L'antre du loup (Libre et multiple)

L'antre du loup

6 octobre 2020, 1h30 am
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- Libre et multiple-

L'impression que la tête va m'exploser comme si j'avais pris une cuite carabiné. La dernière fois, c'est Tom qui m'a ramené et vu le bordel que ça a créer, j'ai dit que je le referais plus. ...ou du moins que j'essaierais. Cette fois, je crois pas que je me suis rendu jusqu'au canap. Clairement, je me suis endormi sur le béton. Peut-être avec l'idée que cette fois je tomberais pas… je sais plus. Le sol est dur. Les souvenirs sont flous.

Ouvrant difficilement les yeux, j'ai du mal à reconnaître ce que je vois avant de finalement comprendre : un lit superposé. En métal apparement. What the fuck? M'asseyant, je tourne la tête, mon regard passe sur ce qui se trouve autour, sur le décor et les objets qui sont entassés. Un chevalet... ce que je devines être des canevas et de la peinture... de quoi faire office de salle de bain pour ce que j'en comprends... C'est martiale. Pire que l'armée à mon point de vue. C'est seulement lorsque je vois les barreaux servants de quatrième mur que je laisse finalement un son sortir.

- What the hell...? Marmonnais-je en me redressant, tâchant de ne pas m'assommer avec le lit du dessus, vérifiant tout de même s'il y a quelqu'un. Vide. Je ne sais pas si c'est une bonne ou une mauvaise chose.

Les premiers pas un peu difficiles, je finis par m'approcher des barreaux pour voir au-delà. J'y vois pas grand chose, mais les yeux finissent par s'habituer à la pénombre. On dirait une arène de gladiateur… Genre colisé de Rome. Je dois m'attendre à devoir me battre à mains nues avec un lion peut-être? Sérieux, il se passe quoi, là?

- HOY!!! Y'A QUELQU'UN? C'EST QUOI CE BORDEL!? Criais-je directement.

Faut pas réveiller le loup qui dort qu'ils disent. Rien à battre! Il viendra m'expliquer ce qu'il veut, ce putain de loup!

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mots : 312 •

Les gamins qui jouaient sur la plage étaient tout le temps là tout le temps présent. Les fantômes du passé été devenue mon refuge sans que je le désir vraiment, ils s'étaient imposés, comme si s'était la seule chose importante, la seule chose qui me retenais encore de pas abandonner totalement. Alors je me laissais bien trop souvent absenter dans ces songes à demi-endormis, à demi-conscient. De toute façon j'avais pas la force de me battre face à la situation, face à cette cage et ses murs blancs. Face à ces nouvelles arrivées. Il y en avait eu trois de plus que moi, je les avais entendus parlé mais j'étais pas intervenu. Prenant en note simplement qu'un de plus était un jour de plus ici. C'était la seule notion du temps que j'avais. Donc oui je préférais m'enfermer dans mes songes d'enfants, de plage et tente. De gâteaux et d'odeur rassurante. Si bien que mon ancre n'était plus à mon poignet, le "L & N" n'était plus, posé quelques part sur la table. Il avait était remplacé par un "L&T" Au creux de ma main et un peu trop partout sur mon plâtre.
J'étais de nouveaux dans ce monde salvateur quand une nouvelle voix venait s'inviter, nouvelle mais connus, venant balayer dans un flou le soleil d'Italie pour une grisaille new yorkaise, quelques tailles plus grande aussi. Un garçon et une fille en plus, une blonde et un brun ... La surprise de ce changement venait me faire suffoquer dans cette autre histoire, si bien que mes yeux venaient s'ouvrir sur ce blanc sombre de la nuit. Des coups sur les barreaux, un nouvel arrivant. Je me redressais, fébrile, pour essayer de confirmer l'appartenance de la voix. On y voyait pas grand chose, mais suffisamment. Nix'? J'aurai préféré que la voix me réponde non. Mais automatiquement, mes doigts venais à bouger successivement. 3 à droite, 1 à droite, 1 à gauche et deux à droite, 1 à gauche et 3 à droite, 5 à droite. 2 à gauche, 1 à gauche et 5 à droite, 5 puis 4 à droite.
Comme si ça avait le pouvoir de marcher, autant pour me rassurer moi, que pour m'infirmer que c'est lui et qu'il ne comprendrait rien. Qu'il n'était pas là et qu'il y avait encore quelqu'un dehors pour veiller sur mon copain.
@Nixon Sherwood

L'antre du loup

6 octobre 2020, 1h30 am
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- Libre et multiple-

Une voix répond, certainement pas celle que j'attendais… Moi qui croyait stupidement qu'en étant plus en couple avec Neal, je le croiserais plus trop celui-là. Murphy, sérieux mec, je t'adore, mais faut t'arrêtes de me le coller dans les pattes celui-là! De tous les visages familier, fallait pour sur que je tombe sur lui. C'est comme quand je me suis fait casser la gueule après avoir retrouvé la moto…

Pourtant, je tourne quand même la tête vers la direction d'où sa voix semblait venir, distinguant du mouvement, je me colle à l'extrême la plus éloignée pour essayer d'élargir mon champ de vision. Ouais, c'est bien lui. Quand nos regards s'accrochent, il n'y plus moyen de le nier, c'est Spritz, sans nul doute. Pas la tête des meilleurs jours, mais bon…

Mes yeux captent le mouvement de ses doigts, j'enregistre sans pour autant comprendre tout de suite. Putain, tu vas chercher loin là! Y'a une dizaine d'années, je l'aurais compris en une fraction de seconde. Là… je suis rouillé et le mal de crâne aide pas, mais je finis tout de même par capter. Et je ne lève qu'un seul doigt pour lui répondre. Le doigt d'honneur. Message très clair : tes ordres, tu te les gardes, Spritz.

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mots : 206 •

@Lukas O. Spritz

Deuxième nuit. Vie sociale au travers de barreaux et de murs, me laissant penser que, même en prison, les détenus ont plus de contacts avec les autres que nous. Le seul visage qu'on peut croiser à l'occasion, c'est celui qui nous quémande son show. Animal en cage, à qui on donne une friandise s'il fait bien le beau. J'ai du mal à me décider de ce qui est plus confortable entre le matelas du lit superposé et le sol, m'installant tantôt sur l'un et l'autre. J'entame la seconde lecture du Livre noir des tueurs en série depuis que je suis ici, bien que cette lecture soit distraite, mais aucun mot n'est venu se coucher encore sur le papier que le ravisseur m'a charitablement laissé. Un cri dans la cellule voisine me tire de ces pensées qui divaguent, de mes idées vacillant entre l'odeur des gaz d'échappement de la ville, du doux parfum d'un bon verre de whisky, de la sensation d'une cigarette coincée entre mes lèvres, du vinyle de Janis Joplin qui hurle « Down on me » alors que je donne une raclée à des nerds... Une voix que je connais, et qui me pousse à plaquer mon dos contre les barreaux. Une voix un peu plus loin, qui pose la bonne question. Une voix déjà entendue aussi. « Lukas ? » Bordel de merde, si je me rappelle bien, le mec de Nixon s'est barré avec lui. Autant dire que je ne suis pas sûre de bien faire en me mettant entre les deux. Mais bon, c'était chose faite.
Jetant un œil au travers des barreaux, je voyais le geste amical du tatoué envers son ancien rival, et malgré moi, j'en ris. « Tu veux lui montrer ton nouveau tattoo ? »

@Nixon Sherwood @Lukas O. Spritz

HJ : si je gêne je bouge

J'aurai tellement aimé avoir tord, j'aurai tellement aimé que ce soit une simple hallucination. Et la voix d'une fille s'élevait avant même que j'ai le droit à une réponse du tatoué. Elle me connaissait et au final je la connaissais aussi. Un peu trop bien par les confessions que je savais sur elle. Et d'entendre ces voix connus au final me redonnait un peu plus d'aplomb, enfin je crois. Lana? lâchais je quand même pour être certain.
Je sais même pas pourquoi mes doigts s'étaient mis à bouger de cette façon, c'était stupide de tout de toute manière, même si c'était rassurant pour moi même. Et la réponse, ne se fis pas attendre, un doigt d'honneur. Et comme si les nerfs parlaient à ma place ma seule réponse ne fut qu'un rire, sombre, je ne pouvais m'attendre à rien d'autre de sa part. La rivalité entre nous était bien trop grande, trop importante pour que la hache de guerre cède aussi facilement. Et même imaginer un cesser le feu, le temps qu'on serai là prendrais certainement beaucoup de temps. Mais après tout c'est tout ce qu'on avait du temps.
Très beau tattoo Alors que je venais m'assoir dos au barreau, grogner sous la douleur de mes côtes, déjà un mois et la douleur ne partait pas et encore plus présente depuis que j'étais là.

@Lana Killbane @Nixon Sherwood

L'antre du loup

6 octobre 2020, 1h30 am
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- Libre et multiple-

Allez savoir pourquoi faut que nos chemins soit aussi souvent liés. À croire que y'a un fil de fatalité qui a été tissé entre nous deux à quelque part. ...ou qu'on a un don particulier pour se foutre dans la merde. Faisant travailler mes neurones difficilement, je comprends tout de même ce qu'il veut me dire, même s'il va chercher loin dans les souvenirs. Du temps qu'on était encore potes… Mouais. Ma réponse est un peu plus d'actualité de nos termes.

Je n'aurais pas cru que ça déclencherait des rires par contre. Ni le sien, ni celui féminin que je reconnais, même si j'aurais préféré que non. Lana; ma guimauve à clous pas si guimauve.

- Non, celui-là, il commence à bien le connaître, répondis-je sans pouvoir empêcher le coin de mes lèvres de se relever légèrement.

Pas comme si je les avais quand on s'est battu, mais mes jointures sont tatouées depuis que j'ai vécu à Atlanta alors depuis qu'on a pas trop eu le choix de se recroiser, c'est là. Et il a déjà failli les voir de plus près, alors bon… Rangeant mon bras du même côté de la cage que le reste de mon corps, mon attention se porte sur les autres cellules, essayant de repérer Lana.

- Comment tu te sens Blondie? Questionnais-je. Pourtant, le grognement de douleur qui se répercute ne vient pas d'elle et j'en ramène donc mon regard sur lui. Yo Spritz! lançais-je. C'est lui qui t'as foutu dans cet état? Demandais-je quand même curieux de savoir ce qui est censé nous attendre. Le passage à tabac est au menu ou non?

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mots : 268 •

@Lukas O. Spritz

@Lana Killbane
Ha non, non, t'es là tu restes
...tu peux pas aller nulle part de toute façon

Plus je passe de temps entre ces quatre murs et ces barreaux, plus je me rends compte que c'est étrangement excitant de se demander qui se trouve dans les cellules voisines. La veille, j'avais éprouvé une certaine frustration en découvrant la présence d'Ahri. Maintenant, c'est au tour de Lukas, tombeau de secrets que j'avais confiés à une assemblée d'inconnus quelques mois plus tôt, et de Nixon, la guimauve à qui je demande souvent conseil en matière de relations affectives, entre autres choses. A la question de Lukas, un léger rire s'échappe. « Félicitations, t'as gagné...ma gratitude pour pas avoir oublié mon prénom. » Parce qu'ici, c'est tout ce que j'ai à offrir, à quiconque. De la gratitude, et le droit de ne pas subir mes excès nerveux. Quarante-huit heures sans clopes, c'est une vraie torture.

Un sourire se dessine au coin de mes lèvres quand Nixon affirme que cette levée de majeur n'est pas la première. Connaissant le tatoué, ça ne m'étonnait pas plus que ça. Haussant finalement les épaules à la question du blond, il fallait une réponse pas tellement alarmante, mais assez pour qu'il comprenne qu'il ne sera sans doute pas le dernier. « Comme une détenue à l'isolement dans une prison fédérale, mais mieux que d'autres. » Le grognement plaintif de Lukas m'interpelait à mon tour. Etait-il le seul à avoir subi des éclats de violence ou d'autres têtes pouvaient y passer ? « Putain les gars, vous aussi vos matelas sont aussi confortables que le sol ou c'est juste moi ? » demandais-je en étirant mon buste, jalousant presque le fauteuil que le cinglé avait installé dans la cellule de ma meuf.

@Lukas O. Spritz
@Nixon Sherwood j'ai ri

J'avais reconnus la blonde même dans la pénombre son histoire m'avait tout de même particulièrement touché. Et le fait qu'elle aie livré une part d'elle même à de sombre inconnu était une certaine preuve de courage. Enfin bref c'était bien elle, et elle aussi m'arrachait un rire, de la gratitude en récompense. C'est mieux que rien. De toute façon depuis sa cellule elle ne pouvais pas me donner grand chose d'autre. Sauf peut être le plaisir de m'offrir une session musicale. Et encore le lieu me dégoutait plus de ma vocation, de mon talent plutôt qu'autre chose.
Nixon quand à lui était fidèle à lui même, je préférais ignorer sa provocation de toute façon ça n'apporterai rien de bon pour personne. Je préférais alors m'installer au sol quitte à les écouter parler, venais grogner par la douleur qui se faisait ressentir au niveaux des côtes avant d'être interpellé par le tatoué. Je venais fermer les yeux, dans un soupire. Nan, c'était là avant. J'avais pas envie de donner de détails, j'avais pas envie de me replonger dans cette histoire. Avant que la blonde ne demande si on avait des lits confortable. On va dire que la douleur est pas atténué par la présence des matelas. Attendant la réponse du rival, avant de reprendre. C'est décoré comment chez vous? Même si je me doutais un peu au vus de ce que je connaissais à leur sujet.
@Lana Killbane
@Nixon Sherwood j'te laisse imaginer ce que tu veux

L'antre du loup

6 octobre 2020, 1h30 am
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- Libre et multiple-

Hochant la tête à la réponse de Lana, le sourire en coin qui se taillait une place sur mes lèvres y reste. Bonne comparaison, j'imagine. À la différence qu'on est pas seule avec notre tête. Je sais pas encore si c'est une bonne chose ou non. Savoir qu'on est les prochaines proies de l'arène, c'est pas top. Connaître quelqu'un m'évitera peut-être de me mettre à parler seul. Ces derniers temps, j'étais pas ma meilleure compagnie.

La plainte de Spritz attirant l'attention, je le questionne à savoir si c'est l'état dans lequel on risque tous de se retrouver ou pas. Haussant un sourcil, je m'abstiens cependant de pousser l'interrogation plus en profondeur. M'étonnerais que Neal aie fini par lui en coller pour lui en remettre et, sinon, j'ai pas particulièrement besoin de savoir qui l'a amoché. Parce que, soyons honnêtes, je serai pas la bonne personne pour m'apitoyer sur son sort.

- Quel matelas? Je pensais que je m'étais sur le plancher de béton de mon appart après une cuite, expliquais-je, trouvant le moyen d'en rire même si le réveil cogne durement. Aucune idée de ce qu'on fout là, pourquoi, comment… quoique, le dernier souvenir que j'ai reste l'audition. Après, que dalle. Donc probablement lié. Et puis... Cellule blanche, chevalet et ce qui semble être de la peinture, indiquais-je en posant le regard sur ce qui m'entoure, cherchant si un détail m'aurait échapper. C'était planifié que j'atterrisse là apparement. Rien qui m'appartienne à ma connaissance. T'as ta ...guitare? Questionnais-je, butant sur le mot lorsque le souvenir me frappe que sa guitare portait un nom avant. Celui de ma soeur...

Putain, Nadia! Fouillant soudainement mes poches en mouvements frénétiques, je tourne et retourne toutes les coutures. Mes jeans, ma veste... Rien à faire, y'a bien encore quelques trucs, mais faut se rendre à l'évidence : le téléphone est plus là.

- F*ck! Jurais-je en flanquant un coup, par rage, sur les barreaux.

Babygirl, j'espère que t'étais sérieuse quand tu disais que tu t'inscrirais pas parce que tu voulais pas qu'on compétitionne l'un contre l'autre. C'est forcément le concours : Lana et son groupe; Lukas et sa musique depuis toujours; moi et la peinture; Nad et la danse… Putain, je sais pas ce que je fais si je la vois atterrir ici…

- Ça fait combien de temps que vous êtes là? Questionnais-je directement, histoire d'essayer d'évaluer le fonctionnement.

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mots : 392 •

@Lana Killbane tant mieux alors
@Lukas O. Spritz on va être gentil, on enfonce pas le clou

Si les blessures de Lukas étaient présentes avant son entrée ici, c'était tout de même bon signe, on ne sera pas passés à tabac quand monsieur le grand malade, qui doit se sentir fier de sa perversion en nous observant, pète son câble de psychopathe.. Putain, ce que je donnerai pour pouvoir sortir de là et lui coller une bonne tannée à ce faux dénicheur de talents à la con. Vendre du rêve à des jeunes, et peut-être moins jeunes, j'en sais foutrement rien de qui va se retrouver encore ici à l'avenir, c'est juste de la pure folie. J'osais pas imaginer quelles tares il a eues à la naissance celui-là, mais ses parents ont dû le bercer trop près du mur et l'abandonner dans un coin, c'est impossible autrement.

Léger rire à la remarque de Nixon sur la qualité du matelas. Comme quoi, sa cellule comme la mienne ne sont pas dotées d'un confort digne du pire hôtel miteux qui puisse exister. « Mec, même le sol il est plus confortable que ce truc. J'préfère même plus dormir dessus. » Je redresse mon dos avant de marcher dans cet espace clos pas bien grand. On en fait rapidement le tour. « J'suis accompagnée par des affiches de groupes, comme quand j'étais ado. D'un bouquin, des feuilles, d'un stylo et d'une basse à 5000 boules. » dis-je en levant les épaules, me demandant si le jour où on allait sortir de là, je n'allais pas l'embarquer avec moi.

Nixon se rend sans doute compte que le scélérat l'a dépouillé de tous ses biens, alors qu'un grand coup faisait résonner le métal dans l'enceinte où on se trouvait, réveillant peut-être ceux qui dormaient. Après tout, on a du temps pour dormir toute la journée. « J'suis arrivée le 4. J'sais pas comment, et avec une migraine d'enfoiré. » soufflais-je, espérant que l'enfer n'allait pas durer trop longtemps encore.

@Lukas O. Spritz @Nixon Sherwood