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TOPIC COMMUN ► 31 OCTOBRE (FIN DE L'INTRIGUE)

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Valentin Rothschild
Eowyn Clark
Sofia Dunn-Aguera
Neal T. Hood-Spritz
Katalia Borgia
Rhys Ackerman
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(ami d'enfance de @Alexander Windsor, disparu depuis le 12 Octobre)
(ami de @Calliopé L. S.-Warner, disparu depuis le 10 Octobre)

C'est une vision d'horreur, toutes ces cages. Le soulagement de retrouver les disparus est rapidement enseveli par la menace qu'un fou furieux fait encore planer. Personne n'est maître de la situation. Sauf lui. Et au bout de son doigt, il détient le pouvoir d'annihiler plus d'une cinquantaine d'individus. Pour son plaisir personnel. Pour sa folie. Pour ...une raison qui lui est propre, clairement. Un complexe de Dieu très probablement de ce que le blond peut en comprendre. Il n'avait pas croisé un cas qui pouvait grimper jusqu'à cette échelle, prendre autant de moyens. Ou peut-être avaient-ils emprunté une avenue différente. Mais peu importe, il lui semblait bien qu'il n'y avait plus beaucoup de solutions. Les forces de l'ordre et leurs équipes spéciales arriveraient-elles à temps? Il n'en savait rien, ne pouvait calculer le délai qui leur restait, le chrono ne tenant qu'à la patience de l'homme qui ne croyait plus en être un. Alors les secondes, les minutes s'écoulaient au milieu des cris, des pleurs et autres émotions. Blême, silencieux, Thaddeus se contentait de se tenir droit, ne cherchant pas à passer par-dessus les autres qui essayait de raisonner le responsable de tout ça. Il avait un certain talent pour les discours et les discussions qui ne l'intéressait pas, simplement pour gagner du temps, mais, sans vouloir l'admettre à voix haute, il savait qu'il n'arrivait à rien, la peur s'agrippant à ses entrailles, lui refusant de se démarquer de la foule même pour négocier ce qui pourrait être leur salut. Et pourtant celui-ci vint tout de même. Sous les traits d'une équipe vêtue de gilets par balles. Les consignes furent bientôt données et le blond ne put qu'obtempérer après un dernier regard pour les deux visages connus restants derrière les barreaux.

La lueur des véhicules balisés le libérèrent d'une certaine peur, mais la crainte resta nichée en lui. Refusant de quitter les lieux, il attendit à l'écart que les victimes sortent finalement. L'attente fût à nouveau incalculable, le temps n'ayant plus la même emprise qu'à l'habituel. Et finalement, un à un, ils remontèrent.

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(Disparu depuis le 5 novembre)

Réalisant ce qui se passe, comprenant que la police est là, j'aimerais que le tout me soulage, mais l'inquiétude est encore au fond de mes tripes. Parce que le taré en haut tient encore le détonateur, contrôle encore la vie de chacun d'une pression du doigt. Et j'ai juste pas envie qu'il décide de prendre la présence des forces de l'ordre comme le détail ultime qu'il manquait pour tout faire sauter.

Mon regard passe entre lui et la foule qui bouge en deux temps; certains se dépêchant de sortir, d'autres collant un peu plus longtemps, refusant de laisser des êtres chers derrière. Scannant la foule, je vois certaines têtes connues accepter de suivre les consignes. La silhouette trop tendue et blessée de Neal… impossible de capter son regard. Mais celui d'Elia… mes traits s'adoucissent et je trouve la force de lui sourire, faisant un signe de tête vers la sortie pour lui indiquer de partir. Et si elle hésite encore : "Je t'ai promis…" rappelais-je en montrant mon annulaire gauche. Je t'ai promis qu'on irait chercher de nouvelles alliances après le talent show. C'est pas tout à fait ce qui s'est passé et la date a été retardée, mais on ira. Je veux qu'elle y croit. Je veux qu'elle accepte de quitter l'arène. Je la suis des yeux lorsqu'elle finit par s'éloigner, acceptant finalement de fermer les yeux, attendant le bouquet final. Pardon Elia, je sais pas si je pourrai la tenir cette promesse là...

En attente, je n'écoute plus l'échange entre la policière (Echo) - ou tout autre secteur d'action - et Keith. Ce mec, je l'ai assez entendu. Pas besoin que ce soit le dernier son à mon oreille avant qu'on m'efface de la surface de la planète. Les coups de feu me surprenne, me faisant ouvrir les yeux. Ils résonnent dans l'arène même après qu'elle aie abaissé le revolver. Ou est-ce que l'écho n'est que dans ma tête? Pour bien me faire réaliser que ça signifie la fin d'un calvaire?

Les paroles d'une autre femme (Erin)me font tourner la tête en sa direction et, mu par auto-pilote, mes pas me guident vers la grille, mes doigts l'enserrant lorsqu'elle disparait. Mon regard reste fixé là. Ce n'est que lorsqu'on me dit de reculer pour des raisons de sécurité lorsqu'ils tripatouillent le mécanisme que j'accepte de laisser disparaître de ma vue le chemin de la sortie. Et avant que je ne le réalise pleinement, c'est à mon tour de m'y engouffrer, de grimper l'escalier pour retrouver l'air libre. Putain de l'air!! Sentait la brise, mes pas s'accélèrent automatiquement, mais une fois sur le seuil, la lumière des gyrophares qui m'aveuglant momentanément me fait ralentir. Je devine plus que je réalise véritablement que le poids qui percute n'est autre que Elia. Son odeur m'emplie, me rassure et j'en referme mes bras autour d'elle enfouissant mon visage dans son cou. "F*ck, j'ai cru que ça arriverait plus ça!" Avouais-je, la voix cassée. Alors mes lèvres se pose sur sa peau, déposant un baiser, puis un autre et encore un… Plusieurs pour remonter à ses lèvres que je vole, prenant son visage en coupe. Manquant de souffle plus rapidement qu'à l'habitude, je suis obligé de la relâcher. Aller savoir combien de temps je suis resté là, contre elle, mais c'est assez pour qu'un infirmier entre dans mon champ de vision m'indiquant, doucement, mais sans possibilité de contre-dire qu'il faut se diriger vers l'ambulance. Acquiesçant, je le suis, entraînant Lili avec moi, refusant de la libérer de mes bras. C'est en approchant du véhicule que je finis par repérer Lana, sa tête blonde bien entourée. Une bonne chose. Une issue rassurante. Mon regard accroche aussi Neal et Lukas, scotchés l'un à l'autre. Un long regard... Lâche pas...


@Neal T. Hood @Elia Milano @Echo Marozan @Keith Linbergh @Erin Bishop @Lana Killbane @Lukas O. Spritz
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Je ne comprends pas du tout ce qui est en train de se passer. Tout est silencieux, tout est plongé dans le noir si subitement, qu’il me faut un petit temps pour me rendre compte que nous sommes tous dans la même galère. Mais je t’ai vu, je t’ai vu et je sais que t’es là, je sais que t’es vivante. Le soulagement m’a pris un temps pour que la peur me prenne rapidement au cou. La peur de te perdre, de perdre Carla qui n’est pas là et qui ne sait absolument pas ce qui est en train de se passer. Mais j’ai besoin de rester fort, de me dire que tout va rentrer dans l’ordre. J’ai du mal à m’entendre penser, avec toutes ces personnes qui sont en train de crier des prénoms, qui sont en train de parler à tout va. Alors je secoue la tête, essayant tant bien que mal de réfléchir et d’essayer de mettre mes esprits dans le bon ordre. Neyla ?? ma voix, je ne la contrôle pas, elle me contrôle. Cette bombe elle nous menace et je suis prêt à tout pour pouvoir te retrouver et tenter de te sortir de là. Nous ne sommes pas seuls, et je finis par me rapprocher un peu, ta voix étant un peu plus proche Neylaaaaaa ! lance-je plus fort, en entendant de l’autre côté de la pièce, que des agents du FBI sont présents pour nous sortir de là. Arrivant finalement à t’atteindre, espérant que c’est vraiment toi et pas une autre personne Ney ?

@Neyla Al Zahid
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disparue depuis le 6 octobre

faible, tu avais finalement sombré à nouveau dans le mutisme. parlant seulement à @Keith Linbergh quand il se rendait face à ta cellule. enfermée à nouveau dans ta propre bulle, tu ne dansais même plus. tu ne t'entendais plus rien. tes compagnons avaient-ils cessé de jouer leur mélodie ? ou était-ce simplement toi qui t'étais perdue loin dans ton esprit ? tu ne sais pas vraiment, oz. tu t'en fiches, tu attends que le temps passe. et il est long, si long, c'est d'un tortueux. autant que la lumière qui t'aveugle d'un coup toi qui étais plongée dans le noir. autant que les cris, les haussements de voix qui s'élèvent et te percent les tympans. tu clignes des yeux plusieurs fois, tournes légèrement la tête. silhouettes d'inconnues qui se dressent devant toi, tellement nombreux. les yeux qui s'écarquillent alors que tu entends tes compagnons se précipiter à leurs barreaux. tes yeux scannent, cherchent dans la panique. tu les cherches, ces étoiles qui devraient briller parmi le reste. pourtant c'est le cri d'une voix familière qui t'attire d'abord, celle d'@Eros Arnault. ta soeur @Luna Moon à terre. le corps qui se redresse difficilement, s'accroche aux barreaux. voix affaiblie ce n'est qu'un appel noyé dans la masse que tu pousses. "luna ?" silhouette jumelle qui fonce sur toi. grande soeur protectrice, celle que tu admires si fort s'abattant contre les barreaux pour te prendre dans ses bras. @Adhara Moon qui brille si peu par rapport à d'habitude. était-elle restée dans le noir trop longtemps, elle aussi ? esprit embrumé, qui ne sait que trop peu comment se défendre face à ce regain d'espoir. mais instinctivement tes bras la serrent malgré la barrière, les larmes montent. souvenir de son dernier message avant d'appeler te coucher, espérant devenir une aussi grande figure qu'elle. "addie me laisse pas" par pitié qu'on ne te l'arrache pas, plus jamais. pourtant elle se détache. toi qui es déjà prête à le ressaisir avant de voir ce que le monde constate. bombe. poupée brisée qui réalise aux instructions de sa soeur, qu'elle n'est pas si inerte. qu'elle a envie de vivre. baiser déposé sur ton front, sanglot qui s'arrache de ta gorge douloureuse. tu recules, tu recules en pleurant comme une enfant, t'étouffant presque. tu entends luna qui hurle ton nom. "luna ?! luna !" l'appel en détresse que tu lances désespérément en te glissant sous ton lit. comme une enfant qui a peur d'un monstre. tu entends tout le monde partir, vous quitter, te quitter. complètement déboussolée tu ne comprends qu'une chose : coup de feu. puis la voix d'une femme (@Erin Bishop). c'est terminé. vraiment ? tu sors de ta cachette. et la question qui se pose étrangement. "où est keith ?" tellement secouée que tu ne parviens pas à rassembler les pièces de ce puzzle si simple. cellule ouverte, tu avances à petits pas, craintive. comme si c'était l'extérieur qui te ferait du mal désormais. l'air frais qui mord ta chair, qui t'aide à reprendre ton souffle. comme une renaissance. tes yeux qui se posent cette fois directement sur @Izaya Stratton et @Adhara Moon puis sur @Luna Moon et @Eros Arnault. les pas qui avancent péniblement mais le sourire qui se dessine à travers les larmes.
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Jasper O. Ellington

Âge : 35
Lieu de naissance : Chicago.
Quartier d'habitation / Colocation : boston, dans un appartement sans âme mais avec jacuzzi (et avec Théa)
Situation sentimentale : l'éternel célibataire, qui s'est trop planté pour se lancer à nouveau
Études / Métier : directeur de la société Ellington, et expert en cybercriminalité
Date d'inscription : 14/05/2012
Pseudo & Pronom(s) IRL : GLEEK!
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Faceclaim : Milo Ventimiglia
Crédits : fakementine avatar), lumos solem (gif profil)
Multicomptes : Billie & Horace
Description (1) :
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Infos ancien étudiant, ancien président de la Dunster House ● a implanté une succursale de son entreprise à Boston ● a fait des études d'informatique & mathématiques appliquées ● petit génie en technologie & hackeur doué ● n'a pas toujours été riche, et ne l'oublie pas ● né à Chicago, a habité ensuite à N-Y lorsqu'ils ont élevé leur niveau de vie ● élevé par son père, sa mère étant morte dans un accident de voiture quand il était jeune, mais semble l'avoir oubliée ● il s'est avéré que sa mère était finalement morte en donnant la vie à Leyna, sa soeur ● voit la vie comme « marche ou crève » ● son père et lui possèdent une entreprise à N-Y, c'est là sa plus grande fierté ● croit à la réussite au mérite, et à la loi du Talion ● travailleur acharné, passionné, quasi maladif ● cherche à prouver sa valeur par tous les moyens ● sa seule crainte est d'être un fardeau ● doué en amitié, moins en amour, ayant une sévère tendance à se protéger de tout ce qui pourrait l'atteindre et le diminuer ● plutôt fêtard, malgré les apparences ● éternel optimiste ● ses vengeances sont glacées, et à couvert de l'anonymat derrière un ordinateur ● d'ailleurs, frôle parfois l'illégalité ● a hérité de quelques cicatrices et une perte de sensibilité dans les doigts à la suite de la bombe ●

Présent : ses services sont utilisés par la police dans des affaires de cybercriminalité, en échange d'un casier vierge ● il a apprit l'existence de Junon, son fils, avec le retour de Lomée dans sa vie ● Leandra était enceinte de lui, mais a perdu l’enfant lors de l’accident de métro ● ils ont rompu juste après, suite à la révélation de l’infidélité de celle-ci ● il a été en couple avec Alaska pendant quelques mois, jusqu’à ce qu’elle décide de partir à Londres.

TRUE LOVE:

Warnings : addiction médicamenteuse, mensonge, ambition démesurée, relations amoureuses indécises et toxiques
RPS : 77
Messages : 24941
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Jasper O. Ellington
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I WANT IT, I GOT IT › push until you can't
Fiche de présentation : https://www.i-love-harvard.com/t8346-jasper-o-ellington-ian-hardingRépertoire rps : https://www.i-love-harvard.com/t133102-repertoire-de-jasper-co#5337312Fiche de liens : https://www.i-love-harvard.com/t57600-jasper-bang-bang-i-shot-you-down

Il faut occuper, et s’occuper. Ne pas céder à la pression ni à la peur, qui gagne parfois un peu de terrain sur l’adrénaline et la raison. Alors, abandonnant temporairement son poste, l’homme passe les messages, radios et aux effectifs présents. Reculer le périmètre, et surtout, accueillir les invités qui sortaient les uns après les autres, le visage marqué par la crainte. Ne s’attarde pas, adresse un signe de tête à @Wesley Patterson qui les aide. Puis retourne brièvement au fourgon. Assez longtemps pour s’faire surprendre par @Eris O'Hara qui se pointait. Qui se pointait, et qui n’avait rien à foutre là. Une-deux secondes, le temps de capter. « Putain Eris ! Qu’est-ce que tu fous là ? » Les prunelles qui vont sur la maison. « T’étais là-dedans ? » C’est bien Ellington, tu comprends vite. Tu comprends aussi maintenant pourquoi elle répondait à aucun de tes messages. Les doigts se posent sur l’épaule féminine, et il libère une place dans l’arrière du fourgon, grand ouvert. « Y a pas de plan, tu t’assoies et tu bouges plus. » Et, une couverture de survie est déposée sur les épaules. J’sais pas ce que t’as vu là-dedans, mais j’pourrais voir le film dans tes prunelles choquées. Un soulagement, puis un second quand @Crystal Burrows les rejoint. Chaque agent qui s’était englouti là-dedans, et qui revient, enlève une pierre à ce mur présent dans le ventre de l’homme. « J’en sais rien. » La radio trop silencieuse. « C’est comment là-dedans ? » Pas le temps d’une réponse, que des coups de feu proviennent de la bâtisse, et font sursauter la carcasse. Au milieu des cris, des pleurs, un silence. Un temps en suspens, jusqu’à sa radio qui crache la voix d'@Arizona Blackwell. « C’est bien reçu, ils entrent. » Le message est passé, et les démineurs s’engouffrent immédiatement par la porte principale. Reprend la radio, après un profond soupire, emportant avec lui les contractures. « Bien joué les filles, remontez vite. » L’information fait vite le tour, et ils attendent tous la sortie des disparus. Retrouvés. Une partie d’eux, un bout d’insouciance, ôté par cet évènement. « C’est fini. » Pour elles, pour lui, pour ceux enfermés. Et le corps retombe, assis, dans le fourgon. Sous les yeux, des morceaux de joie, sentiment pas encore totalement bouffé par l’ennemi. Un sourire flotte sur les traits, trahissant un soulagement heureux après des semaines de recherches. C’est ça, un happy end ?

(Jasper O. Ellington)



deux verres vides et le bruit dehors, on habite dans un corridor, tu t'abrites dans ce faux décor. prends moi la tête tant qu'on peut encore, et dis-moi que c'est trop tard, je serais d'accord. deux pièces vides qui résonnent trop fort ; on habite dans un désaccord. - mentissa
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(petite)-amie de @W. Sirius Nae

elle déambule cece, rumine les idées sombres. elle n’est plus qu’une ombre, elle s’accorde un peu trop bien au thème de la soirée la poupée brisée. elle foule le bitume de ses pieds abîmés, les mains fourrées dans les poches de son hoodie; elle se cache de ce monde en fête. les orbes plantés sur le sol qu’elle avale de sa marche, elle fait abstraction de tout ce qu’elle peut entendre. elle refuse de vivre, refuse de se réchauffer sous les rires, de succomber à la vie. plus depuis qu’il n’est plus là. elle n’a plus que lui en tête. lui dans le cœur, lui dans l’âme. et chaque instant passé, elle les passe à penser à lui. elle ne vit que pour lui, constance. passe ses journées à écumer les rues, participer aux battues, se brise le cœur un peu plus. à chaque seconde loin de lui. les lèvres tremblent sous le débordement d’émotions. elle a peur cece et elle n’ose imaginer ce qu’il peut ressentir, de là où il est. alors, elle s’accroche. elle s’accroche à tout ce qu’elle peut. ses vêtements, son odeur laissée dans un coin de son cœur, à ses rêves où elle le rencontre. le portable vivre dans la poche, entre les doigts. c’est incessant. dans un soupir, elle fronce les sourcils avant de se détendre, juste une seconde. @Soojin Min . un juron s’échappe en murmure de ses lèvres tandis qu’elle se bouffe les lèvres. elle devait la rejoindre ce soir, à cette fête. elle ne sait pas très bien pourquoi, mais elle avait le sentiment qu’elle devait y être. relevant la tête, la jeune femme lève le bras, appelle un taxi […]

elle est en retard. essoufflée après avoir couru toute la rue à cause du trafic, elle s’arrête enfin devant la demeure. sous ses yeux, une scène se déroule. les gens sortent de la bâtisse. son regard cherche alors la silhouette de sa meilleure amie. ❝ soo, tu sais ce qu’il se passe ? qu’elle demande, le souffle court, la main sur ce palpitant affolé. son regard se repose alors sur les gens. ❝ pourquoi ils sortent ? pourquoi ils pleurent ? pourquoi il y a la police, il s’est passé quoi ?? elle ne comprend pas cece, elle a peur cece.
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les opales oscillent successivement, du mobile à la rue, cherche la silhouette de sa colocataire et meilleure amie, carrure fragile. les pas s'alignent, se dirigent vers cette soirée de bienfaisance... à laquelle elle n'est pas certaine de vouloir se rendre. mais c'était toujours mieux que de rester enfermés dans l'appartement avec les idées sombres. soojin, elle ne sait plus quoi faire pour rassurer sa meilleure amie. bientôt un mois depuis la disparition de l'être aimé, l'étoile perdue, sirius. prénom pleuré silencieusement chaque soir, tandis que la brune tente par de vaines paroles de lui redonner espoir. elle range l'appareil au fond de sa poche après un dernier message à sihan, s'assure que cece a bien lu son message. au pire, elle l'attendra là bas. mais à mesure qu'elle approche l'adresse donnée, c'est le brouhaha qui attire l'attention, gamine aux sourcils froncés, constate que devant le manoir se trouvent une nuée de personnes, de gyrophares, police et ambulances combinées. quoi ? la première théorie, naturelle, est celle de l'incendie. alors elle s'approche, soojin. les pleurs de certains côtés, d'autres, la panique. et c'est alors qu'elle entend les discussions autour, qu'elle commence à saisir...

[...]

c'est quelques minutes plus tard qu'elle entend derrière elle le timbre familier de @Cece Wang . tourne la tête, interrogation visible dans les traits de la blonde. étincelle de vie. « je... » elle s'approche, entoure les épaules féminines de ses bras. « cece, je crois que.. » elle tourne les yeux vers la porte, d'où quelques agents armés sortent encore avec des civils sous le choc. « je crois qu'ils sont là.. » les mots sont incohérents, mais le choc lui fait perdre le sens de ce qu'elle raconte. enfant troublée, reporte son attention vers cece. « ce'.. je crois qu'il est là » ils sont tous là. évacués vers les ambulance. visages qui ont défilé aux informations au cours des dernières semaines. des survivants.
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elle ne comprend pas, cece. et tout ce qu’elle ne comprend pas, lui fait peur. les orbes rivés sur ces visages déconfits, emprunts de peur et de colère lui font peur. les murmures, elle n’arrive pas à les entendre tandis qu’elle serre l’étreinte autour du corps de sa meilleure amie. le palpitant s’explose contre les barreaux de sa cage alors que les mots sonnent comme des énigmes à ses oreilles. elle met trop de temps, @Soojin Min . la silhouette qui se décolle un peu pour la regarder. les sourcils joint en une moue inquiète. ❝ comment ça, ils sont là soo — et ce n’est qu’un souffle sur la barrière de ses lippes alors que les paupières papillonnent, chassent les perles salées qu’elle a trop longtemps fait couler ces derniers jours. se surprend à en avoir encore. il est là. et les bras relâchent la pression autour des hanches. le souffle s’arrache de sa poitrine si violemment qu’elle a l’impression qu’on vient de lui arracher les poumons. ❝ quoi qu’elle murmure. incapable de comprendre, de vouloir comprendre. les bourdonnement résonnent en son esprit. et elle secoue la tête cece ; les perles coulent lentement sur les joues creusés par l’inquiétude et la peur. les lippes tremblent. ❝ je comprend pas soojin et elle a beau essayé, les sens ne se rejoignent pas. le visage se détourne de la brune et s’attarde sur le manoir se dressant devant eux. ❝ comment ça il est là … et elle s’approche, pas maladroit. la silhouette qui se fraie un chemin parmi ce public. bouscule quelques êtres au passage sans forcément demander pardon. ❝ woojoo qu’elle murmure comme une litanie. c’est impossible, il ne peut pas être là. sa course est stoppée par une silhouette d’un officier, mais, elle ne l’entend pas. tout ce qu’elle entend c’est son coeur qui se brise un peu plus à chaque seconde écoulée, et elle reste là. les mains qui s’accrochent à son propre gilet, serre son corps sur le point de se brisé. les orbes cherchent, survolent les têtes descendant les marches. ❝ woojoo et elle prie cece, elle prie.

le palpitant fait chute libre quand elle le distingue ; il est là. il est là. il est là. et elle pleure cece, des larmes roulent sur ses joues. de joie, de fatigue, de tristesse, de colère. elle reste plantée là. l’admire de loin avant que le corps ne réagisse au coeur, trépasse la barrière invisible de l’officier pour courir en sa direction ; c’est comme si, elle puisait dans les dernières forces. se jette à ses bras. il est là, elle ne l’invente pas dans ses songes. il est là, il est en vie. ❝ je suis désolée fuck je suis désolée qu’elle répète à son oreille ❝ me quitte plus jamais elle implore cece, elle implore parce qu’elle ne sait pas si elle survivra la prochaine fois. ❝ je t’aime woojoo qu’elle souffle, avant d’être écartée par quelqu’un. se jette une nouvelle fois dans ses bras pour lui arracher un baiser. ❝ i saw you in my dreams
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Les cris, l’effarement, c'est tout ce que peut percevoir Calli. Elle n'arrive plus à suivre, il y a trop de monde, trop de bruit partout. Et cet homme, @Keith Linbergh, sur sa passerelle au-dessus d'eux tous. Mais Calliopé angoisse, terriblement après avoir vu le visage d'@Hana Birks face à elle. Comment peut-elle vraiment tenir face alors qu'elle sait que toutes ces bombes sont prêtes à tous les faire sauter, à ne laisser personne sains et saufs ? Elle ne sait pas vraiment. Au fond d'elle, elle n'est qu'une boule d'angoisse, mais elle a compris que ça ne servirait à rien, elle s'était ravisée, elle se disait qu'elle finirait sa vie ainsi, au fond de ce trou, sans jamais revoir ses amis, ses frères et soeurs et son père et en ignorant tout de sa famille biologique. Le bruit bourdonne dans ses oreilles, elle veut que ça se termine, vite, ne plus avoir à endurer ça.
          Mais un bruit sourd surplombe tous les autres. Et un second. Puis le fracas, le fracas d'une masse sur le sol en béton. Et le silence, enfin. Plus un bruit, plus rien. Calliopé a fermé les yeux, de peur. Ce bruit d'arme, cette odeur de poudre, ce sont des choses qui lui sont inconnues, et qui pourtant viennent de la sauver. Mais elle reste là, immobile, tel un corps sans âme au fond de sa cellule. La foule s'affaire, on les évacue. Mais Calliopé est trop épuisée pour vraiment réaliser et se laisse tomber. Elle sait que les secours ne vont pas tarder, qu'ils seront bientôt dehors, libres, mais elle n'arrivait à le réaliser, bien trop torturée par le mois qui venait de s'écouler.

OUT

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