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"sex on fire "
LORD HOBO::  
Des retrouvailles inattendues .
| @Gabriella B. Mitchell |

Je ne peux pas dire que je vis ma meilleure vie ici. Et si je n’avais pas retrouvé Vesta dans cette ville, je serais déjà parti depuis longtemps. N’ayant pas grand-chose qui me retienne ici. Enfin, Alexander peut-être. Mais lui aussi est partit depuis peu. Ce serait d’ailleurs une bonne idée que je le rejoigne, où qu’il soit, pour m’assurer qu’il aille bien. Mais en attendant, je vivais une vie plutôt paisible. Quelques petites soirées où je mixe, le reste du temps, je traine dans des bars afin de rencontrer un peu de monde. Mais un homme de mon âge, seul, dans un bar, ça semble faire peur. Et les hommes, quant à eux, me trouvent surement pathétique. Tant pis. De toute façon, je ne me sens pas encore prêt à remettre le couvert avec une femme. Quant aux hommes, je n’ai pas besoin d’eux. J’ai très peu d’amis, et cela me convient ainsi. Je rentre alors dans un bar, que je ne connais pas du tout. J’aime bien découvrir de nouveaux endroits. Je ne suis pas du genre à aller toujours au même endroit, prendre toujours la même boisson, m’asseoir à la même place. J'aime le changement. Excepté pour mon starbucks. Là-bas, j’aime aller dans le même et prendre toujours la même boisson. Mais c’est la seule et unique fois. Je me dirige vers le bar où je m’assois. J’aime m’asseoir à même le bar, ainsi je peux discuter avec les barmaids. Mais surtout, ce que j’aime, c’est entendre les commandes autres clients. On peut être étonné des fois. “Un Gibson s’il vous plait.” En attendant que l’on me ramène ma boisson je me retourne et regarde autour de moi. Ils semblent tous bien accompagnés, à rire, à s’amuser et faire la fête. Je suis peut-être seul, mais voir les hommes heureux, me rend heureux moi-même. Ma boisson enfin prête, je la pris dans ma main et continuais à regarder les fêtards. Jusqu’à ce moment où mon regard se posa sur une jolie blonde. Je ne voyais pas clairement de qui il s’agissait, étant de dos, mais ces cheveux me disaient quelque chose. Je soufflais, buvant une gorgée de ma boisson alcoolisée. Non, non, elles sont des tas à avoir de si jolis cheveux. Puis... ça ne peut pas être-elle. Pas ici. Pas au milieu d’une foule d’hommes. Ils semblaient être tous sous son charme. Moi aussi j’avais envie de voir sa tête. Et je fus des plus surpris lorsqu’elle se retourna. Pour sûr qu’il s’agissait d’elle. Gabriella. Elle ne me vit pas, mais moi je la voyais très bien. Elle semblait aller plutôt bien. Elle rayonnait même. Magnifique. Je ne pouvais m’empêcher de sourire car ça me faisait réellement plaisir de la voir aller si bien. J’avais peur de ce qui avait pu lui arriver. Enfin, lorsque nos regards se croisèrent je lui souris et lui tendis mon verre pour “trinquer” avec elle, à distance. Ne voulant pas trop m’approcher d’elle, au cas où son mari soit dans les alentours. Car oui, quand je l’ai quitté, elle était mariée. Je laisse ma place aux autres.


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" Sex on fire. "
LORD HOBO ::  
Des retrouvailles inattendues.
| @Victor Borges |

Je ne pouvais décemment pas rentrer chez-moi afin de me retrouver seule. J’ai beaucoup travaillé aujourd’hui et j’ai besoin de faire le vide dans ma tête en allant boire un verre, ou deux, ou bien plus. Il me faut de la compagnie, des personnes tout autour de moi afin que je me sente "bien", il me faut toucher un semblant de bonheur parce que l’on me regarde, m’admire, puisque chez-moi, dans mon immense appartement, je ne ferais que ruminer sur mon passé et pour que cela ne se fasse, je travaillerais, encore et toujours, jusqu’à souffrir de mon poignet et pleurer. C’est ainsi que je vis, dans la douleur part ce que j’ai dû vivre, mais aussi par la douleur constante que je ressens chaque jour à cause de ma pathologie. C’est pour cela que j’ai besoin de tout occulter. De ce fait, dès lors que le soleil s’est couché, j’ai pris la décision de rester non loin du campus. Plus d’une fois, des étudiants m’ont invité à aller au Lord Hobo et j’ai décliné ces propositions. Toutefois, ce soir, j’ai décidé de m’y rendre afin de comprendre la raison pour laquelle on m’y invitait si souvent.
« Bonsoir. » Je souffle une fois que je suis au niveau du bar, un fin sourire ornant mon visage de poupée. « Un white Russian, s’il vous plaît. » Je commande avant de me tourner et dénicher une table où m’installer. « Hm… » Je me mordille la lippe inférieure et un homme arrive à ma hauteur : je ne le connais pas. « Avec deux amis, on vous a aperçu et… » Il semble gêner. « Enfin, est-ce que vous voudriez venir à notre table ? » Son sourire est charmant et mon envie de ne pas rester seule prend le pas sur la prudence, comme souvent. « Avec plaisir. J’attends mon verre et… » Il ne me laisse pas le temps d’achever ma phrase et demande déjà au serveur d’apporter ma boisson à notre table avant de m’y conduire. « Bonsoir messieurs. » Je souffle une fois devant celle-ci pour me présenter et commencer ma soirée. Sourire aux lèvres, j’écoute les hommes présents qui me dévorent du regard. Je me joue d’eux, les séduis puisque j’adore cela et commande un second white Russian. Ce dernier bien entamé, je continue de rire, je dépose quelques fois mes mains sur les cuisses de ses messieurs qui m’entourent et continue mes battements de cils, mes histoires, car ils me posent des questions, pour en ignorer certaines, préférant ne pas répondre.
« Hm… » Je fais mine de réfléchir. « Non. Je ne pense pas que jouer aux fléchettes soit une bonne idée avec ce que je viens de boire et que je bois encore. » Je dis, dans un léger rire, pour jeter un coup d’œil dans mon dos à nouveau. La raison ? J’ai la sensation que l’on me regarde et j’ai bien envie de savoir de qui il s’agit, puisque ce pourrait être un homme plus intéressant encore, bien que je sois en bonne compagnie. Alors, je termine de me retourner réellement, afin de voir les personnes y étant présentes, au bar et je croise son regard. « Victor. » Je souffle dans un quasi-murmure. Je suis secouée, j’ai la sensation de ne plus toucher Terre, que je suis en train de rêver. « Est-ce toi ? » Je prononce toujours tout bas, pour moi-même avant de répondre en m’emparant de mon verre pour ainsi trinquer. Me trouvant bouleverser, je fais volte-face, n’écoute plus ce que me souffle les hommes autour de moi et termine mon verre d’une traite. « Excusez-moi. Je vais au bar. » Je les préviens, sans entendre ce qu’ils peuvent me dire. Une fois debout, le cœur battant à tout rompre dans ma poitrine, je m’y rends d’un pas décidé pour m’asseoir à ses côtés, sur le tabouret se trouvant libre, fort heureusement pour moi. « Un troisième white Russian, beauté ? » M’interroge le serveur tandis que je me gratte le sourcil, pour me demander si c’est une idée judicieuse. « Hm… » J’en ferme les yeux, durant un court instant. « Un verre d’eau plate, s’il vous plaît, pour le moment. » Puis je me tourne vers Victor, pose mon regard bleuté dans le sien. « Que fais-tu ici ? » Je ne peux m’empêcher de lui demander, pour reprendre : « Je suis si surprise, mais heureuse de te voir. » Un sourire sincère naît sur mon visage tandis que des larmes perlent dans mes prunelles : je suis sous le coup de l’émotion.


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Des retrouvailles inattendues .
| @Gabriella B. Mitchell |

J’avais toujours espéré revoir Gabriella, en bonne santé. Je ne pensais pas forcément à elle tous les jours, mais il m’arrivait d’avoir une pensée pour elle et d’espérer qu’elle allait bien. Je lui avais donné mes coordonnées et je n’avais jamais eu de retour. J'espérais que le dicton : “pas de nouvelles, bonnes nouvelles” collait pour elle. Cela faisait longtemps que je n’avais pas pensé à elle, c’est vrai. Mais malgré cela elle avait une place particulière dans mon cœur. J’étais donc très surpris de la revoir ici. Surpris, mais terriblement heureux. Je n’oubliais tout de même pas qu’elle était mariée, bien qu’elle n’agissait pas de la sorte. Mais cela, elle le faisait déjà, à l’époque. Peu importe, elle resplendissait. Il y avait quelque chose de différent en elle. Je ne pouvais dévier mon regard d’elle. Quelle joie lorsqu’elle se pointa face à moi. “Je bois un verre... Comme toi apparemment.” Répondis-je me référant au 3e verre que lui avait proposé le barman. Je vis alors, des larmes dans son regard ? J’espérais alors qu’il s’agisse réellement de larmes de joie. “Je suis heureux de te voir. Aussi belle... et heureuse ? ” Je n’étais pas sûr qu’il s’agissait de cela, mais elle était sublime. La voyant dans cet état, j’eus envie de la prendre dans mes bras. Mais je pensais alors à son mari. Je lui posais alors la fameuse question... Afin d’en savoir un peu plus. “Comment va ton mari ?” J’espérais juste qu’elle ne le prenne pas mal, car au fond je m’en fichais de savoir comment il allait. Surtout s’il lui faisait vraiment du mal comme je le soupçonnais. Le plus important étant Gabriella. “Et toi, comment vas-tu ?” J’espérais vraiment pouvoir la prendre dans mes bras. Et ainsi faire rager les hommes avec qui elle était plus tôt. Il faut se l’avouer, Gabriella est une très jolie femme, sur laquelle tous les hommes se retournent. Voire même surement les femmes.  


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Est-ce un rêve éveillé que je vis ? Victor est l’un des hommes qui a marqué mon existence et pour cause, j’étais non loin de tomber amoureuse de lui en Italie, alors que nous nous y étions rencontrés. Il possède ce « je ne sais quoi » qui nous a immédiatement lié, comme une sorte de fil invisible ou encore, un soupçon de magie qui se révèle être toujours présent, même après toutes ses années. C’est pour cela que j’en suis émue aux larmes, de le retrouver. J’en suis si heureuse que je peine à croire que tout ce qui est en train de se dérouler est vrai. Suis-je réellement là ? Ne suis-je pas en train de rêver ? Car j’en ai fait des songes où l’on se retrouvait après tant d’années et je terminais toujours dans ses bras, pour me laisser aller à une étreinte qui devenait passionner. Victor est un coup de cœur, une sorte de coup de foudre et lorsque je perçois enfin le timbre de sa voix, j’en frissonne. *Pourrais-je le toucher, afin de savoir si tout ceci est réel ?* Je me demande intérieurement avant d’esquisser un sourire. J’ai préféré demander un verre d’eau plate parce que je souhaite avoir les idées claires, dès à présent, puisque ma soirée prend une toute nouvelle tournure grâce à lui : mon beau Victor. « Merci. » Je souffle à son compliment qui me fait instinctivement rougir, mais aussi baisser mon regard sur mes mains parce que je me trouve gêner. « Heureuse… » Je reprends son mot, songeuse. « Plutôt, oui. » Je termine de prononcer avant de retrouver son regard, de m’y plonger, tête la première, tout en sachant que je vais m’y perdre, dans le fond de ses yeux. Du moins, cela dure jusqu’à sa nouvelle interrogation qui me fait devenir livide. « Je… » Je tortille mes doigts, n’arborant plus aucune alliance ni bague de fiançailles. « Je suis divorcée depuis quelques années. Quasiment trois ans, dans ses eaux-là. » Je termine, dans un frêle sourire pour me détendre et repousser ma chevelure dans mon dos. « Je vais bien. Je travaille à l’université de Harvard, comme professeure en linguistique. Je fais ce que j’aime. Et toi, que fais-tu ici, à Boston ? » Je demande avant de gigoter maladroitement sur mon assise puisque je désire pouvoir trouver ses bras, humer son odeur, mais je ne sais pas si j’en ai le droit. De ce fait, je patiente en me mâchouillant ma lippe inférieure, mais surtout en attendant son feu vert afin que je me jette à son cou.
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| @Gabriella B. Mitchell |

J’étais réellement surpris de la revoir. Mais tellement heureux par cette surprise. Si je m’étais écouté je l’aurais tout de suite prise dans mes bras, je lui aurais même surement volé un baiser. Cela faisait si longtemps... Mais je ne pouvais pas oublier qu’elle avait son mari. Alors subtilement, ou non, je lui demandais des nouvelles de son mari, afin de savoir si je pouvais me permettre cette intimité là avec elle. Quelle fut ma joie quand elle m’annonça qu’elle était maintenant divorcée. Je ne pus d’ailleurs cacher ma joie. Un énorme sourire s’afficha sur mon visage. J’écoutais ensuite les nouvelles de sa vie. Elle était professeure, dans cette prestigieuse université. Divorcée avec un métier qui semble lui plaire. Elle semblait vivre sa meilleure vie. Avant que je ne lui parle de moi, je laissais mon verre et m’approcha d’elle pour la prendre dans mes bras. Je sentis son odeur, qui n’avait pas changé. Mon visage s’enfouie dans sa belle chevelure blonde. Ce que j’étais heureux à cet instant présent. Je ne sut pas combien de temps ce câlin dura, mais il me parut trop court. En revanche, nous avions toute la soirée pour se refaire des câlins, je la lâchais donc. Ma main effleura sa joue, puis je lui déposais un baiser sur son front. Elle était divorcée, certes, mais peut-être qu’elle avait refait sa vie. Je ne voulais pas trop en faire sans en savoir plus. “Je suis ici depuis peu de temps. J’ai retrouvé ma fille ainée.” Elle connaissait tout mon passé avec mon ex-femme et le choix qu’elle m’avait fait faire. Gabriella saurait donc combien je suis content de pouvoir repasser du temps avec une de mes filles. “Sinon, je mixe, dans quelques bars et boites de nuit.” Ma vie n’était pas plus passionnante que la sienne.  


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Victor ou ma chance, celle que j’ai laissé passer en étant en Italie, mais surtout en étant l’épouse d’un autre. Si cela n’avait pas été le cas, où en serions-nous, lui et moi, aujourd'hui ? J’ai loupé ma vie, manqué ma chance en le laissant filer il y a quelques années à présent. Suis-je nostalgique de cette époque ? Uniquement en ce qui concerne notre relation, oui. Car j’aurais pu tomber amoureuse, bien qu’à mon avis, je l’ai été, et je crois que je le suis toujours, puisque mon cœur s’anime par nos retrouvailles. C’est une sorte de mélange entre l’allégresse et la souffrance, puisque nous nous sommes perdus de vue, perdus tout court, au final. Je ne suis plus la même Gabriella comme j’imagine qu’il n’est plus le même Victor. Serons-nous capables de nous retrouver malgré tout, malgré les années ? Je l’aimerais plus que tout. Du coup, c’est dans un large sourire et les pommettes rougies que je réponds à ses interrogations plus ou moins voilées. Puisqu’en ce qui concerne sa curiosité au sujet du fait que je sois toujours mariée ou non, il n’y va pas par quatre-chemins, et cela, m’amuse d’autant plus. Lui avouant que je suis divorcée, puis que je travaille à Harvard, dans LA plus célèbre université du monde, il termine de délaisser son verre afin de se redresser et je me demande « pourquoi » quand je comprends et que mon palpitant s’agite plus encore dans ma poitrine. Resserrant son étreinte, humant sa délicieuse odeur qui chatouille mes narines et qui m’a tant manqué, je reste ainsi, précieusement dans le creux de ses bras, durant un temps qui me semble bien trop court. Pourquoi met-il déjà fin à notre étreinte ? Une petite moue s’affiche sur mon visage, y laissant transparaître ma déception, quand je frissonne au contact de ses doigts sur ma joue ainsi qu’à son baiser déposer sur mon front. « Ces instants m’ont tant manqué. » Je souffle sans m’en rendre compte, quand il se décide à se rasseoir et répondre à ma question. « Ta fille est ici ? » Mes prunelles scintillent de joie, pour lui. « Je suis si heureuse pour toi. » Et les vieilles habitudes reprennent puisque je me saisis de l’une de ses mains, naturellement, et la presse dans la mienne. « Comment va-t-elle ? Comment est votre relation ? » De nombreuses questions brûlent mes lèvres et lorsqu’il me souffle qu’il mixe dans des boites de nuit et bars, je plisse mes yeux. « Oh ! Comment n’ai-je pas pu te croiser avant ? J’adore faire la fête. J’aurais été ta première fan, à me dandiner sur la piste. » C’est vrai, je l’aurais fait et je le ferais, dans un futur proche, je l’espère. « Il va falloir que tu me dises quant à lieu la prochaine soirée où tu mixes. » On ne peut plus sérieuse, je me saisis de ma main libre le verre d’eau présent devant moi, lorsque le serveur me fait signe que mes affaires se retrouvent à la table, mais seules, puisque mes comparses sont partis, étant donné que je les ai délaissés pour Victor. « Oh ! » Je souffle, avant de lui demander : « Veux-tu qu’on aille s’asseoir là-bas, afin de continuer à discuter ? Sinon, je peux aller chercher mes affaires. » Je lui assure, puisque tant que nous sommes tous les deux, tout me convient.
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| @Gabriella B. Mitchell |

Les surprises défilaient à Boston. Après avoir retrouvé Vesta, j’avais retrouvé Alexander, puis Alejandro... Tant de personnes rencontrées sur ma route du tour du monde. Et voilà que je retrouvais ma belle Gabriella. Autant je ne me retrouvais pas forcément dans cette ville, autant j’y retrouvais énormément de monde, et cela était surement un signe. Un signe me disant qu’il fallait que je reste ici. Que je devais rester ici. Face à Gabriella, tous mes sentiments que j’avais eu pour elle ressurgirent. Mon amour pour elle. Mon attirance. Mes pulsions sexuelles aussi. Tout. J’aurais aimé savoir tout de suite qu’elle n’était plus avec son mari. Qu’elle était libre. J'aurais aimé que l’on ne se retrouve rien que tous les deux. Mais en même temps, ces retrouvailles, lentes et douces, m’allaient aussi. Nous connaissant, si nous sommes tous les deux libres, nous n’allons pas faire long feu sans au moins un baiser. Nous nous étions bien trouvés pour cela. Je ne pensais même plus à mon blocage envers les femmes car elle n’était pas n’importe qui. “Tu. M’as manqué.” Précisais-je. J’aurais aimé ne pas la perdre. J'aurais aimé la garder auprès de moi, dans ma vie. Mais il faut croire que la vie avait fait en sorte que cela ne se produise pas. Je finis par lui raconter que ma fille était ici aussi. Nous avions longuement échangé sur ma vie, ce qui m’avait poussé à faire ce tour du monde. Je m’étais pas mal ouvert. Elle, un peu moins. Ça ne m’avait pas dérangé. Jusqu’à ce que j’apprenne pour son mariage. J'avais été déçu, oui. Mais surtout, j’avais eu peur pour elle. Peur de ce qui pouvait lui arriver dans le futur, étant donné qu’elle ne semblait pas vouloir d’aide. Mais il faut croire qu’elle avait réussi, réussi à s’en sortir. Et j’en étais heureux. Et fier. “Mhh... Un peu bizarre... Etrange. Mais on prend notre temps... Je lui laisse du temps. Je ne veux pas la brusquer.” J’étais content de pouvoir échanger à ce sujet. Surtout avec elle. Ma Gabriella. Ma jolie blondinette. On en avait des choses à se dire. Une nuit ne nous suffirait pas. J'avais tant de questions à lui poser. Et tant de choses à lui raconter. Je ne savais même plus contrôler mes pensées. “On s’est surement déjà croisés, oui. Je ne suis pas le genre de DJ qui me montre... je ne veux pas être victime de mon succès.” Lui répondis-je en rigolades. Ce n’était pas vraiment la vraie raison. Oui, en effet, je ne me montrais pas forcément. Peur que les gens aient un apriori sur un DJ de mon âge. Je voulais être apprécié par mon travail et non ma personne. Pour cela, je préférais rester dans l’ombre. “Avec plaisir. Je regarderais, dans mon agenda, et je te dirais.” Je continuais à rire avec elle. Je savais déjà où et quand avait lieu ma prochaine prestation. Pas encore besoin d’agenda. J’aimerais bien, mais la route est encore longue.

Après m’avoir proposé de nous éloigner du bar, chose que j’avais accepté avec grand plaisir, nous nous retrouvions un peu plus à l’écart. Tous les deux, assis à une table, Gabriella avec son verre d’eau et moi toujours avec mon petit Gibson. Je m’étais assis à ses côtés, ne voulant pas rompre cette proximité. Ou plutôt, tentais-je de retrouver cette intimité que nous avions. Je posais une main sur sa jambe, avant de lui demander. “Et sinon : tu es totalement libre ou pas ?” Oui, j’en avais marre de tourner autour du pot. Bien que j’aime lui parler, j’avais extrêmement envie aussi de l’embrasser. Alors qu’elle me répondit que oui, elle était libre, j’en souris. Parfait. Nous allions pouvoir nous retrouver dans la meilleure des façons. “Je peux donc faire ça.” Murmurais-je, avant de déposer mes lèvres sur les siennes. Ma main sur sa jambe y restait, mais l’autre, quant à elle, se posa sur sa joue. Ce léger baiser se changea en baiser passionner quand elle y répondit et que nos deux langues s’entremêlèrent. Comme autrefois. La même fougue. Ce que ça m’avait manqué. Ces moments-là, comme elle l’avait si bien dit un peu plus tôt.  


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@Victor Borges
J’en suis amoureuse de Victor, je l’ai aimé dès notre rencontre alors que je me trouvais marier et j’en ai passé des nuits, à songer à lui tout en pleurant, car je l’avais laissé partir, puis que je l’avais déçu, rapport à mon mariage. Surtout, je pensais que jamais je ne le reverrais et que notre histoire d’amour était achevée, et cela, sur une mauvaise note, mais il faut croire que l’on nous offre une seconde chance puisque je ne suis plus l’épouse d’un homme qui me frappait et je suis libre comme l’air. Seulement, ne le suis-je pas un peu trop à présent ? Car si nous nous retrouvons et que nous en sommes heureux, je ne suis toutefois plus la même femme. J’ai changé, à mesure des coups reçus, des humiliations aussi alors, est-ce que cette nouvelle Gabriella lui plaira toujours autant ? Est-ce que nous allons nous retrouver et finir nos jours ensemble ? Là, tout de suite, je l’espère, mais je ne souhaite pas que l’on se mette ensemble trop vite, puisque je désire profiter, toujours, des hommes et non pas seulement de lui. J’ai gâché ma vie avec Francisco et à présent, je m'amuse. Victor, comprendra-t-il que j’en ai besoin, de papillonner avant de me poser ? Beaucoup trop de questions affolent mon esprit alors que je devrais simplement profiter de nos retrouvailles. « Toi aussi, tu m’as manqué. » Je réponds, mon regard planté dans le sien, emprunt de tendresse. « Énormément, même. » J’ajoute, pour fuir son regard et me mordre l’intérieur de ma joue, m’empourprer très légèrement, jusqu’à ce que l’on parle de sa fille qu’il a retrouvée et à qui il souhaite donner du temps, puisque ce n’est pas une situation des plus évidente pour l’un comme pour l’autre. « Je suis certaine que vous saurez vous retrouver. » Je lui dis, pour me dire intérieurement que j’espère que cela sera également notre cas, quand il me parle de son activité, le fait qu’il soit DJ. Moi qui aime tant faire la fête, je suis surprise de ne pas l’avoir croisé plus tôt, mais il me souffle qu’il préfère rester dans l’ombre, ce qui ne m’étonne pas de sa part. Après tout, Victor, c’est l’élégance, le mystère et le charme, toujours. « Tu as raison. Il y aurait bien trop de femmes qui te courtiseraient et je devrais jouer des coudes. » Je lui assure puisqu’il est hors de question que je le laisse filer une seconde fois. De ce fait, je lui demande quant a lieu la prochaine soirée où il mixe et d’après ses dires, il ne le sait pas encore, puisqu’il doit jeter un coup d’œil dans son agenda. « Bon, d’accord. Mais ne m’oublie pas. » Je le préviens, pour retrouver son regard hypnotique, dans lequel je me perds toujours avec plaisir. Je pourrais en soupirer d’aise, laisser échapper un « hum » d’entre mes lèvres, seulement, je me tiens et une fois que nous rejoignons la table où je me trouvais précédemment assise avec d’autres, il s’installe à mes côtés et non en face de moi, ce qui fait que nous restons proches et j’adore cela. Au contact de sa main sur ma cuisse, je frissonne et me mords ma lèvre inférieure, avant de recouvrer son regard. « Je suis totalement libre, oui. » Je prononce dans un murmure, mon cœur se mettant à battre à la chamade dans ma poitrine, tandis que mes prunelles passent des siennes à ses lèvres, que je désire goûter. Il faut dire qu’elles m’ont manqué, tout comme leur saveur, leur texture, qui m’ont fait tant défaut. J’ai presque envie de lui souffler un "embrasse-moi", mais avant même que je ne le fasse, son visage se rapproche du mien et je me trouve dans un rêve éveillé. Retenant mon souffle, acquiesçant dans un mouvement de tête à ses mots, je termine de fermer les yeux et j’attends, patiente, quand enfin elles entrent en contact et que nous échangions un premier baiser, pour recommencer et s’embrasser véritablement. Un feu ardent naît en mon bas-ventre, si bien que l’une de mes mains se pose sur son torse et que la seconde se glisse sur l’une de ses cuisses. Lorsque nos langues se retrouvent, elles s’apprivoisent aisément, comme si elles s’étaient quittées la veille et tandis qu’il devient fougueux, notre baiser, je me montre plus entreprenante, puisque ma main présente sur son torse froisse son habit et que celle présente sur sa cuisse arrive jusqu’à son membre. « Et si on se trouvait un endroit plus intime ? » Je murmure après avoir rompu le contact de nos lèvres, mon souffle se faisant court. « Tu m’as manqué et je veux te retrouver comme avant, pleinement, totalement. » Je souffle contre sa bouche, mes prunelles à demi-closes.
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| @Gabriella B. Mitchell |

N’ayant pas de nouvelle de ma jolie blonde, je ne pensais pas la revoir un jour. Vraiment. Je pensais qu’elle serait restée en Italie, sous l’emprise de son mari. Bien que j’aie prié pour que ça s’arrange pour elle. Mais justement, n’ayant pas de nouvelles, je pensais réellement ne plus jamais la revoir. Je m’étais fait à l’idée qu’elle ne reste qu’une simple parenthèse dans ma vie. Une jolie parenthèse. Malgré la déception que j’avais ressenti lorsque j’avais découvert son mariage. Déception qui s’était vite modifié en peur. Car oui, m’étant attaché à elle, j’avais peur de ce qui pouvait lui arriver par la suite. Mais maintenant qu’elle se trouvait face à moi, j’étais des plus heureux. Toujours aussi belle. Mais quelque chose était différent. Elle semblait libre, heureuse, tel un oiseau envolé de sa cage et qui découvre le monde. Et si je m’étais écouté, je l’aurais tout de suite embrassé, car ce n’était pas l’envie qui me manquait. Le contact de nos deux corps, de nos peaux l’une contre l’autre me manquait et la revoir venait de faire resurgir tout cela. Et malgré tout cela, je prenais mon temps. Le temps de connaitre sa situation maritale, ne voulant pas m’interposer, de nouveau, dans un couple. Que ce soit avec son mari ou un autre. Mais lorsque je l’entendis me dire qu’elle était libre, mon cœur commença à s’emballer. Ainsi que mon sexe, pour être honnête. Je savais comment allait terminer cette soirée. Il faut dire qu’il y a toujours eu cette grande attraction entre nous, cette attirance sexuelle. Plus rien n’était entre nous, au jour d’aujourd’hui. Pour mon plus grand bonheur. Je l’embrassais alors, enfin. Au début, ce fut un léger baiser, pour très vite se transformer en baiser langoureux, fougueux et plein de désir. Des deux côtés. J’en eu des frissons. Tout en ayant chaud d’un coup. Je sursautais légèrement lorsque je sentis sa main sur mon membre. Cela fait si longtemps qu’une tierce personne ne s’est pas approché de cette partie du corps. Bien plus d’un an. Je n’y arrivais plus. Mais avec Gabriella, tout était différent. Je m’en sentais capable. J'en avais envie. Elle venait de réveiller la bête. “Allons-y.” Lui répondis-je en souriant. Je l’aidais à prendre ses affaires, puis nous commencions à nous faufiler dans la foule. Quand je me mis à penser à mon corps, à toutes ces cicatrices dessus. Je me stoppais net. “Attends.” Je préférais la prévenir avant, que cela ne nous coupe pas dans l’euphorie du moment. Je m’approchais d’elle et l’embrassais de nouveau, tout en posant une main sur ses fesses. Quelques baisers dans le cou, avant de lui murmurer dans l’oreille. “Il faut que je te dise quelque chose...” J’aurais pu attendre d’être au calme avec elle, mais cette ambiance me rassurait. Être sûr que ma révélation n’allait pas plomber l’ambiance ou poser un silence. Je pris ses deux mains dans les miennes, plongeant mon regard dans le sien, j’inspirais un bon coup, avant de lui dire. “Je me rappelle des moindres détails de ton corps. Ton corps si parfait... Malheureusement...” Je lâchais mon regard, pour regarder nos mains l’une dans l’autre. “... disons que le mien n’est plus pareil...” Je n’avais pas envie d’en dire forcément plus. Je la pris dans mes bras. Puis rajoutais. “Juste ne poses pas de questions, s'il te plait... enfin pas tout de suite... je te raconterais plus tard, si tu le souhaites.” Je préférais la prévenir, pour qu’elle ne soit pas choquée. Après tout, ce n’était vraiment pas beau à voir. Moi-même, j’ai encore du mal à m’y faire, à me regarder dans le miroir. Toujours dans mes bras, je lui demandais. “Tu veux toujours y aller ?” Pas besoin de rajouter que je n’avais rien fait avec une femme depuis un bon bout de temps.  


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SEX ON FIRE. ((TW - sexe)
@Victor Borges
Lorsque Victor est parti faire son tour du monde, j’ai songé à m’enfuir, à le rejoindre, sans même savoir comment. Un soir, j’ai rempli une valise et alors que je m’apprêtais à passer les portes de l’immense manoir que nous possédions, j’ai été arrêté par mon ancien époux qui m’a bien fait regretter mon choix : celui de le quitter pour un autre. J’en ai bavé, durant les journées qui ont suivi. J’ai eu mal, je ne pouvais appeler personne et je suis restée aliter un certain temps, à cause des coups, de mon visage tuméfié, sans parler du restant de mon corps. Est-ce qu’il en valait le coup ? Oui. Si c’était à refaire, je recommencerais en m’essayant de m’enfuir plus tôt, puisqu’il était et est toujours, l’homme qui affole mon cœur. J’ai eu un véritable coup de foudre dès lors que nos regards se sont croisés et aujourd’hui, j’ai la sensation que nous avons retrouvé tout ce que nous ressentions l’un pour l’autre à cette époque. Seulement, plus rien n’entrave notre potentielle histoire, puisque je ne suis plus l’épouse d’un homme tyrannique qui me bat et je suis célibataire, libre comme l’air, tout comme mon beau Victor. Nous pouvons enfin nous donner une chance, celle de nous retrouver comme des années plus tôt et je ne compte pas louper le train en marche, cette fois. Alors, tandis que nous nous rapprochons, je le laisse faire afin que nos lèvres s’épousent pour échanger un baiser sensuel, mais tendre, avant qu’il ne se transforme en un bien sulfureux. Nos langues se retrouvent, dansent un tango serré et l’une de mes mains trouve son sexe qui se trouve dur, pour moi. Cette idée me plaît, j’en suis plus qu’heureuse et lorsque nous rompons notre baiser, je ne perds pas de temps, puisque nous en avons beaucoup trop perdu. Je lui propose donc, à mon monsieur sexy, de nous éclipser, afin que nous puissions user le corps de l’autre et je lui fais comprendre, par mes mots, ma façon de lui parler, que je ne désire qu’une chose : lui tout entier. « Parfait. » Je prononce à son « allons-y », un sourire radieux présent sur mon visage de poupée. Me saisissant de mes affaires avec son aide, nous traversons la foule, main dans la main, lorsqu’il nous stoppe et que je m’interroge, des ridules présentes entre mes sourcils. « Qu’est-ce qu’il y a ? » Je lui demande, pour déposer l’une de mes mains sur son visage, sa joue, avec tendresse, avant que nous nous embrassions une nouvelle fois, avec désir, toujours, évidemment. « Hm… » Je laisse s’échapper d’entre les lèvres, mes prunelles toujours closes tandis qu’il embrasse ma nuque et que l’une de ses mains trouve le chemin jusqu’à mon postérieur. « Tu désires me rendre folle de toi ? » Je murmure à son attention, prête à ajouter que c’est déjà le cas, quant à ses mots, je ressens que quelque chose cloche, et cela, m’inquiète. Alors, lorsqu’il s’empare de mes mains, je le fixe avec sérieux, encre mon regard dans le sien pour patienter, jusqu’à ce qu’il prenne la parole et que je cherche ses prunelles une fois qu’il les dévie des miennes pour se concentrer sur l’union de nos mains. « Chéri… » Je commence à souffler, puisque je ne suis pas certaine de comprendre, mais qu’une chose est certaine à mes yeux : quoi qui puisse avoir changé, jamais mon amour pour lui ne sera altéré. « D’accord. » Je termine de souffler, puisque pour le moment, je ne dois poser aucune question et s’il y a bien un homme à qui je désire obéir lorsqu’il me demande quelque chose ; c’est bien mon Victor. « Je veux toujours y aller, oui. » Je lui offre un tendre sourire. « Je souhaite toujours que l’on se retrouve comme précédemment. » Mes mains se posent sur son visage et à l’aide de mes pouces, je le caresse. « Regarde-moi. » Je l’intime, quand une fois que nos regards sont connectés, je murmure à son intention : « Je te désire et rien ne pourra changer cela. Nous sommes attirés l’un par l’autre, tu le sais, tu le ressens tout comme moi et tout ce que je veux, là, tout de suite, c’est que l’on se retrouve, que l’on fasse l’amour encore et encore, jusqu’à épuisement. » Puis mes lèvres trouvent les siennes, pour échanger un baiser emprunt d’un désir sexuel, si bien que l’atmosphère de la pièce bondée change pour devenir lourde et électrique. « Filons d’ici avant que nous ne fassions l’amour sur le bar. » Je lui susurre, dans un sourire, pour m’emparer de sa main et l’attirer vers l’extérieur. « Tu es venu en voiture ? » Je l’interroge en me mordant férocement la lèvre. « On peut en faire des choses, dans une voiture. » J’ajoute, excitée, puisque je ne parviens plus à patienter : je le veux, là, maintenant.
(Invité)