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Nous sommes le 30 janvier 2031 et je suis heureux. Je suis en couple avec la plus belle des femmes, Grace-Ann. Je suis plutôt proche de mes deux filles. Plus de Vesta, étant dans la même ville qu’elle. En revanche, j’ai appris ses petites activités de gang, je ne cautionne pas. Mais ne voulant pas la reperdre, je ferme les yeux. Bien que ce soit difficile. J’ai toujours peur qu’il lui arrive quelque chose. Mais je compte sur Edgar pour prendre soin d’elle. Et à mourir pour elle si l’occasion venait à arriver. Après tout, elle est grande, elle sait ce qu’elle fait. Alors, je me concentre sur ma relation, sur ma famille. Car oui, nous avons adopté il y a un an. Un petit garçon de cinq ans. Et depuis un an, nous vivons littéralement un rêve, tous les trois. A chaque fois que mon regard se pose sur ma tendre, j’en souris. Je me sens extrêmement chanceux de l’avoir croisé un jour. Que Dieu l’ait mise sur mon chemin. Depuis, je suis l’homme le plus heureux. Et c’est bien pour ça, que ce soir je voulais faire une surprise à ma bien aimée. Pour nos huit ans d’amour. J’avais laissé notre fils chez Vesta et Edgar, qui avaient eux aussi fonder une famille. Je m’habillais classe, une chemise sombre à pois blancs, plus une veste de la même couleur que la chemise. Pareillement pour le pantalon. Je mettais le paquet. Ce soir était notre soir. Elle ne savait pas à quoi s’attendre... et à vrai dire, moi non plus.
Une fois prêt, je l’attendis dans l’entrée de notre maison familiale. “Bientôt prête Chérie ? On va être en retard.” Je ne savais pas si c’était vrai... j’étais plutôt impatient de passer cette soirée avec Grace. Lorsque je la vis arriver, mon cœur s’arrêta le temps de quelque seconde. Je lui souris, pour venir la prendre dans mes bras. “Tu es magnifique ma beauté.” Elle me tendit alors un collier afin que je lui mette. Chose que je fais très souvent lorsqu’elle sort. Une fois le collier mit, je lui dépose un baiser dans le cou. Enfin de compte, on pourrait arriver un peu en retard au restaurant non ? Ma main sur sa taille, je la fis se tourner vers moi et l’embrassa langoureusement. Il n’y a pas une seule fois où je n’ai pas envie d’elle. Si ça ne tenait qu’à moi, ma main serait déjà sous sa robe, mais je la connais maintenant. Elle n’aime pas qu’on le fasse avant une sortie. Pas après avoir pris tout ce temps pour se préparer. C’est vrai que lorsqu’on le fait, c’est assez sauvage tout en étant doux. Si je me mettais à lui faire l’amour, là, notre repas au restaurant serait totalement annulé. “Je suis le plus chanceux des hommes.” Dis-je avant de lui déposer un léger dernier baiser sur les lèvres. Je lui pris son sac, avant de lui ouvrir la porte et la laisser sortir. Je fermais la porte, pour enfin nous diriger vers notre voiture. En vrai gentleman, je lui ouvris la portière, la laissa s’installer tranquillement et mis à mon tour au volant.
Une fois prêt, je l’attendis dans l’entrée de notre maison familiale. “Bientôt prête Chérie ? On va être en retard.” Je ne savais pas si c’était vrai... j’étais plutôt impatient de passer cette soirée avec Grace. Lorsque je la vis arriver, mon cœur s’arrêta le temps de quelque seconde. Je lui souris, pour venir la prendre dans mes bras. “Tu es magnifique ma beauté.” Elle me tendit alors un collier afin que je lui mette. Chose que je fais très souvent lorsqu’elle sort. Une fois le collier mit, je lui dépose un baiser dans le cou. Enfin de compte, on pourrait arriver un peu en retard au restaurant non ? Ma main sur sa taille, je la fis se tourner vers moi et l’embrassa langoureusement. Il n’y a pas une seule fois où je n’ai pas envie d’elle. Si ça ne tenait qu’à moi, ma main serait déjà sous sa robe, mais je la connais maintenant. Elle n’aime pas qu’on le fasse avant une sortie. Pas après avoir pris tout ce temps pour se préparer. C’est vrai que lorsqu’on le fait, c’est assez sauvage tout en étant doux. Si je me mettais à lui faire l’amour, là, notre repas au restaurant serait totalement annulé. “Je suis le plus chanceux des hommes.” Dis-je avant de lui déposer un léger dernier baiser sur les lèvres. Je lui pris son sac, avant de lui ouvrir la porte et la laisser sortir. Je fermais la porte, pour enfin nous diriger vers notre voiture. En vrai gentleman, je lui ouvris la portière, la laissa s’installer tranquillement et mis à mon tour au volant.
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