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(nesbitt fam) head above water

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elle a plus de solution -peut être qu’elle n’a plus envie d’en trouver. parce qu’avec toi c’est toujours trop compliqué. c’est des litres de fierté qu’elle a rangé pour être ici. prendre le rôle de grande soeur et chercher à être présente parce que t’en avais besoin. mais plutôt que d’admettre que t’avais besoin d’aide, plutôt que de prendre la main qu’elle te tendait, c’était bien plus facile de la repousser une nouvelle fois. tu sais, cette danse interminable finira par prendre fin. tu l’as blessé des milliers de fois, que ça soit par les mots cruel que tu lui as jeté au visage sans ménagement ou pour le comportement abject que tu pouvais avoir à son égard. et si le monde entier pouvait lui jeter ses pires actions au visage, t’étais sûrement le pire d’entre les deux. et elle est fatiguée roxane parce que c’est toujours impossible de te comprendre, de t’aider. elle peut remuer le ciel entier que tu continuerais à lui jeter des grenades dégoupillés juste pour la faire disparaître. et une nouvelle fois, tu lances les attaques. la moindre occasion saisit pour lui envoyer au visage qu’elle est la pire, trop imbue de sa personne, trop elle. pour toute réaction, elle lève les yeux au ciel, ses bras qu’elle croise sur sa poitrine d’une nonchalance presque provocatrice. t’es qu’un con. littéralement. toujours à pointer les même arguments, les questions de préférence quand ça n’avait jamais été à propos de ça. le pauvre aidan indésirable qui continuait à clamer avoir été laissé sur le côté quand il s’était mit tout seul dans cette position là. personne ne t’as abandonné, c’est toi qui abandonne tout le monde. et le jour ou tu te rendras compte que t’as rien fait d’autre que repousser encore et encore le peu de personne se souciant de toi, ce sera trop tard. puis c'est trop facile de reporter la faute sur les autres en tout temps, de jamais se proclamer responsable des situations que l'on déclenche. et pour ton information, ton visa étudiant est en jeu. prépare tes bagages, t'es à un cheveux de prendre un vol direction l'écosse. loin d'être une menace, juste une constatation.
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« ouais je suis qu'un con je sais » phrase que j'entends encore et encore, des voix toutes plus différentes les unes des autres. rengaine qui fini par sonner comme une chanson que je pourrais fredonner dans ma tête. je suis fatigué, usé. je voudrais que tu te mettes à ma place quelques secondes, que tu vois ce que je vois toutes les nuits, dès que je ferme les yeux. l'alcool c'est uniquement pour troubler ma vision, ça me permet de ne plus voir distinctement le visage de jordy, mort. ça me permet de ne plus distinguer ce qui est vrai et ce qui ne l'est pas, comme ça l'espace d'un instant je me dis que j'ai peut-être tout inventé, que c'est dans ma tête et que ça ne s'est jamais passé. une part de moi voudrait que ça ne soit jamais arrivé. une infime part tellement minime quelle tend à disparaitre. la plus grande part de moi assume ce qu'elle a fait, ne le regrette pas mais se puni d'avoir enlevé la vie d'un homme, qu'il le mérite ou pas. tout cet alcool, toute cette débauche, tout ces combats, c'est dans l'uniquement but de me contrôler, contrôler la colère que j'ai libéré et surtout me punir parce que visiblement, ce n'est pas la justice qui le fera. je tente de respirer mais j'ai l'impression d'étouffer. tes mots sont justes, ils me percutent, comme mes poings à cette fameuse soirée. « t'as l'impression que je t'abandonne toi ? » cette question c'est pas un piège. tu sais quoi rox ? j'ai plus envie de jouer, pas maintenant en tout cas. j'ai envie d'exploser, j'ai envie d'hurler. j'ai envie d'aller mieux et en même temps j'ai envie qu'on me laisse dans ma merde. j'ai envie de m'en sortir et en même temps je me dis que je n'ai que ce que je mérite. je ne sais pas ce que je veux. mais je veux pas que tu partes. parce que même si je suis un gros connard, je sais que ce que tu viens de faire là, ta proposition de vivre avec toi le temps que ça aille mieux, le fait de venir à mon chevet, tout ça, c'est un immense pas que t'as fait. « je repousse les gens parce que je sais que je vais les briser à un moment ou à un autre. je me contente juste de les protéger. » maladroitement. je prends pas le problème par le bon bout. je devrais essayer d'aller mieux au lieu de faire fuir les autres. « ce serait peut-être pas plus mal non ? » que je rentre en écosse, que quitte Boston et que j'me casse loin de tout.

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elle ne fera pas plus d’effort. pas là, pas avec toi. parce que c’était déjà un pas énorme de simplement faire le déplacement jusqu’ici. de venir chez toi pour prendre des nouvelles, s’assurer que tout allait bien. probablement que c’était bien plus que ce que la plupart avait pu faire parce que dans le fond, si le comportement que t’abordais avec elle était le pire, elle se doutait bien que ce n’était pas forcément mieux avec les autres. et elle lève les yeux au ciel parce que tu l’agaces. parce que t’as beau reconnaître être un idiot, tu fais pas le moindre effort. le pire étant probablement le fait que si elle tournait les talons, tu finirais un jour par lui reprocher de ne pas avoir été présente. parce que c’était ton truc aussi aidan. reprocher constamment les choses quand tu faisais tout pour ne pas les avoir. tout le temps. si tu veux de l’honnêteté, prends là. mais tu l’abandonnes constamment pour n’importe quel prétexte. t’es pas un soutien, c’est plus facile de l’enfoncer à chaque fois. sauf que tu les protèges pas aidan, tu les blesses. et elle soupire roxane parce que ça reste toujours trop compliqué de communiquer avec toi. parce que y a trop de choses que tu ne comprends pas. on est les même et ce que tu fais là, je l’ai fais des milliers de fois. alors elle sait. elle sait de quoi elle parle, elle sait que repousser les autres ça protège de rien du tout. ni eux, ni personnellement. tu remonteras pas la pente tout seul. que tu le veuilles ou non, t’as besoin des autres. et si c’est pas moi, tant pis. mais t’as besoin de quelqu’un. peu importe qui fait parti de ta vie. roxane, elle avait comprit que c’était dawie qui lui avait lancé la bouée de sauvetage l’empêchant de couler. elle avait saisit que si elle voulait vraiment avancer, elle ne pouvait pas compter que sur elle même. pour toi ou pour les autres ? question qu’elle pose, l’air incertaine. si tu penses que ça serait mieux pour toi de rentrer aidan, rentre. parce que c’était de ton état dont il s’agissait, pas celui des autres. et t’étais probablement le mieux placer pour juger ce dont tu avais besoin présentement.
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tout le temps. mots qui raisonnent dans ma tête comme la mélodie d'une musique qu'on déteste mais qu'on ne peut s'empêcher de fredonner. je voyais pas les choses comme ça moi. avec mon regard de gamin pourrit gâté aux parents trop occupés pour lui montrer la moindre affection. je pensais que c'était eux qui nous abandonnaient en permanence. j'imaginais pas que dernière ton air froid et toujours parfait, moi, petit frère irresponsable et beaucoup trop libre, je pouvais te donner l'impression de t'abandonner. « alors je fais quoi ? quand je reste près d'eux je leur fait du mal. quand je m'éloigne je leur en fait aussi. » iris qui se plantent dans les tiennes. « je fais quoi rox ? » je te jure que je voudrais comprendre, je voudrais réellement qu'on m'explique comment on fait. parce que j'essaie, mais j'essaie toujours mal. regarde nous. t'es ma soeur. et quand bien même j'ai passé ma vie à te montrer à quel point je pouvais te détester, c'était pour mieux ressentir à quel point je t'aime en réalité. mais c'est plus facile de te montrer l'inverse, plus facile de te repousser que de te prendre dans mes bras. plus doué pour tenir à distance ceux qu'il aime, le gosse de Glasgow, il s'imagine pas du tout les dégâts qu'il peut causer dans le coeur des gens. « et t'as trouvé dawie. » t'as été à ma place mais tu as trouvé celui qui a su attendrir ton coeur. moi j'y arrive pas. j'arrive pas à baisser ma garde, ça fait trop mal rox. ce que tu me dis fait écho. j'ai besoin de quelqu'un. je dois demander de l'aide, au moins une fois. une seule petite fois. l'idée de rentrer à la maison frôle mon esprit. ouais je pourrais aussi bien baisser les bras et rentrer chez moi. mais ma vie, celle que j'aime, je l'ai empaqueté sur mon dos quand je suis venu ici. j'ai emmené ce qui m'étais le plus précieux. toi, zac, jax et dylan. qu'est-ce que j'irais foutre en écosse hein ? je prends une grande inspiration, fais les quelques pas qui me sépare de mon lit et je m'y assois. main qui passe sur mon visage avant que je plonge celui là entre mes deux mains. moment de silence, puissant et reposant. faire le bon choix n'a jamais été le plus simple, surtout pas pour moi. et contre toutes attentes, même les miennes, je lève les yeux dans ta direction. « j'ai besoin de toi. » première fois que je prononce ces mots à voix haute et pourtant si tu savais à quel point j'ai pu le penser roxane.
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tu le savais dans le fond. qu’elle était nulle pour comprendre les sentiments des autres tout comme elle ne comprenait généralement pas les siens. c’était juste comme ça. un truc de famille, un handicap que vous vous trainiez depuis la nuit des temps. alors elle pourrait pas avancer ce qui serait le mieux pour toi. elle pourrait pas réellement dire de quoi tu avais besoin mais elle était juste persuadée que la solitude n’était pas le meilleur allié dans ce genre de situation. à trop vouloir rester seul, tu finirais par t’écrouler définitivement et plus rien ne serait en mesure de te venir en aide. n’étais-ce pas le chemin qu’elle avait elle-même empruntée des centaines de fois ? convaincue de se suffire à elle-même. de pouvoir sortir de n’importe quelle situation juste parce qu’elle était roxane et que ça signifiait être indépendante. tu essaies plus fort souffle finalement, les épaules qui se haussent. elle a pas les réponses à tout, certainement pas sur un plan ou vous étiez si similaires. la première à faire du mal à ses proches sans même s’en rendre compte parfois. mais la force avec laquelle elle pouvait heurter le monde autour d’elle ne changerait jamais qu’être seule ne l’aiderait certainement pas à avancer. tu apprends de tes erreurs et tu essaies de faire différemment. combat qu’elle affrontait tous les jours avec le peu de personnes autour d’elle. tentant de réparer le passé même quand elle avançait avec de sacré lacunes. dawie m’a aidé à me trouver c’était plutôt ça la bonne tournure des choses. mais ça ne veut pas dire que il n’y a pas cette personne pour toi. peut être que tu peux même avancer de toi même à partir du moment que t’avais du soutien, des gens pour t’épauler. mais pour ça, il fallait avant tout que tu laisses ces même personnes entrer dans ta vie. les mots tombent, révélation qui rend muette alors qu’elle t’observe quelques secondes, souffle lentement. je suis là. un pas en avant, l’approche vers toi, l’éloignement de la porte. t’es sûr que tu veux pas venir un peu ? chez elle. en sécurité. là où on pourrait réellement prêter attention à ta personne.
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j'ai beau essayer de te fuir, dire que toi et moi on a rien à voir, qu'on est même trop différents pour être de la même famille, que t'es simplement la demi soeur, c'est une manière pour moi de continuer à cultiver ce déni. parce que si je devais avoir une jumelle, semblable en presque tout point, ce serait toi. il est bien là le soucis, on se ressemble trop et ça nous fait peur. parce que j'ai passé mon enfance à te dire que t'étais que la demi soeur, demi intérêt, demi importance. alors que t'étais tellement plus que ça. mais ma fierté mal placé, elle me forçait à ne pas revenir en arrière. t'imagines la honte si je devais te dire qu'en fait, je t'aimais ? non. c'était impensable. sûrement parce que j'étais persuadé que c'était pas réciproque. jusqu'à ta lettre. elle a foutu une merde impensable, elle a retourné mon monde parce qu'elle a remis en question les fondements même de notre relation, de la dynamique qu'on avait instauré depuis notre jeunesse en écosse. t'as ébranlé mes barrières, t'as réanimé un bout du petit garçon qui pleurait en silence en mangeant ses cookies qu'il pensait venir du jumeau toujours parfait. cette fois, j'ai besoin de plus que d'une boite de gâteau. c'est pas une dispute de papa que je suis en train d'essuyer, c'est le sang de ce mec sur mes mains, liquide rouge qui s'est infiltré même dans les pliures de ma peau, me donnant l'impression que jamais plus je ne pourrais l'effacer ou même "l'oublier". « j'essaie plus fort. » que je répète à demi mot. « mh, j'ai pas prévu de buter un autre mec. » nervosité palpable que j'essaie de camoufler dans un once d'humour. tout moi ça, me cacher derrière mes blagues de mauvais goût pour tenter de ne pas montrer ce gosse torturé que je peux parfois être. « je vais essayer l'option solo. » parce que j'arrive pas à laisser quelqu'un entrer dans ma vie, pas totalement, pas complètement. j'aurais pu être heureux avec Alix. c'était la copine parfaite, et c'était pas l'attachement qui manquait, c'était les sentiments le problème. même cas pour Laïa, celle qui a été capable de me pardonner du pire. le problème c'est pas elle, c'est moi. c'est que je touche du doigt ce qui pourrait être une belle relation et je balaye tout d'un revers de la main. c'est plus facile de briser les choses que de me laisser aller, de prendre le risque que la petite chose détruite, ce soit moi. seulement cette fois c'est toi qui à raison. si je veux pas couler, si je veux pas sombrer faut que je me raccroche à quelque chose. une chose. solide ou pas, mais qui sera prête à l'être pour me remontrer. et c'est toi que je choisis. tu fais un pas vers moi. je me mords la lèvre parce que je comprends pas trop ce qu'il se passe. et pour la première fois depuis des années, peut-être même la première fois tout court, je me lève et je m'avance dans ta direction. je pose mes mains sur tes petites épaules et après un long soupire, je viens te prendre dans mes bras. j'ai le coeur qui bat. parce que cette sensation de chaleur, de ne plus être seul, ça faisait longtemps que je l'avais pas ressenti. « si je vais venir » que je souffle, te gardant dans mes bras. je sens les larmes qui montent et je peux pas les contrôler. alors je me laisse simplement aller silencieusement. à ce moment là roxane, je voudrais que tu saches que t'es pas la fille d'une autre. t'es ma soeur.  


(pardon pour la longueur (nesbitt fam) head above water - Page 2 1881463262 :heaart:)
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elle aurait pas la prétention de dire qu’elle était la meilleure dans ce domaine. qu’elle pourrait, contre vents et marrées, te sortir du gouffre dans lequel tu avais été précipité. mais force était de constater que sur les gens de ton entourage, elle semblait être la seule à avoir prêté attention à ta dérive l’obligeant à venir ici aujourd’hui. dis lui aidan. dis lui combien avait fait la même démarche qu’elle avant ça. parce qu’à t’observer aujourd’hui, elle pourrait mettre sa main à couper qu’elle était la seule. sans en retirer la moindre satisfaction, il était seulement triste de constater que sur toutes les personnes faisant partie de ta vie, celle à qui tu portais le moins de considération était la seule à remarquer la dérive de ton être. mais dans le fond, qui remarquait la sienne ? grande roxane qui sauvait les apparences par la stature majestueuse, les posts sociaux visant à faire croire à un bonheur idyllique quant en réalité, elle était spectatrice de son propre naufrage. chasse les douleurs pour se concentrer sur la tienne, consciente que tu étais celui ayant besoin d’une main tendu, d’une brise d’espoir pour peut être essayer de réellement vivre à nouveau. et c’est ses opales qu’elle lève au ciel à l’humour noir dont tu fais preuve, n’y adhère pas même si dans la généralité, elle sait que ça reste un effort de ta part. et quand t’atteindra la surface, essaie de te souvenir que t’as pas à toujours tout affronter seul. la grande erreur des nesbitt. se convaincre que la solitude était la solution à tout, répéter à tords et à travers que dans la finalité, c’était dans le silence que l’on affrontait le pire. se décharger des rapports humains pour finalement souffrir du manque de mains tendus. dernière tentative où elle remet l’invitation sur le devant de la scène, l’opportunité de partir avec elle, d’être moins livré à toi même pour les prochains jours. c’est inédit, presque surréaliste de la voir se livrer aux actes de charités que les autres appelleraient certainement bonté. en résulte le plus grand retournement de situation possible, tes mains sur ses épaules, les yeux qui s’observent alors que tout son corps semble s’être bloqué, rigidité absurde. dérive dans les gestes d’affections où elle termine dans tes bras, tente de se souvenir d’un instant comme celui là par le passé sans y parvenir. et finalement, elle rend l'échange, souffle doucement, main droite qui se lance dans la machinalité des caresses, tente d'apaiser l'esprit surmené. moment de paix à graver dans l'histoire. l'amour qu'ils ne savent pas s'offrir mais qui est pourtant terriblement présent.

rp terminé ? :heeart:
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