son téléphone afin que je m’en saisisse et regarde une vidéo. « OH ! » Je m’émerveille rien qu’à l’idée de voir notre fils et alors qu’un sourire s’affiche sur mon visage, que mes prunelles s’animent à nouveau, j’acquiesce dans quelques mouvements de tête aux mots de l’homme de mes rêves, celui que j’ai aimé dès que je l’ai aperçu, il y a de nombreuses années. « J’ai hâte que l’on reçoive des photos ainsi que des vidéos de sa soirée en compagnie de sa grande sœur ainsi que de son petit ami. D’ailleurs, ils ne vont jamais se fiancer ou se marier ? » J’interroge mon amour, pour croiser son regard et m’y perdre, comme toujours. Seulement, il conduit et ce n’est pas raisonnable, bien que ce soit toujours ainsi, lorsque nous regardons l’autre, puisque nous sommes connectés et que nous avons tout particulièrement du mal à nous défaire de l’autre, une fois que nos prunelles se trouvent. « Est-ce que j’ai quelque chose en dessous ? » Je répète, pour me mordre férocement ma lippe inférieure. « Hm… Je t’offre deux solutions. » Mon regard noisette s’emplit de malice. « Soit tu remontes ta main suffisamment haut afin de l’apprendre… » Je m’approche de mon homme et le laisse regarder la route, pour murmurer au creux de son oreille : « …Soit tu patientes un peu, le temps que l’on se retrouve au restaurant et que tu me tripotes sous la table. » Puis sur mes mots, je termine de mordiller le lobe de son oreille, l’embrasse et le laisse tranquille, afin que nous puissions arriver sains et saufs au restaurant.
Une fois garée, nous terminons de pénétrer le Del Frisco’s et mon regard se pose un peu partout dans l’immense salle où nous nous trouvons. Ma bouche légèrement entrouverte, ma main gauche présente dans la sienne, je le suis, mon amour, tandis que l’un des employés nous fait rejoindre une table qui se trouve en retrait, afin que nous nous retrouvions en toute intimité. « Merci. » Je murmure à l’homme qui nous laisse et tandis que je dévore du regard mon Victor qui m’aide afin de prendre place et qui fait de même par la suite, je le laisse se saisir de ma main pour me pencher légèrement en avant, au-dessus de cette dernière : « Je suis heureuse et c’est absolument parfait. » Je suis sincère et ajoute, un ton en dessous : « Je pense que tu vas pouvoir vérifier si je porte un sous-vêtement, étant donné que nous sommes dans un coin, loin des autres clients. » L’affublant d’un clin d’œil coquin ainsi que complice, j’ajoute : « Je pense que ce soir, il est possible que nous occultions ne serait-ce qu’un instant que nous sommes de jeunes parents. » Autrement dit, nous allons sans doute profiter l'un de l’autre, comme un couple marié, qui aime se retrouver et se rapprocher, et cela, en toute intimité.
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Ma Grace est douce et sensible, et c’est ce que j’aime chez elle. Cette sensibilité qu’elle dégage. Je fais souvent attention à ce que je dis, pour ne pas la froisser, et cela depuis que je l’ai rencontré. Je me souviens de nos premiers messages échangés, et ça avait été une catastrophe de mon côté. J’avais eu l’impression de ne pas savoir m’y prendre avec elle. Dès que je disais quelque chose, j’avais l’impression de la froisser et de ne pas dire ce qu’il fallait. J'avais aussi commis la grosse erreur d’annuler notre premier dîner. Heureusement pour moi, j’avais réussi à me faire pardonner. Ça avait été dur, mais j’avais réussi. Cela ne m’étonna donc pas lorsque je la vis émue, avec des larmes aux yeux, face à ce que j’avais dis. “Oh ma douce...” Je fis glisser un doigt sous ses yeux pour retirer ces larmes. “Ce que je veux dire, c’est qu’il est heureux. Il pense à nous, mais il est heureux, là où il passe sa nuit.” Me rattrapais-je. “Ne t’en fais pas, demain, quand on ira le chercher, il te sautera dans les bras.” Ayant déjà eu mes deux filles, je me trouvais plus serein qu’elle. Mais pour elle, tout ceci était nouveau. Je me devais de la rassurer. Je savais que pour le moment, elle pensait à lui, mais plus la soirée allait défiler, et plus elle réussirait à profiter du moment. Tout en regardant la route devant moi, je me mis à rire doucement lorsqu’elle me demanda quand Est-ce que Vesta et Edgar allaient se marier. Tout en laissant mon regard sur la route, je répondis. “Aucune idée. Mais ils seraient capables de déjà l’être et de l’avoir fait en secret.” Je les imaginais très bien faire cela, lors d’un de leurs fameux voyages. Il faut dire que ma fille est comme moi, l’âme voyageuse. Ils sont très souvent en vadrouilles. Un peu moins maintenant qu’ils ont aussi leurs enfants, mais à l’époque, ils aimaient énormément voyager. Et alors que nous étions stoppés à un feu, je me mis à regarder ma belle, une nouvelle fois, en ayant toujours ses idées coquines en tête et je ne pus m’empêcher de lui poser la question. Sa réponse fit monter en moi une vague d’excitation. Décidemment, elle sait comment me parler cette femme. Je me mordis la lèvre, la regarda d’un coin de l’œil, ayant dû reprendre le volant. “Si tu continues comme ça, on n’arrivera jamais au restaurant.” Bien que ce n’était pas de sa faute. Après tout, j’étais bien celui qui avait posé la question, et non elle. Elle n’avait fait que répondre. Mais la deuxième option me tenta pas mal aussi. Il fallait donc que nous arrivions au plus vite à destination. Tout en faisant attention à la route.

Une fois sur place, je fus moi-même très heureux du travail de l’équipe du restaurant. Ils avaient fait tout ce que j’avais demandé. La soirée allait être parfaite, tout comme je le souhaitais. Ma main dans la sienne, je lui répondis. “Je suis aussi heureux alors.” Car son bonheur faisait le mien. Et alors que le tout prêtait à une ambiance romantique, ce qu’elle me dit me fit rire. Je regardais autour de nous. Je n’avais pas fait tout cela dans cette optique là, mais … elle avait raison. Loin des autres, nous allions pouvoir profiter pleinement de ce moment. “Je … uhm.” Je ne su même pas quoi répondre, elle m’avait scotché. Et je l’en aimais encore plus. Cela ne se voit pas au premier coup d’œil, mais c’est une coquine ma chérie. Et j’adore cela. On pense que je suis avec une fille sage, et pourtant, elle est bien loin de l’être avec moi. A ce moment-là, notre serveur vint nous donner les menus. Nous le remercions tous deux, avant d’ouvrir ces menus. Il y en avait du choix. Des plats à partager, des salades et soupes, des fruits de mer, de la viande sans parler des entrées et desserts. Le choix allait être difficile. Je jetais un regard à ma belle. “Une idée de ce que tu vas prendre ?” Me concernant plusieurs plats me tentaient, à voir ce que ma belle souhaite. Depuis que l’on est ensemble, nous aimons ne pas prendre la même chose, afin de goûter le plat de l’autre. Ça tombait bien, il y avait des plats à partager ici. “Moi je prendrais bien le plat qui s’appelle Grace-Ann Beckett … ça a l’air appétissant, j’en bave déjà.” Dis-je en riant. Mais oui, j’avais faim dans tous les sens du terme, bien que nous ayons déjà fais l’amour ce matin, avant que Gabriel ne se réveille. Mais ça me paraissait déjà tellement loin.  

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(grace&victor) ten years later Oeuf11
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TEN YEARS LATER... | @Victor Borges

Un afflux d’émotion me gagne lorsque mon tendre époux m’assure que notre petit Gabriel ne doit pas songer à nous, puisqu’il se trouve avec sa tante chérie, mais également son petit-ami ou supposé fiancé. La raison ? Je suis très émotive, je l’ai toujours été et je suis mère depuis peu, ce qui me rend anxieuse ainsi qu’à fleur de peau, comme si j’avais réellement porté notre petit garçon, alors que ce n’est pas le cas, puisque je ne pourrais jamais avoir d’enfant. Cette pensée me blesse, je m’assène à moi-même un terrible coup de poignard dans ma poitrine, mais ça, je ne le souffle pas à Victor, puisqu’il s’enquit déjà de moi, de mon état, étant donné qu’il constate mes quelques larmes. « Je sais. » Je termine de prononcer en reniflant légèrement, tout en essuyant mes prunelles, sans me démaquiller et ainsi, ressembler à une pauvre bête qui se retrouverait sous la pluie. « Merci au maquillage actuel. » Je murmure afin de détendre l’atmosphère, de me détendre moi-même pour laisser un rire s’échapper de mes lèvres. « Je suis sûre qu’il nous sautera dessus afin qu’on l’embrasse. » Je surenchéris, non pas pour m’en persuader, mais parce que mon ange Gabriel nous aime et il adore les câlins, la douceur en elle-même. *Mon petit garçon chéri.* Je songe tandis que mon regard retrouve la route, tout comme celui de l’homme de ma vie, quand une question que je me pose depuis un certain temps déjà me brûle les lèvres et que j’ose la poser. « Tu penses réellement qu’ils ont pu faire cela ? » Mes prunelles se font rondes et ma bouche pulpeuse forme un « O » de stupéfaction. « Non. Pas sans toi. » Je continue, puisqu’il s’agit tout de même de son père, à Vesta, alors que je ne suis que sa « belle-mère » ou une sorte d’amie, je l’espère du moins. Je l’apprécie énormément, sa fille, je la trouve charmante et je trouve qu’elle tient énormément de l’homme que nous chérissons tous deux, ce qui ne peut que nous avoir rapproché, au fil du temps. « En tout cas, s’ils sont mariés, j’espère qu’un jour, ils nous montreront des photos. » Je termine dans un murmure, pour me demander s’ils en auraient pris, à l’autre bout du monde. Bien sûr, la célébration de leur amour leur appartient, mais j’aurais aimé qu’il soit présent, mon amour, s’ils sont réellement mariés. Songeant à ceux-ci, mais également toujours à notre fils, mon Victor termine de me titiller et j’entre dans son petit jeu coquin, comme toujours, puisque je raffole de ses instants que nous partageons et qui n’appartienne qu’à nous. « Si je continue comme ça ? » Je murmure, au creux de son oreille. « Mais c’est vous, qui avez commencé, mon cher époux. » Je continue pour embrasser son épaule et redevenir "sage", jusqu’à ce que nous gagnions le restaurant puisque cette idée, qu'il découvre ce que je porte sous ma robe, me séduit, évidemment.

Une fois attablée, ayant gardé précieusement la main de l’autre jusqu’à notre dite table, nous ne pouvons pas nous empêcher de les joindre une nouvelle fois, puisque nous avons besoin d’un contact charnel, en permanence, lorsque nous sommes ensemble. « Je suis heureuse que tu sois heureux. » Je dis pour laisser échapper un doux rire. « Mon bonheur fait le tien. Le tien fait le mien. C’est parfait. » Je conclus, pour redevenir cette femme sexy, taquine et renchérir au sujet de mon dessous, puisque je ne porte aucun soutien-gorge, et cela, mon époux l’a noté. « Tu ? » Je murmure à son intention, mon regard emprunt de désir lorsque notre serveur apparaît à notre table et que nous le remercions de concert. Carte des menus en mains, je me pince les lèvres puis les humecte en parcourant les listes, surtout celles des desserts. « Hum… Il y a énormément de choses qui me font envie. » Je dis à mon mari pour lui jeter un regard. « J’ai envie de mignardises, je crois, en entrée. Des petits fours. » J’en raffole, en mangeant très peu durant l’année. « Tu voudrais quoi, en entrée, mon amour ? » Je l’interroge et lui porte une oreille attentive lorsque je vois les plats de pâtes. « Victor ! » Je prononce une fois qu’il m’assure qu’il prendrait bien le plat qui se nomme Grace-Ann Beckett, pour m’empourprer. « Chéri. » Je reprends et me penche en avant, au-dessus de notre table. « Tu t’es trompé. C’est le plat Grace-Ann Beckett Borges. » Lui offrant un magnifique sourire ainsi que la vision de mon visage empourpré, je continue : « Faut-il que je te remémore que tu es mien en marquant ta peau de mes dents ? » Je prononce plus bas encore, puisque je crains que des oreilles traînent, bien que nous soyons loin de tous. « Est-ce que tu souhaites que je le fasse dès à présent ? » Sa main dans la mienne, je la rapproche de mon visage et me saisis de l’un de ses derniers afin de le mordiller, gentiment, mon regard noisette présent dans le sien. Puis, je le suçote, sans faillir, sans ciller, gardant ce contact visuel pour le relâcher, ce doigt que j’avais emprisonné entre mes lèvres. « La prochaine fois, je sévirais davantage. » L’affublant d’un clin d’œil complice, j’espère l’avoir émoustillé autant que je le suis, puisque mon tanga en dentelle se trouve tremper.


:copyright: lumos solem.
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— with @Grace-Ann Beckett  

Ma douce avait eu du mal à me faire part de son secret, du fait qu’elle ne pouvait pas avoir d’enfants. Elle en avait pleuré et je l’avais prise dans mes bras afin de la rassurer et lui faire comprendre que tout cela ne changerait pas mes sentiments envers elle. Ayant déjà eu deux filles, cela ne me dérangeait pas de ne plus avoir d’enfants. Lorsque je m’étais mis avec ma Grace, avoir un enfant n’était pas un but en soi. Mais je compris rapidement, que cette envie venait surtout d’elle. Je lui avais alors parlé d’adoption, lorsque nous serions prêts. Et voilà, que nous avions adopté un petit garçon, car j’en rêvais, après avoir eu deux filles. Il n’était peut-être pas notre enfant de sang, mais on l’en aimait tout autant. Je trouvais qu’il avait la même douceur que sa maman. Et il était tout aussi tactile que son papa. Il aime les câlins et les bisous. Surtout de sa maman. Ce que je peux totalement comprendre. Moi aussi j’aime ses bisous. “Je l’imagine déjà te sauter dessus et te demander pleins de bisous. Je vais en être jaloux.” Dis-je en riant. Ma douce allait déjà mieux et en oubliait presque ce que je venais de dire plus tôt. Ouf. “Oh oui, ils en seraient capables. Mais je ne leur en veux pas.” Chaque couple fait ce qu’il veut. Alors que certains souhaitent un mariage grandiose, avec toute la famille et plus, d’autres préfères un mariage plus solennel, voir secret. Je ne pouvais lui en vouloir pour ça. Si tel était le cas. “Il va falloir investiguer alors.” Bien qu’au fond, je ne souhaitais pas forcément le faire. Ni même que Grace le fasse. J’avais bien trop peur qu’elle découvre son activité illégale, dans son gang. Je me mordis la lèvre et serra ma main sur la boite de vitesse, regrettant d’avoir déjà dit cela. Et c’est pour cela que je tentais de le lui faire oublier en passant ma main sur ses jambes et lui donner des envies peu catholiques. “Mais tu n’es pas obligée de me suivre dans mes désirs.” Lui répondis-je, avant que l’on se calme tous les deux, afin d’arriver à bon port en temps et en heure.

Une fois à table, les menus en main, nous étions en train de regarder ce que nous allions manger. Mais sans grande surprise, nous ne pouvions rester sérieux trop longtemps. Ne sachant pas trop quoi prendre, ayant trop de choix, je lui dis que le plat Grace-Ann Beckett me donnait extrêmement envie. Quelle idée avais eu-je là. Un de mes doigts se retrouva sous ses dents, entre ses lèvres. Je m’en mordis les lèvres, et me redressa. Sentant que cela commençait à chauffer en dessous. Je lui fis de gros yeux, tout en regardant autour de nous. Je n’avais pas demandé à être à l’écart des autres pour cela... Mais pourquoi pas, après tout. “Davantage ? Du genre ?” Lui demandais-je sur un air coquin. Elle m’avait émoustillé, oui. Tout en la regardant, attendant sa réponse, je retirais une de mes chaussures ainsi que la chaussette, afin que mon pied vienne caresser sa jambe, tout en montant doucement. Les tables avaient des nappes allant jusqu’au sol. Ils avaient pensé à tout dans ce restaurant. Mon regard dans le sien, je continuais à me mordre les lèvres. “Je vais prendre la même chose que toi pour l’entrée.” Je n’étais plus en capacité de réfléchir et de choisir quoique ce soit. Alors que je la regardais, je me souvins de notre premier diner en amoureux, chez moi. J’en souris, alors que mon regard dévia vers sa poitrine. Comme cette nuit-là. Je connaissais déjà mon dessert. “Je connais déjà mon dessert...” Un sourire au coin des lèvres, j’espérais qu’elle comprenne ma référence. Cela remontait à quelques années, certes, mais je me souviens de tous nos moments passés ensembles. “Manque plus qu’à choisir le plat.” Je repostais mon regard sur le menu. “Le homard me dit bien.” J’adore les fruits de mer. Je n’en mange pas souvent. Seulement pour les grandes occasions. Et cette soirée en est une, n’est-ce pas ? Le serveur revint pour nous demander si nous avions choisi. Mon regard s’en va du serveur jusqu’à Grace, puis à ce moment, mon pied vint se nicher sous sa robe. J’en souris, voyant sa réaction. Quant à moi, je tentais de rester le plus sérieux possible. “Tu as choisi chérie ?” J’étais clairement en train de me venger de ce qu’elle avait fait plus tôt. Et j’étais plutôt fière de moi.
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TEN YEARS LATER... ((TW : sexe) | @Victor Borges

J’ai toujours été et serais toujours des plus émotives, quoi qu’il arrive. Malgré les années passées et mes efforts, je ne peux pas réellement modifier cet aspect chez-moi. J’ai essayé et cela n’a pas été de bon augure. Cacher ses émotions pour les ressentir seule, les dissimuler, ce n’a rien de bon et Victor en a fait les frais le jour où j’ai appris pour le décès de Clint, le bourreau de ma petite sœur Lilly-Ann. Il était parti pour son travail et par échange de messages, je m’étais mise en rogne en lui faisant comprendre qu’il ne pouvait pas saisir les raisons pour lesquelles je me trouvais dans un état tel que j’allais exploser ou encore, faire une ânerie. Ce jour-là, alors qu’elle ne m’avait donné aucune nouvelle, j’ai songé au pire, au fait de disparaître, car je me sentais seule et incomprise. J'ai saisi après ce terrifiant événement qu’il ne fallait pas que je me cache, que j’implose en repoussant les personnes que j’aime, mais plutôt que je parle, me livre, quitte à fondre en larmes pour que l’on me comprenne. Alors, depuis ce terrible jour, je me suis promis de parler avec mon Victor, l’homme que j’aimais à l’époque et que j’aime toujours, pour qu’il puisse s’essayer à désamorcer les situations avec moi, mais aussi m’apaiser, puisqu’il est le seul et l’unique à posséder ce pouvoir. C’est d’ailleurs de ce dernier qu’il use en me parlant de Gabriel, notre fils, pour me signifier qu’il me sautera dessus lorsque nous le récupérons et qu’il me quémandera tout un tas de bisous, ce qui le rendra évidemment jaloux. « Arrête ! » Je demande dans un éclat de rire à mon amour. « Toi aussi, tu auras ton lot de bisous. » Je continue, puisque j’adore lui offrir des baisers, surtout lorsque nous nous mettons au lit le soir. J’aime parsemer son visage de tendres baisers, ainsi que sa nuque pour le titiller et caresser son torse, que j’aime, tout comme le restant de son corps. Ses cicatrices font partie de lui depuis bien des années à présent et comme je lui ai soufflé, je les panse de par mes baisers et les acceptent, les aiment, comme elles se trouvent sur son corps. Victor est mon tout et je l’aime dans son intégralité, puisque ses défauts sont des qualités et que ses qualités restent ce qu’elles sont. « Hm ? » Je redresse mon visage et essaye de remettre notre conversation. « Oh ! Oui. » Je murmure, bien que je ne comprenne pas qu’il puisse l’accepter aussi bien, mais Victor est un sage, alors que je suis une boule de nerfs, ce qui crée un équilibre dans notre couple. « Oui, j’instiguerais. » Je réponds alors à sa proposition, pour lui offrir un tendre sourire et l’affubler d’un clin d’œil, lorsque son humeur change, à mon époux et qu’il en devient plus charmant, sexy et provoquant, vu qu’il me désire et que cela se lit dans son regard, mais également dans ses gestes. Il m’allume, mon Victor et je réponds avec envie, pour lui laisser un doute quant au fait que je puisse ne rien porter sous ma robe et tandis qu’il me souffle que je pourrais ne pas suivre ses envies et désirs, j’affiche une petite moue avant de lui lancer un regard sans équivoque : « Tu n’avais cas pas réveillée la Grace coquine qui sommeille en moi. » Puis je fais mine d’être fâchée, pour plaisanter, en croisant les bras, alors que nous savons tous deux que je plaisante et nous rejoignons le restaurant.

Une fois assis à notre table, à l’écart de tous, la Grace coquine ne se situe pas bien loin, puisque mon cher et tendre l'a réveillé. Suis-je souvent cette dernière ? À vrai dire, oui, au jour d’aujourd’hui. Auparavant, j’étais timide ainsi que réserver, mais les choses ont changé au contact de mon Victor, qui est bien moins sage que l’on ne peut se l’imaginer. Alors, lorsqu’il m’assure vouloir comme plat un Grace-Ann Beckett, je le reprends pour me saisir de sa main et mordiller l’un de ses doigts, avant de le sucer, mon regard encré dans le sien. Se tenant à présent debout, sous l’effet de mes dents et ma langue ainsi que ma bouche sur son doigt, je me retiens de rire alors qu’il passe au crible la salle afin de savoir si l’on nous a vus, ce qui m’émoustille, je le reconnais. Puis une fois de nouveau assis, il me questionne et j’en plisse des yeux. « Hum… » J’en mords férocement ma lèvre, à ses idées très coquines qui affluent dans mon esprit. « Je te ferais crier de plaisir devant tous. » Je termine de prononcer, sans toutefois lui expliquer comment et finalement, nous en revenons à la carte et je choisis ce que je vais manger en entrée ou plutôt comme apéritif, puisque je désire déguster de divins petits fours. « Oh ! Parfait. » Je prononce dans un large sourire, on ne peut plus fière de moi, quand son regard me dévore, que je le sens poster sur moi et qu’à ses nouveaux dires, je ne peux m’empêcher d’humecter mes lèvres. « Je vois parfaitement à quoi, tu fais allusion et je n’ai qu’une chose à te dire : je connais également le mien. » C’est-à-dire, lui, mon Victor et je compte bien me délecter de chaque partie de son corps, surtout une que je pourrais avoir en bouche. « Du homard. » Je répète, pour laisser un fin soupir passer la barrière de mes lèvres, puisque je ne sais pas quoi prendre quand je dis soudain : « Oh ! Il y a du canard. » Une cuisse me dirait bien, avec ses pommes de terre découpées en rondelles et ayant une sauce délicieuse. « Je… » Mais je ne continue pas, puisque notre serveur fait son apparition et que je sens le pied de Victor contre ma jambe, avant qu’il ne remonte sous ma robe et que je m’empourpre légèrement. « Hum… » Je le fixe de mes prunelles bien rondes puis m’éclaircis la gorge, tout en postant une main sur son pied afin de le stopper dans sa course. « Nous désirons des petits fours, en entrée. N’est-ce pas mon amour ? » Je fixe Victor et donne une petite tape sur son fameux pied. « Ensuite, je prendrais comme plat, la cuisse de canard avec les pommes de terre en rondelles et votre divine sauce. Puis il n’y aura pas de dessert ici. » Je dépose mon regard sur mon époux. « Je le prends à la maison. » Et ce dernier ne dévie pas de mon homme afin que tous deux puissent comprendre l’allusion. Ainsi, j’espère étonner mon Victor, le souffler, mais surtout, pendant qu’ils se remettent de leur émotion, j’ôte gentiment l’une de mes chaussures en me penchant pour faire de même à mon époux en positionnant directement mon pied sur son membre. « À toi, chéri. » Je prononce, pour le caresser avec ce dernier, le faire remonter et descendre sur sa bosse. « Tu as oublié que tu désirais du homard ? » Mon regard présent dans le sien, j’affiche un sourire victorieux.


:copyright: lumos solem.
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