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Llhéva Riad
naissance
23 Mai 1997 à Lima, Pérou
nom et prénom (s)
Llhéva Maria Joseph Riad
nationalité(s)
péruvienne
origine(s)
Américaine, Slovaque, Polonaise, Péruvienne
orientation sexuelle
Hétero
statut amoureux
Célibataire
études
Droit. Pour devenir Greffiere
bourse
Oui
statut social
Modeste
job étudiant
En recherche
— Je sais qu’il existe des confréries et je trouve ça beau mais je ne sais pas si je suis capable de pouvoir suivre tout une communauté en permanence. De la représenter à sa juste valeur alors que je ne faisais même pas dans mon pays avec l’association des élèves. Je me laisse le temps de prendre mes marques avant de voir si je veux en intégrer une durant mes études.
Harvard. Le prestige. La détermination. Un autre mode de scolarité. L’excellence. Je suis une bonne élève mais il y a des gens meilleurs que moi, je veux être première. Je veux me confronter à eux, pour atteindre l'excellence.Je me suis toujours impliquée dans mes études afin d'obtenir des recommandations de mes professeurs. Faculté de droit, je n’ai loupé aucun cours. Je n’étais pas la plus active dans la vie estudiantine, je ne suis pas celle qui ira dans des activités organisées par les associations d'élèves. Je n’ai subi aucun rattrapage. J’avais aussi découvert le système américain qui était une fascination pour moi, à l’occasion d’un cours sur les différents systèmes juridiques et ainsi confirmer mon choix d'aller étudier à Harvard. Que je ne sois ni juge ni avocate, j’étais persuadée que mon métier allait me permettre d’aider tous les protagonistes à rendre justice équitablement. C’était une vocation avant d’être un métier, à mes yeux. Et j’étais également prête à aider mes pairs. Seule, on va vite, à plusieurs, on va loin. Pourquoi se priver du savoir et des compétences d’autrui ?
Cela dit, je sais que ce n’est pas suffisant et qu’il faut aussi passer les SATS. J’avais commencé à me préparer en même temps que l’élaboration de mon dossier, donc une longue année. Je m’étais rendu malade plusieurs fois mais j’avais réussi : 1523. Ce fut un véritable soulagement que j’avais allégrement fêté trouvant une excuse pour le faire, sans en révéler la nature.
Puis la partie qui m’a demandé beaucoup de réflexion. Non pas sur le sujet mais sur comment le présenter. J’ai opté sur l’histoire des greffiers au travers des siècles, sous forme de bande-dessiné. Oui, je sais, on ne blague pas en droit mais j’avais aussi envie de prouver que sous forme ludique, il était aussi possible de vulgariser les métiers judiciaires. En vérité, j’ai fait une dissertation sans fioriture et j’ai joint la bd.
Et l’ultime mensonge de ma Vie : aller passer l’entretien. J’ai dû convaincre un de mes frères de venir avec moi, en Amériques, sous prétexte de vouloir faire les touristes, comprendre une autre mentalité, s’enrichir d’un autre mode de Vie. Et pour cela, j’avais aussi mis une copine dans la confiance. Si je n’avais pas convaincu mon frère, jamais je n’aurais pu partir. Mon cœur palpitait si fort à l’idée d’être découverte. J’avais un tailleur bleu nuit et une chemise impeccable et des petits talons. C’était un de mes plus beaux jours de ma Vie et le plus stressant. Je ne suis pas à l’aise à l’oral, et pire quand je suis la seule qu’on va regarder. Comme toujours, j’avais enchainé les entrainements. Probablement crispée et noyée de stress, c’est en sortant de l’entretien que j’avais découvert que je m’étais exprimé qu’avec une boucle à l’oreille ; J’avais fondu en larmes, persuadée d’être recalée par ma négligence. Ça avait été un échange incroyable. Mon meilleur et pire souvenir.
Ne te fie pas à ma bouille. J’ai l’air d’un ange, mais je n’ai pas de filtre. Ma jolie bouche est plus que capable de te dire d’aller te faire voir, suivi d’un clin d’œil. Pour autant, je reste assez sociable. Ce n’est pas parce que je veux me construire un bel avenir que je vais cracher à la gueule des gens – hormis sur les mal élevés. Je ne suis pas du genre à exprimer mes états d’âme, faut vraiment me pousser pour que je me vide émotionnellement. Quand on me fait mal, je préfère faire une moue blasée qu’admettre ma souffrance. Je garde encore un côté rêveursoupoudré d’utopisme. Oui, je crois en un monde meilleur, de part des actes justes parsemés dans son quotidien. Bien sûr, je suis consciente des maux qui sévissent sur Terre et c'est aussi pour cela que je veux travailler dans la Justice. Cela dit, il se peut que j’aie un côté d’enfant gâté, à qui dire non lui fait crisser les oreilles. Certains diront caprices moi, je préfère parler de dissuasion. Une moue séductrice, dans certaine occasion, cela fait bien longtemps que je sais que les enfants ne se font plus dans les choux. Je suis rancunière, je ne me venge pas – le karma fait parfaitement son travail - mais je n’oublie pas, même des années plus tard. Je suis quelqu'un de passionnée à la limite d'être têtue. Quand je veux un truc et que j'y crois, je n'en démords pas. Dans un environnement inconnu, je suis plutôt du genre à me cacher que de me mettre en avant. Mais une fois que je sais où j’ai mis les pieds, je ne suis pas la dernière à proposer des plans de haute voltige. On a qu’une Vie après tout et faut bien souffler des études parfois.
J’avais besoin d’indépendance. De prouver à ma famille que je pouvais m’en sortir. Seule. J’étais effrayée. Mais je devais le faire. Prendre de la distance avec eux. J’ai toujours été la petite fille à Papa d'une famille nombreuse, celle qu’on choyait avant même que j’ouvre la bouche. La jolie fille à qui on accorde tout. Pas de difficulté, un sourire et tout roulait. Mais je n’en peux plus. Je veux me confronter à un autre monde.
J’avais décidé de devenir greffière et est donc me lancer dans des études en Droit. Tu sais les petites mains tapant frénétiquement sur leur clavier et qui sont bien plus indispensable qu’on ne le croit. Ce n’est pas un manque d’ambition comme j’ai déjà pu l’entendre, non il s’agit d’être le garant de la procédure en audience. Sans greffier, pas de rendu de jugement, je le dis juste comme ça.
Bien que je vienne d’une classe moyenne, mes parents voulaient absolument que je me trouve une activité extrascolaire, j’ai donc choisi d’apprendre d’un instrument. Du violon. J’ai commencé assez tard : au collège. Je n’ai pas cherché bien loin un de mes ainés en faisait déjà, je ne voulais pas que mes parents dépensent de trop, alors c’est mon adelphe qui m’a enseigné les bases jusqu’à que je me puisse me payer des cours moi-même.
Je suis une casse-cou, je me suis déjà pété le poignet, le coccyx et le genou, parce que j’aime relever des défis et que parfois, cela entraine des chutes dont je m'en serais franchement épargnée. Et peut-être que je suis légèrement maladroite. Pourtant, je n’ai pas de problème de motricité.
Quand j’ai reçu mes résultats, j’ai pleuré. Avant même d’avoir ouvert la lettre. Des larmes de soulagement. Parce que mentir à sa famille, c’est énormément de pression. J’avais mis un professeur, des copines dans la confidence. Mais durant un an, c’était profondément dur mentalement. Refuser de sortir par moment, inventer des excuses. Alors me dire que c’était la fin du plus gros de mensonge ma Vie fut l’explosion des émotions ; la peur, la joie, l’espoir. Je suis donc allé chez mon petit ami du moment, entouré de mes amis, après leur avoir avoué mon projet de Vie. C’est ma meilleure amie qui l’a ouverte à ma place et m’a fait croire que j’avais été refusé. Je lui avais arraché la lettre et je me suis effondrée au sol. J’avais été reçue. C’était au-delà de mes espérances. J’allais partir. J’avais réussi. On avait fêté ça comme des piliers de bar.
J’adore faire la fête. On ne dirait pas sous mes airs de petite fille sage, mais oui, je peux faire une nuit blanche à réviser comme une forcenée comme aller balancer mes courbes sur la piste. J’aime trop ces moments d’insouciance. Ils font partie de mon équilibre. Je surprends les gens qui ne me connaissent pas, s’attendant à ne pas suivre, préférant rentrer chez mes parents. Mais non non, non seulement, je suis mais j’entraine tout le monde. C’est une part de moi, que j’évite de montrer à mes parents cela dit. Je ne voudrais pas briser l’image de l’enfant chérie non plus.
Ce fut une tout autre ambiance d’annoncer ma réussite et mon intégration. Autant mes frères et sœurs m’ont félicité mais alors mon père m’a mis une gifle. Première fois et dernière fois qu’il me violente. Je ne savais même pas comment réagir. Je n’ai même pas pleuré. Non, c’était une rage latente en mon for intérieur. De la déception pour lui, qui visiblement, préférait que je m’enterre dans ce trou perdu plutôt de m’élever. Et c’est en froid que je vais le quitter. Quant à ma mère, il lui a fallu des jours avant de me féliciter et m’aider à faire mes bagages.
Mon petit ami m’a hurlé dessus, accusé d’abandon, de traitrise. J’avais l’impression d’être infâme. Mais non, une femme n’est pas destinée à rester cloitrée dans sa cuisine avec quatre enfants. Je ne critique pas les mères au foyer, c’est un honorable métier mais pas encore pour moi. J’ai la hargne de m’accomplir professionnellement avant de songer à m’investir pleinement dans ma Vie de famille. A croire que l’un et l’autre ne sont pas complémentaire. Malheureusement, cette dispute lui avait fait oublier bien des valeurs... J'en garde des séquelles mais j'ai tout enfouie, comme si son agression n'avait jamais existé.
En vrac : je pratique du hiphop. J’ai des petits tatouages pour pas que mes parents les voient. J’aimerais pouvoir m’offrir un petit chat pour me tenir compagnie. Je mange tout le temps. Je ne suis pas férue de cuisine mais si tu me le demande gentiment, je peux m’y mettre. Je ne sais pas nager, et je n’ai pas envie d’apprendre. Je suis une pro du karaoké sous la douche, imbattable. Faut pas me parler le matin, tant que je n’ai pas pris mon bol de céréales. J’ai mon alter ego maléfique qui ressort rapidement. Comme on n'avait pas les moyens de partir en vacances, j’avais souscrit à un site qui envoyait des cartes postales. Et je ne me suis pas désinscrite depuis mes 14 ans. J’adore stalké les réseaux sociaux quand j’ai un crush. Je parle trois langues : Allemand, Anglais et Castillan. Je suis de la team Gémeau.
pseudo Patate Douce
âge Il n'a pas changé.
nationalité Française
forum connu par... Je ne sais plus
ILH, j'en pense quoi ? c'est le mal.
autres comptes ? @Kassim Malacki
avatar utilisé Random
crédits images Mauro Lima
nombre de mots par rp 300 - 500
type personnage inventé
code études
greffier ;; HARVARD KENNEDY SCHOOL OF GOVERNMENT ;; 3è année
[/b]
code bottin
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@"Llhéva Riad" » <i>(juridique)</i>
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