à la rescousse ; rp libre

zhenya n'avait pratiquement pas fermé l'oeil de la nuit. elle avait passé toute la nuit à réviser pour les examens qui approchaient à grands pas et aussi pour faire un croquis pour un de ses cours en architecture. la jeune femme prenait ses cours au sérieux et s'impliquait à fond, peu importe si elle aimait la matière ou non. en général, tous ses cours étaient passionnants. toutefois, il y avait un professeur qu'elle n'aimait pas du tout et celui-ci ne l'aimait pas plus. en réalité, il ne semblait aimer personne. la belle brune se demandait même s'il avait de l'amour à donner. bref, elle se concentra sur ses révisions. quand elle regarda l'heure, il était quatre heure du matin. zee n'était même pas fatiguée. elle n'avait qu'une envie. sortir et prendre l'air, avant de retourner chez elle et de rattraper son sommeil. la jeune femme enfila un manteau d'automne et des bottillons. la belle brune n'aimait pas ce changement de température soudain. même si elle venait de moscou et que les hivers pouvaient être rudes, elle n'aimait pas le froid et ne le supportait pas aussi facilement que d'autres personnes. la jeune femme quitta son appartement et commença à marcher. même si c'était la nuit, les lampadaires éclairaient les rues, afin que les citoyens puissent bien voir ce qu'il se passait autour d'eux. la jeune femme se ramassa près d'une ruelle, quand elle entendit un cri strident. la belle russe alla voir ce qu'il se passait et vit un homme attaquer quelqu'un. zhenya ne réfléchit même pas et se lança. « hey... c'est quoi votre problème? » celui qui attaquait pris peur et s'enfui par l'autre côté de la ruelle. zhenya s'approcha de la victime. « c'est fini... est-ce que tu as mal? »

(Invité)

★ ─ à la rescousse
w/ @Zhenya Komarov

Ce n'est absolument pas dans tes gênes de te promener à cette heure-ci de la nuit, mais ton frère t'a appelé, il a besoin d'aide, et tu ne sais absolument pas ou il est. Tu as cherché, réfléchi, annoncé à la couleur des centaines de fois mais tu viens quand même l'aider. Le plus dur sans doute c'est de le laisser tomber. Ton regard se pose sur le réveil, quatre heures du matin mais tant pis, c'est ton frère. Tu enfiles une grosse veste par dessus ton pull de pfo jaune et un jogging. Tu n'aimes pas ça mais tu es obligée d'y aller, on parle de ton frère bordel. Tu mets tes cheveux en chignon, tes lunettes de vue et tu quittes ta confrérie rapidement, direction la rue qu'il t'a donné. Ton désire pour le retrouver est bien plus grand et important que le reste du monde mais pourtant c'est ton frère et tu as envie de le tuer.

C'est sans compter la rue qui était en fait une ruelle, tu fixes le noir profond de cette ruelle, venant clairement à souffler doucement alors que tu avances le pas. Tu es craintive, la dernière fois que tu t'es retrouvé dans une ruelle pareille, tu as fini par te faire violer clairement, et ce n'était absolument pas ce que tu voulais à ce jour. Non, tu voulais clairement être à la lumière du lampadaire sur le trottoir. Tu soupires alors fortement, venant souffler plusieurs fois pour avancer Hey .. Y'a quelqu'un.. Bah oui Swann, on va te dire que le méchant loup est là, bouffonne va .. Tu te terrifies toi même jusqu'à entendre un bruit derrière toi Watson ?! Mais quelqu'un arrive en fonçant droit sur toi et le seul reflexe que tu as c'est d'hurler, hurler jusqu'à plus de souffle, plus de poumons, plus de coeur. Tu t'accroupies, venant te jeter au sol pour continuer d'hurler et tu entends d'autres pas, ils sont si nombreux que ça. La voix que tu entends n'est clairement pas celle d'un homme et celui qui te fonçait dessus à faire demi tour contrairement à la voix de la jeune femme. Quand tu entends qu'elle essaye de te rassurer, tu ouvres enfin tes yeux totalement humides avant de la regarder, tu n'oses plus rien dire, du tout, tu as juste la bouche ouverte prête à dire merci mais c'est impossible pour toi.

Tu t'es vue, ce jour-là encore, passer par cette ruelle, ton corps non conscient de ce qu'ils vont te faire subir et pourtant ils l'ont fait, ils l'ont détruit, ils l'ont masacrer à leur façon. C'est à peine, si tu avais réussi à te relever de cette action ensuite. Tu avais été lâché, telle une noire face à ton destin, celui d'une violer et d'être prise pour un morceau de viande. Tu les as vus ses images, tu viens de les revivre en une seconde, en fermant les yeux, en pensant que c'était encore une fois pour ta gueule, toi qui n'a rien demandé et toi qui essaye de nouveau de vivre de cette honte accablante..

Pourtant c'est bien un simple Merci faible, désorientée et détruit qui sort de tes lèvres, venant réfléchir à quoi dire alors que les larmes coulent encore d'elle même lentement sur tes joues. C'est affreux et si horrible que tu pensais vraiment à la fin d'un monde dans lequel tu vis, dans celui qui tu espérais ne jamais revivre.

credits img/gif: pinterest
code by lumos s.

(Invité)

ce n'était pas dans les habitudes de zhenya de sortir aux petites heures du matin. pourtant, sans savoir réellement pourquoi, la demoiselle a eu envie de sortir et de se changer les idées. zee se promenait depuis quelques minutes, heureuse de pouvoir se promener, après avoir étudié durant plusieurs heures. la jeune femme en avait plein les bras, depuis le début de l'année scolaire. il s'agissait de sa dernière année. bientôt, elle allait devoir trouver un internat dans une compagnie d'architecture, afin de pouvoir commencer à travailler dans son domaine. bref, la jeune femme était stressée, mais ça faisait parti de son quotidien depuis un long moment. pendant qu'elle se promenait, elle entendit alors un cri d'une femme. zhenya alla voir et remarqua qu'une demoiselle se faisait attaquer par un inconnu. zhenya n'aimait pas voir ce genre de situation. elle alla rapidement aider la jeune femme, même si elle ne la connaissait pas. c'était dans ses habitudes, tout simplement. l'inconnu disparu dans la nuit. la belle brune n'a pas eu le temps d'identifier l'homme. s'il fallait qu'elle le décrive, à la police, elle ne pourrait pas. c'était la nuit et il était habillé tout en noir. elle demanda si elle avait mal, mais l'inconnue la remercia. « tu n'as pas besoin de me remercier. je veux savoir si tu as mal quelque part? si tu as été blessé, il faudrait aller à l'hôpital. » il n'était pas question que zhenya la laisse toute seule, surtout dans son état. elle devait sans doute être dans un état de stress post-traumatique. elle avait besoin de soutient. zhenya allait lui donner.

(Invité)

(Contenu sponsorisé)