TOPIC COMMUN ► 31 OCTOBRE (FIN DE L'INTRIGUE)

quelques regards échangés sous le porches avec des proches des disparus arrivant à la soirée. fuyez, ça craint.. que t'as envie de leur sortir. le champagne est dégueu et si vous aviez encore un brin d'espoir pour les disparus avec cette soirée, plus aucun doute... ils sont tous morts. portable en main, tu le ranges dans ta poche en soupirant après que hope t'es informé qu'il fallait descendre quelque part. t'indiques à arwy que tu reviens à l'intérieur par messages et lui souhaite une bonne soirée avec sa pote. tu pénètres dans la maison une seconde fois, presse le pas pour rejoindre @Mickey Ainsworth et @Hope J.F. Kennedy en jetant un coup d'oeil à l'écran où est inscrite la fameuse phrase, plus arque un sourcil en te rendant compte que la lumière déconne. tout est à chier ici en fait ? c'est chelou non ? fronces les sourcils tout en faisant irruption dans le sous sol. la découverte du... collectionneur. son monologue, des cellules semblables à celles des prisons qui s'allument les unes après les autres, bombe à l'intérieur de chacun d'elles ok. c'est hyper chelou. glauque, effrayant même. il se passe quoi là ? puis c'est gaïa que t'aperçois. au fond de sa 'cage' et là, t'as la pression d'un coup. t'es comme figé sur place. ta main qui se resserre sur celle de hope. dans un murmure presque inaudible, tu regardes mickey en disant ça va aller... oui oui, vous allez trouver une solution. on essaye de ne pas paniquer, de ne pas faire n'importe quoi. parce qu'il est clair que t'as envie de lui sauter à la gorge à ce fils de p*te que quelqu'un appelle les flics.. que tu marmonnes doucement. tu vois bien que la majorité des personnes présentes sont sous le choc, alors tu lâches la main de @Hope J.F. Kennedy, pour saisir discrètement ton téléphone, baisses la tête, essayes de taper le numéro d'urgence pour prévenir la police et vous mettre sur écoute, sans sortir ton téléphone et vous faire prendre. pendant ce temps là, une fille pète carrément un câble en hurlant. coup d'épaule à @Mickey Ainsworth, puis lui dit discrètement putain, faites là taire bordel de merde ! tu lui fais signe du regard en lui montrant l'appel que t'es entrain de passer aux flics.

Je n'avais pas le temps de comprendre ce qui se passait que j'observais un mouvement de foule après la baisse de l'éclairage de la pièce principale. Puisqu'il faut y aller, allons-y. @Katalia Borgia me retient dans les escaliers en essayant de retenir @Neal T. Hood de descendre, et je manque par la même occasion de m'écrouler sur l'italienne. C'était plus fort que moi, je voulais voir ce qui valait tant une mise en scène lugubre. « Faut qu'on sache, Kat... » lançais-je, lassée de toute cette ambiance qui ne manquait pas de me foutre le cafard. Je croisais le visage de mon père (@Mark Underhill) et d'@Ophelia Taylor, ne préférant pas les déranger, avant d'atterrir dans cet espace sombre qui se trouve visiblement en sous-sol. Eclairage lancinant, laissant apparaître des cellules habitées, cernées d'explosifs, et le discours du grand malade qui a orchestré tout ça. Mes yeux cherchent dans ces geôles le regard de @Lukas O. Spritz. « Putain d'merde... » soufflais-je, ahurie. Je sens monter en moi la rage, envers ce fou furieux (@Keith Linbergh) que j'avais déjà vu lors de la battue, mais aussi croisé quelques fois au Holy. Ce fils de pute me donne la gerbe. « C'était quoi ton objectif, mec ? Garder ces gens enfermés toute ta vie, pour ton plus grand plaisir de maniaque ? » Je regrettais que Neela ne soit pas là, je sentais les retombées des semaines de recherches sur mon corps, et les pulsions violentes renaître.

(Disparu depuis le 5 novembre)

Depuis le matin, il s'active. C'est le branle-bas de combat. Et je crois que tout le monde a finalement compris. C'est la fin. Le cul-de-sac sans possibilité de passer outre. Coincé derrière les barreaux, y'a pas grand chose à faire contre le mécanisme posé devant et qui nous fait de l'oeil méchamment. J'ai beau foncer pour beaucoup de choses, je fais pas partie de l'équipe de déminage des forces spéciales, alors je me risquerai pas à aller tripatouiller là-dedans. Oh, je me suis bien approché pour voir ce que ça donnait, mais j'ai pas de degrée sur "comment détruire les plans d'un psychopathe confirmé", alors j'ai pas touché. La fin viendra. Elle est déjà plus tôt que ce que je croyais. Pour le coup, je pose les armes sur le côté et le cul sur le lit du bas. Reste qu'à attendre le feu d'artifice...

Allez savoir combien de temps je suis resté plus ou moins immobile, fixant le mur devant moi avec toutes ces représentations que j'y ai peinte pour ne pas devenir fou. Une touche pour chacun... La fatalité m'a atteinte, mes coudes sur mes genoux pour me faire réaliser que je verrai plus les miens, mais qu'eux finiront par nous trouver ...sous les décombres d'un édifice qui aura imploser. Lorsque je remonte à la surface, les lumières fermées m'indiquent qu'il est tard, puisque le couvre-feu est normalement à 23h, mais les murmures interrogatifs me font déplier ma carcasse et me rapprocher des barreaux. C'est quoi ce bordel?

Les lumières qui s'allument m'aveugle un moment avant de constater qu'une foule se tient au milieu de l'arène. Tordu au point de nous afficher? C'est quoi, on doit donner un spectacle avant d'être balayé de la surface de la planète? Sa présentations se fait entendre, comme quoi nous ne sommes pas une collection complète… putain de cinglé. Mais c'est en croisant des regards familiers que je réalise ce qui se passe. "Leur" fautes? Tu comptes vraiment leur foutre ça sur le dos, Keith? Les poings serrés jusqu'à en avoir les jointures blanches, la colère m'envahit. Ils veut faire sautrer tout le monde ce grand malade! Keith, je te jure que s'il leur arrive le moindre mal et que je te mets la main dessus, tu vas chercher longtemps à te rappeler ce que ça fait de respirer!

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il va nous faire péter ce con ! j'le savais. il a dit qu'il allait pas nous tuer. c'est quoi ces installations là ? t'es pas aveugle. les autres non plus. vous avez bien vu qu'il n'arrêtait pas avec ces allés retour, ne répondant même pas à vos questions. c'est des bombes que vous avez là. des bombes ! un putain de menteur ce @Keith Linbergh. en même temps, est ce que vous devez en être étonnés ? pas du tout. ce mec est un malade. le mal au ventre, les tripes qui se tordent. la fin est proche. tu le sens, t'en es persuadée. il va tous vous faire péter , tout en même temps. tout va exploser. t'aurais dû mettre un terme à toute cette souffrance beaucoup plus tôt. t'avais espoir, espoir de retrouver tes amis. t'es dépitée. tu n'as jamais autant souffert de ta vie. yeux écarquillés, tu te rues sur les barreaux quand tu vois des personnes arriver. il s'passe quoi ? puis, tu manques de t’effondrer quand t'aperçois tes amis et ton petit ami. t'as juste envie de leur hurler de faire demi tour. tu regardes les autres détenus, totale incompréhension. keith et son discours. ça l'a mit en rogne d'en avoir échappé un. tu comprends tout maintenant. c'est à cause de ça, ces bombes. ton regard qui se porte sur tes proches. non, t'as pas envie qu'ils assistent à ça @Mickey Ainsworth, @Hope J.F. Kennedy, @Mikke Fitzgerald, @Teddy Lodges, @Mark Underhill. accrochée aux barreaux de ta cellule, c'est un regard de désespoir que tu leurs lance, chacun leur tour. je suis désolée. tellement désolée de vous mêler à ça. les larmes qui coulent sans que tu ne puisses les retenir. ils sont là, et vraiment, tu te dis que c'est surement la dernière fois que tu les verras. t'essayes tant bien que mal d'imprimer leur visage une dernière fois dans ton esprit. que la dernière chose que tu vois avant de mourir soit tes proches. il en manque, évidemment, mais vraiment, ne fais pas la difficile gaïa. tu déglutis, te mets à trembler. t'es frigorifiée. la peur, la tristesse et aussi ta santé qui en a prit un coup. t'es faible. de plus en plus. tu les vois, en panique et t'as plus de force pour rien. tu peux pas crier, t'arrives plus. serres les barreaux encore plus entre tes doigts, essayes de sourire pour leur montrer que t'es heureuse de les voir malgré tout. les larmes n'en finissent plus de couler. t'en vois qui prennent la parole, qui essayent de parler à keith, mais t'as peur. tu connais la bête. aucune envie que quelqu'un essaye de s'en prendre à lui. il a tout en main pour vous faire tous péter. t'aurais pu hurler si tu pouvais, mais trop d'émotions qui se mélangent d'un seul coup. la seule chose que tu trouves à faire c'est capter le regard de @Mickey Ainsworth pour t'aider à surmonter les choses. et pour qu'il lise sur tes lèvres, t'essayes de bien articuler un 'je t'aime...'.  mais rien de plus. front qui se repose sur les barreaux. le temps qu'il se passe quelque chose.

Heureusement qu'il l'avait sa belle. Si physiquement, c'était lui qui avait l'air d'être le pilier, comme souvent, il s'accrochait à elle. En essayant d'être un bon compagnon bien sûr, de la soutenir, de faire qu'elle soit heureuse. Mais c'est elle qui le comble de bonheur. « Oui... je suis inquiet. » dit-il doucement avec un soupir avant que la lumière ne se tamise. Il fronce les sourcils et regarde l'écran. « Qu'est-ce que... » Il croise le regard de @Naëlle Underhill-H et se demande pourquoi tout le monde obéit si sagement à ces instructions. Il regarde @Ophelia Taylor et caresse sa joue. « Je... Je dois suivre Naëlle. » dit-il. Il avait envie de lui dire de retourner à la voiture et de l'attendre là mais il savait qu'elle n'écouterait pas. Alors il alla d'un pas rapide à la suite de sa fille, tenant la main de sa belle. Ils arrivèrent en bas et la personne qui paradait sur la passerelle n'était autre que... @Keith Linbergh. Mark sentit la tête lui tourner alors qu'il balançait son discours. « Putain de merde... » gronda-t-il en cherchant ensuite @Gaïa Murdock du regard dans les cellules. Il la vit. Si faible, si fragile. Son instinct paternel lui tordit un peu plus l'estomac. Si seulement il avait su... su que le mec qui bossait au Holy, son "ami" tenait la puce dans son sous-sol. Des larmes de rage emplirent ses yeux. Il regarda sa femme, essayant de reprendre son sérieux. Il était sans doute l'ainé présent ici, il devait essayer de garder le contrôle de ses émotions. « Va te mettre à l'abris mon coeur... Et essaie de prévenir tes collègues discrètement... » lui souffle-t-il discrètement. La porte était fermée mais elle pouvait s'éloigner des bombes.

petit frère d'@Alexander Windsor, disparu depuis le 12 octobre
ex petit ami de @Rosalia C. Borgia, disparue depuis le 15 octobre

A peine arrivés que ta garde rapprochée repart aussi sec, après une crise d'angoisse de @Lola Windsor . Tu approuves d'un signe de tête quand @Greg Longdale et @Harry Prescott décident de la suivre. Tu t'en veux, elle ne voulait pas venir et tu as insisté, parce que tu te sentais mal tout seul. Mais c'était ton choix de venir, tu devais assumer cette soirée glauque au possible maintenant. Dans l'assemblée, tu croises le regarde de ton amie @Cleo Salazar qui te fait un petit signe, auquel tu réponds tristement. Tous liés par ces putains de disparitions. C'est à ce moment là que tout s'enchaine. Une porte qui s'ouvre sur un escalier, un écran avec un message improbable... Certaines personnes descendent sagement, peut être crédules ou sous le choc, mais d'autres montrent des signes de méfiance et d'anxieté. Un mouvement de foule se met en place quand @Katalia Borgia tente de faire marche arrière et tout s'accélère. Tu es comme les autres : tu sais qu'il ne faut pas y aller, mais tu y vas quand même. Tu sens au fond de tes tripes qu'il faut que tu y ailles. Tu jettes un œil à l'extérieur de la villa avant de descendre, te demandant si Lola, Greg, Harry ou James sont encore dans le coin et te voit te rendre au sous sol. Si oui, ils s'inquiéteront de ne pas vous voir remonter et appelleront les secours. Comme prévu, en bas, c'est une horreur visuelle. Vos proches, si chers, enfermés comme des bestiaux en cage, avec une bombe devant chacun d'eux. Tes yeux cherchent @Alexander Windsor et tu bouscules quelques personnes sur ton passage pour t'approcher de lui. Tu t'accroches à son regard, et tu tapes du poing sur ta poitrine, fraternellement, à défaut de pouvoir le toucher, le prendre dans tes bras. Tu ne dis rien mais il te voit. Il voit que tu es là. Il lit tout dans tes yeux. Tes oreilles bourdonnent des cris et murmures autour de toi, et pourtant tu entends distinctement au dessus de toi, ce psychopathe qui vous parle, qui vous menace, toi et les tiens. Parce que, à cet instant, vous êtes tous une famille, qui avez peur de la suite. T'entends un mec parler d'appeler les flics, et, détournant à contre cœur ton regard d'Alex, tu le regardes, lui, @Mikke Fitzgerald et te place devant lui, pour le cacher au regard du taré qui vous matte de là haut. Afin qu'il puisse se mettre en écoute avec la police discrètement. De ton côté, T'appuies sur ton portable dans ta poche, et tu cliques sur la touche d'appel d'urgence, directement lié au numéro de @Greg Longdale . Si tu l'appelles, même s'il n'entend rien du fin fond de ta poche, il saura qu'il y a un problème. Tu l'espères. Il a les épaules solides : il saura quoi faire. Tu murmures pour les gens autour de toi, le plus discrètement possible pour ne pas éveiller les soupçons. : "J'essaye de joindre mon pote qui était là il y a peu. Il sait où nous sommes. Il pourra peut être comprendre et joindre les flics."

La réception se déroule, tranquillement quand tout d'un coup on vous invite à descendre, forcément tu suis le mouvement accompagnée de @F. Tom O'Callaghan qui te lâche pas, que tu ne lâches pas de toute façon. Tu suis la foule, descendant en bas des grands escaliers, là il n'y a plus aucune lumière et tu serre la main de ton meilleur ami dans la tienne. T'as jamais aimé le noir, l'absence totale de lumière ça t'fais paniquer tellement fort. Au bout du chemin, vous arrivez tous, dans un endroit si effrayant, te tournant vers ton meilleur ami "c'est quoi cette soirée de bienfaisance trop chelou là..." t'avais peur clairement.
La porte se ferme une fois que tout le monde est entré et tu sursautes "putain .. j'ai peur tom" que tu siffles entre tes dents. Et la lumière s'allume.
Des cages, des barreaux, des bombes placées devant chacunes des cellules. macy... lukas.... ils étaient là, sous tes pieds, dans ces cages, putain. t'es choquée, tu ne sais plus parler, les larmes te montent aux yeux, tu ne peux pas y croire, pas eux, pas là. Un homme prend la parole et tu lèves la tête encore choquée. À ses mots ton sang ne fait qu'un tour, tu cours sous la passerelle où il se trouve, le pointant du doigt.

"HIJO DE PUTA ! JE VAIS TE TUER !"

que tu hurles alors à t'en briser les cordes vocales. Tu t'en veux putain, tellement fort, si t'avais su protéger tes amis, ils ne seraient pas là, tu te hais, tellement fort. "descend si t'es un vrai homme, ma parole d'honneur que tu vas crever" , toi la sainte, t'as le démon dans les yeux.

Mon attention est happée par le mouvement général. Tout le monde se déplace vers des sous-sol. Je suis surprise, un peu méfiante mais après tout, je me dis que c’est une bonne nouvelle. Quand la lumière éclate mes pupilles, que cette voix résonne dans ma tête… Il me faut un temps pour assimiler ce que je découvre sous mes yeux. Toutes les réactions sont vives et se mélangent autour de moi. Dans ma tête, je n’ai qu’une seule chose : @Nixon Sherwood . C’est alors que je le vois, dans cette cellule. Bien amoché par ce mois. Puis mon regard se pose sur cette bombe. Ce rempart entre nous me rend malade. «   NIXON !  » Ma voix s'élève malgré moi, fixe mon meilleur ami avec encore plus de désespoir. Impossible de le retrouver, à présent, impossible de le sauver de ça. Sous mes yeux, je suis impuissante. Je contiens toutes mes émotions, elles explosent à l'intérieur de moi. Je refuse de lui offrir ma souffrance, c'est un psychopathe et pas le premier que je rencontre. Jamais je ne le laisserais profiter de ma douleur. Je pose un dernier regard sur Nixon avant de le regarder lui, de sa hauteur. Si je pouvais le tuer d'un regard, il ne serait même plus reconnaissable. Mais là, je n'ai rien. Pas une arme, ni le moyen de monter lui péter les dents. J'accompagnerais bien cette fille qui s'énerve pour le tuer aussi, mais c'est peine perdue. Je le sais d'avance. Alors je reste en retrait réfléchissant à un moyen de se sauver de tout cela. Et les bombes, c'est pas le genre de chose que je maitrise. Malheureusement ? Intérieurement, j'ai déjà demandé "pardon" à Nix des milliers de fois.

petit ami de Gaïa Murdock, disparue depuis le 9 octobre | ami d'Alexander Windsor, disparu depuis le 12 octobre

Je voulais juste franchir ces quelques mètres qui nous séparent pour la tenir dans mes bras, l’embrasser et sentir son odeur. L’entendre me parler et lui dire à quel point je l’aime. Soulagement que de voir qu’elle était là, vivante, ma @Gaïa Murdock. Seulement, des bombes, partout. Elles étaient sur toutes les portes des cellules et nous empêchaient de retrouver nos proches. Je me mets à attraper la main d’@Izzy Bulger, par réflexe, tandis qu’@Hope J.F. Kennedy le faisait avec @Mikke Fitzgerald. C’était ça, l’instinct. Tandis que tout le monde s’agitait, pleurait, criait, je me contentais de regarder celle que j’aimais, celle qui me manquait plus que tout. Et elle me voyait, je l’avais remarqué. Forcément que j’avais les larmes aux yeux, la retrouver, être si proche et pourtant si loin, ça me touchait, plus que je ne pouvais l’imaginer. Alors je lui répondais, avec mes lèvres. “Moi aussi je t’aime”. Est-ce que t’allais comprendre ? Je pense pas, alors je lâche la main d’Izzy et au dessus de ma tête, je te faisais un cœur, de mes mains, en espérant que tu gardes espoir qu’on se retrouvera. Après tout, c’est presque la fin. Izzy rameutait @Aubrey Nicholson tandis que Mikke me bousculait légèrement, me montrant ce qu’il était en train de faire. Un pouce caché pour valider, en espérant que ça fonctionne. Quelque chose me dit qu’il était pas con le mec, pour nous faire descendre, il devait avoir pensé à tout, y compris un brouilleur de signal. « Hey, toi là haut ! » que je disais à l’intention de @Keith Linbergh. « C’est quoi ton plan ? Tous nous descendre ?? »

(Meilleur ami de @Lukas O. Spritz Disparu le 1er octobre)
(Ami d'enfance de @Nixon Sherwood Disparu le 5 octobre)

Je n'ai pas le temps de demander ce qui se passe que soudainement les lumière se tamisent. Je me demande ce qui se passe, mais aussitôt, la foule fait un mouvement de masse et je me retrouve emporté par le mouvement vers un escalier descendant. Il fait excessivement sombre, je ne vois rien à deux pas devant moi. Je descends l'escalier avec Neal, un peu nerveux de ce qui nous attends en bas. En fait, non, je suis apeuré. Tout ça ne me dit absolument rien qui vaille. Une fois en bas, j'entends les clameurs, mais je ne vois presque rien. Je crois cependant que quelque chose de terrible va arriver. Mon pressentiment était juste.
Les lumières s'allument d'un coup, avec une force fulgurante, et aussitôt, je vois le décor dans lequel on se trouve. On dirait une installation carcérale, des cellules à perte de vue qui nous entourent, et au beau milieu, une tour avec une cage de protection. Je jette un oeil autour... Et aussitôt je hurle. "LUKAS! NIXON!" Je vois mes deux amis, dans des cellules. Ils sont fortement amochés, ils ont l'air d'être des spectres, des ombres de ces personnes qu'ils étaient autrefois. Je me dirige alors vers la cellule de Lukas, je m'agrippe aux barreaux. Il est là, et je sens comme une tonne de brique qui s'effondre dans ma poitrine. Je l'ai retrouvé... Je me retourne alors vers le cinglé qui les a enfermés là (@Keith Linbergh) Et je ne me retiens plus. Ce petit enfoiré va mourir s'il descend, je vais m'en charger personnellement. "ESPÈCE DE CONNARD!" Les mots m'échappent, et aussitôt j'essaie de courir vers la tour, trouver une entrée pour pouvoir me diriger directement vers lui et lui flanquer mon poing dans sa figure, mais je ressens un bras qui s'empare du mien.

@Neal T. Hood @Katalia Borgia @Naëlle Underhill-H @Lukas O. Spritz @Nixon Sherwood @Bisha Francés