Invité
est en ligne
Invité
Vesta Borges
date de naissance
29.09.97
lieu de naissance
Medellin
nom
Borges
prénom(s)
Vesta
orientation sexuelle
Bisexuelle
statut amoureux
Célibataire
statut social
Pauvre mais grimpante
travail
Strip-teaseuse (officiellement)
— Parce que Vesta n’a pas de scrupules à être une criminelle pour arriver à ses fins et s’en sortir. Le vol, la mise sous pression, même chasseuse de prime un jour, peut-être ? Rien ne lui fait peur. Le striptease n’est qu’une façade légale de son activité. Anciennement membre active d'un gang à Los Angeles, elle a dû partir mais elle ne raccroche pas pour autant les transgressions.
Elle est courageuse, n’a pas peur de grand chose et quand elle a peur, fait tout pour surmonter ses peurs. Elle est rancunière, saura se faire respecter et punir si le besoin s’en fait sentir. Elle est sensuelle, son métier oblige. Elle a une part masculine aussi – comme tout le monde dira-t-on – qui lui a permis d’apprendre à se battre dès son plus jeune âge. Elle aime séduire et contrôler. Elle est protectrice de sa famille, même si aujourd'hui, celle-ci est loin. Elle est bagarreuse et peut être l'instigatrice de ces bagarres. Elle a aussi un part artistique qu’elle aime développer par le street-art. Elle est aussi ambitieuse, elle est partie de rien et veut parvenir à s'en sortir quelqu'en soit les moyens.
Vesta… Déesse du feu et du foyer. Mes parents ont dû avoir un certain humour en me donnant ce nom-là. C’est que j’ai gardé le feu mais la notion de foyer est assez lointaine… mon idée de la famille est plutôt celle d’une meute de loups, créée par nécessité et unie par la faim, que celle d’un endroit doux et maternant. Mais soit. Vesta, donc.
J’ai fait partie d’un gang assez tôt à L.A. mais la vie devenait trop dangereuse là-bas – et trop chère – je suis donc venue vivre à Boston. Mon gang m’en a fait baver pour faire de moi l’une des leurs mais j’ai tenu bon. Je suis une solide moi. On dirait pas comme ça mais je peux casser quelques mâchoires si je m’énerve… si les imposantes silhouettes huileuses et bedonnantes qui m’observent danser savaient ça.
Car oui, je suis strip-teaseuse. Et pas la pire d’ailleurs, even if I do say so myself. J’évolue dans ce milieu facilement étant donné que je me laisse pas marcher sur les pieds mais que je sais aussi la fermer quand c’est en ma faveur.
Parfois, je dépasse les limites de mon intitulé de travail, ne nous mentons pas. Il m’est arrivé de faire l’escorte, que ce soit à l’issue de mes heures de travail ou dans le cadre de mes activités au sein du gang.
Je me débrouille aussi en jeux de domination – une voie que j’ai découverte assez lucrative pour un effort extrêmement limité de ma part. Tout bénef direz-vous ? Sauf qu’il faut trouver les clients et les sphères dans lesquelles j’ai évolué n’étaient pas les plus ouvertes à ce qu’un homme se soumette à une femme. Mais je garde la piste en tête !
Cela m’est arrivé aussi de dealer… Étant moi-même plutôt fervente consommatrice de drogue, je connais les lieux où ils se vendent facilement et ma petite bouille qui peut tantôt avoir l’air d’une tueuse mais tantôt l’air d’une poupée permet de vendre à des endroits ou les grands baraqués du gang seraient moins discrets.
Dans le cadre de mes nombreuses activités, on comprendra que je suis assez sportive, que ce soit pour entretenir mes capacités en danse ou simplement pour pouvoir courir vite et longtemps quand les circonstances m’y invitent. Ainsi que les notions nécessaires en sport de combat – krav-maga entre autres – pour pouvoir me défendre contre la plupart des abrutis qui me cherchent des ennuis.
Comme je disais plus tôt, le gang était ma meute. Pour ce qui est de la famille biologique, le père qui m’a élevé durant mon enfance n’est plus dans les parages, grand bien lui face, ma mère s’est mise avec un homme de bonne nature mais qui perd malheureusement progressivement la boule et dont les demi-frères et demi-sœurs prennent soin à tout de rôle avec ma mère. Ils se débrouillent sans moi de toute façon, c’est-ce qui m’a permis de partir. J’espère secrètement que mon père cherchera à me retrouver un jour. Il a disparu car ma mère n’a pas supporté la séparation et lui a interdit de venir nous voir, ma sœur et moi… Depuis mes 12 ans, je ne l’ai plus revu.
J’ai une petite sœur qui est mon sang, et que je défendrais bec et ongles si quelqu’un s’avisait de la toucher. J’apprécie mes demi-frères et demi-sœurs aussi mais pas de la même manière. Tout ce que j’arrive à mettre de côté va pour ma petite sœur qui est toujours à L.A., peut-être qu’elle me rejoindra ici un jour.
Comme on peut se l’imaginer, mon quotidien peut être pesant et je n’hésite pas à sortir et à m’anesthésier à coup de remontants légaux et illégaux pour calmer un peu les démons qui parfois viennent jouer avec ma santé mentale. Mais c’est plutôt rare : les démons hein, la drogue est tout de suite beaucoup moins rare…
Et même si la vie de tous les jours peut-être ancrée dans un réel pas toujours drôle, j’ai néanmoins le temps de laisser parler ma créativité qui est une part importante de ma personnalité. J’aime me poser dans des parcs ou dans ma chambre et dessiner pendant des heures ou taguer des grandes fresques, parfois aussi délicates que des fleurs et des animaux et parfois plus politiques aussi : comme des slogans contre le racisme et la xénophobie ambiante.
Certes, je dois rester discrète d’un point de vue de mes idées politiques pour ne pas trop attirer l’attention mais cela n’empêche qu’en tête-à-tête mes idées sur le féminisme et sur l’égalité des chances sont très présentes. Et être une travailleuse du sexe ne m’empêche pas du tout d’être une grande féministe, malgré les idées que l’on pourrait se faire.
Mon style est extrêmement éclectique et n’ayant pas forcément toujours les moyens (mis-à-part quelques tenues pour le travail dans lesquelles j’ai investi ou on a investi pour moi), j’aime chiner dans les magasins de seconde main.
Je sais que la plupart des filles, même les plus nunuches, disent toujours « moi je m’entends mieux avec les mecs » mais il faut dire que dans mon cas, c’est assez évident. Pas toutes les nanas sont capables de supporter le jump in que j’ai supporté pour faire partie de mon gang latino… c’était déjà un pas pour me faire accepter. Et ensuite ma descente, ma tenue sur le joint et ma facilité à parler de sexualité ont fini de me faire accepter par les mecs autour de moi.
L.A. me manque pour pleins de raisons évidemment mais la vie à Boston n’est pas si différentes… club de strip-tease et réseaux illégaux sont tout autant de mise. Certes, ce n’est pas la guerre des gangs de Chicago mais il y a toujours moyen de faire son business.
J’ai fait partie d’un gang assez tôt à L.A. mais la vie devenait trop dangereuse là-bas – et trop chère – je suis donc venue vivre à Boston. Mon gang m’en a fait baver pour faire de moi l’une des leurs mais j’ai tenu bon. Je suis une solide moi. On dirait pas comme ça mais je peux casser quelques mâchoires si je m’énerve… si les imposantes silhouettes huileuses et bedonnantes qui m’observent danser savaient ça.
Car oui, je suis strip-teaseuse. Et pas la pire d’ailleurs, even if I do say so myself. J’évolue dans ce milieu facilement étant donné que je me laisse pas marcher sur les pieds mais que je sais aussi la fermer quand c’est en ma faveur.
Parfois, je dépasse les limites de mon intitulé de travail, ne nous mentons pas. Il m’est arrivé de faire l’escorte, que ce soit à l’issue de mes heures de travail ou dans le cadre de mes activités au sein du gang.
Je me débrouille aussi en jeux de domination – une voie que j’ai découverte assez lucrative pour un effort extrêmement limité de ma part. Tout bénef direz-vous ? Sauf qu’il faut trouver les clients et les sphères dans lesquelles j’ai évolué n’étaient pas les plus ouvertes à ce qu’un homme se soumette à une femme. Mais je garde la piste en tête !
Cela m’est arrivé aussi de dealer… Étant moi-même plutôt fervente consommatrice de drogue, je connais les lieux où ils se vendent facilement et ma petite bouille qui peut tantôt avoir l’air d’une tueuse mais tantôt l’air d’une poupée permet de vendre à des endroits ou les grands baraqués du gang seraient moins discrets.
Dans le cadre de mes nombreuses activités, on comprendra que je suis assez sportive, que ce soit pour entretenir mes capacités en danse ou simplement pour pouvoir courir vite et longtemps quand les circonstances m’y invitent. Ainsi que les notions nécessaires en sport de combat – krav-maga entre autres – pour pouvoir me défendre contre la plupart des abrutis qui me cherchent des ennuis.
Comme je disais plus tôt, le gang était ma meute. Pour ce qui est de la famille biologique, le père qui m’a élevé durant mon enfance n’est plus dans les parages, grand bien lui face, ma mère s’est mise avec un homme de bonne nature mais qui perd malheureusement progressivement la boule et dont les demi-frères et demi-sœurs prennent soin à tout de rôle avec ma mère. Ils se débrouillent sans moi de toute façon, c’est-ce qui m’a permis de partir. J’espère secrètement que mon père cherchera à me retrouver un jour. Il a disparu car ma mère n’a pas supporté la séparation et lui a interdit de venir nous voir, ma sœur et moi… Depuis mes 12 ans, je ne l’ai plus revu.
J’ai une petite sœur qui est mon sang, et que je défendrais bec et ongles si quelqu’un s’avisait de la toucher. J’apprécie mes demi-frères et demi-sœurs aussi mais pas de la même manière. Tout ce que j’arrive à mettre de côté va pour ma petite sœur qui est toujours à L.A., peut-être qu’elle me rejoindra ici un jour.
Comme on peut se l’imaginer, mon quotidien peut être pesant et je n’hésite pas à sortir et à m’anesthésier à coup de remontants légaux et illégaux pour calmer un peu les démons qui parfois viennent jouer avec ma santé mentale. Mais c’est plutôt rare : les démons hein, la drogue est tout de suite beaucoup moins rare…
Et même si la vie de tous les jours peut-être ancrée dans un réel pas toujours drôle, j’ai néanmoins le temps de laisser parler ma créativité qui est une part importante de ma personnalité. J’aime me poser dans des parcs ou dans ma chambre et dessiner pendant des heures ou taguer des grandes fresques, parfois aussi délicates que des fleurs et des animaux et parfois plus politiques aussi : comme des slogans contre le racisme et la xénophobie ambiante.
Certes, je dois rester discrète d’un point de vue de mes idées politiques pour ne pas trop attirer l’attention mais cela n’empêche qu’en tête-à-tête mes idées sur le féminisme et sur l’égalité des chances sont très présentes. Et être une travailleuse du sexe ne m’empêche pas du tout d’être une grande féministe, malgré les idées que l’on pourrait se faire.
Mon style est extrêmement éclectique et n’ayant pas forcément toujours les moyens (mis-à-part quelques tenues pour le travail dans lesquelles j’ai investi ou on a investi pour moi), j’aime chiner dans les magasins de seconde main.
Je sais que la plupart des filles, même les plus nunuches, disent toujours « moi je m’entends mieux avec les mecs » mais il faut dire que dans mon cas, c’est assez évident. Pas toutes les nanas sont capables de supporter le jump in que j’ai supporté pour faire partie de mon gang latino… c’était déjà un pas pour me faire accepter. Et ensuite ma descente, ma tenue sur le joint et ma facilité à parler de sexualité ont fini de me faire accepter par les mecs autour de moi.
L.A. me manque pour pleins de raisons évidemment mais la vie à Boston n’est pas si différentes… club de strip-tease et réseaux illégaux sont tout autant de mise. Certes, ce n’est pas la guerre des gangs de Chicago mais il y a toujours moyen de faire son business.
pseudo circe
âge 25
nationalité belge
forum connu par... ce que j’y étais déjà
ILH, j'en pense quoi ? le feu, comme d’hab
autres comptes ? @Mark Underhill @Eris O'Hara
avatar utilisé Ursula Corbero
crédits images Chaussette & Eärithralia
nombre de mots par rp 200 à 500
type personnage inventé
summer camp
je souhaite participer au summer camp ; [] oui [x] non
si oui, souhaitez vous faire partie d'une équipe ; [] oui [x] non
code métier
nom du lieu + nom du métier :
badgirlz + danseuse :
âge 25
nationalité belge
forum connu par... ce que j’y étais déjà
ILH, j'en pense quoi ? le feu, comme d’hab
autres comptes ? @Mark Underhill @Eris O'Hara
avatar utilisé Ursula Corbero
crédits images Chaussette & Eärithralia
nombre de mots par rp 200 à 500
type personnage inventé
summer camp
je souhaite participer au summer camp ; [] oui [x] non
si oui, souhaitez vous faire partie d'une équipe ; [] oui [x] non
code métier
nom du lieu + nom du métier :
badgirlz + danseuse :
- Code:
@"Vesta Borges" » <i>(danseuse)</i>
- Code:
@"Vesta Borges" » <i>(stripteaseuse)</i>
- Code:
» <span class="pris">Ursula Corbero</span> » @"Vesta Borges"
- Code:
<!-- Ursula Corbero --><div class="grid-item fem citi dark america bi other"><figure><img src="https://nsa40.casimages.com/img/2019/06/23/190623013353547512.png" /><img src="https://2img.net/image.noelshack.com/fichiers/2020/20/7/1589728628-bailando5.gif" class="cover" /></figure><div class="content"><div class="name"><h2>VESTA<br />BORGES</h2></div><div class="info"><div class="face">URSULA CORBERO</div> · <div class="age">22 ans</div><div class="activity">stripteaseuse / criminelle </div><div class="more"><a href="https://www.i-love-harvard.com/u10275">mon profil</a></div></div></div></div>
(Invité)