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« life is a game of changing » ∇ ROXIS

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life is a game of changing 
→ ft. @Roxane Sears

La couleur sur le dos, et une seconde maison pour l'acceuilir. Alexis, tout ce qu'elle voulait, c'était retrouver un groupe, se sentir chez elle à nouveau, au beau milieu d'individus qui lui ressemblent. Mais, dans ces visages qu'elle croise, elle ne voit rien de semblable. Les alliés ont déserté, et elle s'est épuisée avant de commencer à en trouver de nouveaux. Les proches évoluent désormais en dehors de la sphère d'Harvard, alors, les pas sont plus souvent extérieurs. Elle en est venue à oublier ses premières motivations. Oublier qu'il y avait toi, en paratonnerre, qui s'épuisait à encaisser les éclairs. Fière Nesbitt, capable de tout absorber. Alors, elle demande, oui, parce qu'elle a besoin de l'entendre, que t'étais son bouclier contre les harpies qui voulaient sa peau. Même si t'en faisais sûrement partie, quand je manquais réunion sur réunion. C'est juste que tout manquait de saveur, comparé aux douleurs vécues en dehors. Dans l'ordre des priorités, j'ai fais dégringoler la couleur. Jusqu'à ce qu'elle disparaisse de l'échelle, et que je la piétine sans faire exprès. Un jour, j'en aurais été exclue, un coup d'éclat de trop, un comportement qui ne colle pas avec ces images lisses qu'on expose. « Continuellement, à ce point ? » Léger sourire, à peine narquois. « Je ne pensais pas être si mauvaise élève. » Le fait de ne pas être la dernière, ne fait pas de moi une meilleure Pfo, je sais. C'est juste compliqué à digérer, c'est acide à avaler. Encore un truc que j'laisse partir, qui me file entre les doigts. « T'aurais dû me le dire. » Que c'était pénible, que t'as grillé des cartouches pour ma peau. J'aurai pris la porte bien plus tôt, dans un regain de fierté. Y a que ma carcasse qui doit prendre les coups, pas la tienne, pas à cause de moi. Un soupire, plus long que les autres. « Je pars. Ca te fera un problème en moins. » Une cause en moins à défendre, dirons-nous. Les mains s'enfoncent dans les poches arrières du jean. Mord l'intérieur de la joue. C'est pas le plus facile. « J'suis désolée, j'avais pas réfléchis à ça. » Une fois, juste une fois, puisque visiblement, cette fois c'est toi qui m'a fait gratter quelques mois de tranquillité. Aujourd'hui, c'est mieux qu'hier.


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» life is a game of changing
@Alexis Callaghan
Ce ne serait jamais assez, pas vrai ? flottement perpétuel dans l’incompréhension qu’était les sentiments et les relations en règle générale. incapacité à comprendre le fonctionnement comme si tout était bien trop difficile à chaque fois. pas de mode d’emploi, personne pour lui expliquer comment est-ce que les choses étaient censées fonctionner. peut être qu’elle avait prit trop de retard sur tout ça, à continuellement se fermer au monde. à agir de la pire façon avec tout le monde sans jamais se soucier de rien comme si les répercussions étaient des bullets ricochant sur son épiderme faisant office de gilet pare balle. elle se croit invincible roxane, bien trop souvent. convaincue depuis la nuit des temps que rien ne pourrait jamais l’atteindre jusqu’à maintenant. l’univers qui lui faisait finalement payer toutes ses mauvaises actions. les frasques qui s’enchaînent et la difficulté à se relever. mais reine roxane fait bonne figure, redresse la couronne sur sa tête comme si rien ne l’avait ébranlé. fatigue constante qui commence à marquer ses traits originellement parfait. les exigences sont hautes peut être trop. probablement à cause d’elle. le besoin constant d’irréprochabilité qu’elle avait mit sur pieds la poussant à sortir tout ceux considéré comme pas à la hauteur. l’utopie de créer une élite au sein d’harvard quitte à se mettre tout le monde à dos. mais je fais jamais rien comme tout le monde. elle aurait du faire des millions de choses probablement mais jamais elle n’avait réussit à frôler du doigt les conventions sociales.

pince les lippes charnues, les épaules qu’elle hausse finalement. seule et unique alliée qui à son tour était prête à passer les portes la laissant définitivement seule au milieu de gens qu’elle peinait généralement à tolérer. les ruines qui prennent toujours plus d’importance autour d’elle, vestiges de tout ce qu’elle détruit continuellement. je peux toujours compter sur toi ? claque dans l’air. la réponse qui semble pourtant évidente mais où elle désespère d’entendre les mots qui rassurent. peut être pour se conforter dans l’idée qu’elle ne serait pas totalement abandonnée. peut être par espoir de se dire que les fondations construites avec toi étaient plus solides que ce les autres pouvaient penser. roxane sans armure, sincérité poignante qu’elle peine à montrer généralement et qui pourtant fait surface rien qu’un peu pour la rendre plus humaine. le besoin d’une promesse qui ne viendra peut être pas mais dont elle a tant besoin.


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→ ft. @Roxane Sears

Rien n'a d'importance. Ici, rien n'a d'importance. J'ai survolé les exigences, j'ai ignoré ce qu'on demandait comme implication, j'en avais rien à foutre, ouais, tu peux le dire. Parce que c'est ce qu'on me devait. Cette place à Harvard, cette place ici, on me le devait. Pour le patriarche mort pour sauver vos culs de privilégiés. Pour la patriarche mort, mon compte en banque est rempli, et ma place était réservée. Je me suis faite une place parmi ceux qui ne me ressemble pas. J'ai appris à porter l'or, les pierres, j'ai appris à faire bonne figure dans toutes les situations. J'ai fais taire la rage, la colère, j'ai appris à l’étouffer quand elle veut vous sauter à la gorge. Je ne la laisse se déverser, que dans ces rares moments où ce sont pour vos gorges, qu'elle se déploie. Le pitbull de la Pforzheimer. Dans vos royaumes, je ne serais que la guerrière qui surveille à l'entrée. Qui n'a pas fait gaffe, et qui a laissé rentrer n'importe qui. Qui a failli son devoir, parfois. Souvent, j'le lis sur tes traits. J'peux lire qu'il y a eu des erreurs, des onces de regrets, des trucs qui auraient pas dû arriver. J'peux lire qu'on a été des alliées pitoyables. J'peux aussi lire, que, je crois, on tente de bricoler un truc qui ressemble à un pont entre nous. Quelques planches, quelques cordes, et on verra si ça tient. Faudra pas trop secouer l’échafaudage pendant quelques temps. Se montrer prudentes, et consolider l’œuvre à force de le traverser. La question raisonne, et c'est une esquisse de sourire sur les traits de la typée qui répond d'abord. En premier, spontanément, avant que les mots ne se placent. Le reste du corps veut répondre aussi, et fait un pas en avant. « Tu peux compter sur moi. » Les prunelles fixées sur celles adverses. « Roxane, tu peux compter sur moi. » Répète, pour que ça rentre. Je retrouve ma place devant la porte du château. J'abandonne plus mon poste. Si, dans mon dos, tu ne dégaines aucune arme. « Si j'étais pas moi, j'te dirais que tu m'as manqué. » Les lèvres se pincent, et la malice souffle sur le reste de rage. Balaye la poussière, pour dévoiler ce que nous étions, avant de laisser le tout pourrir.


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est-ce qu’elle avait eu tord pendant tout ce temps ? est-ce que le monde était bien plus facile à affronter quand on avait des alliés ? probablement. dawie seul avait suffit à lui montrer que les choses étaient bien moins douloureuses à affronter quand on n’était pas seul à devoir les surmonter. mais aimer, tenir à une personne était aussi un signe de faiblesse. parce que la personne pouvait trahir, mentir, blesser, abandonner. défaitisme omniprésent qui prend chaque fois un peu plus le dessus, qui la pousse parfois à prendre les pires décisions juste pour échapper à la peine qui pourrait la submerger si elle faisait l’erreur de trop compter sur un autre. un père sûrement trop stricte qui lui avait apprit à compter sur elle même et non pas sur les autres. qui dès son plus jeune âge avait cumulé les preuves lui indiquant que si elle voulait réussir, elle devait se tirer du lot, ne pas perdre de temps sur les futilités que pouvait apporter les relations humaines. et probablement que pendant trop longtemps, elle avait sincèrement cru que c’était là la solution miracle. l’unique façon de tirer son épingle du jeu. alors pourquoi était-elle malheureuse quand tout le reste fonctionnait à merveille ? harvard, la présidence, les multiples prix qu’elle ajoutait à une collection monstrueuse prouvant encore et toujours que roxane nesbitt était à la tête de tout. mais si l’image était parfaite, l’intérieur était quant à lui bien moins scintillant. les nuits solitaires à regarder le feed instagram, à chercher désespérément qui joindre pour ses états d’âmes avant de se rendre compte que personne n’avait envie de l’écouter. est-ce que tu étais différente alexis ? l’espoir sûrement bête que ce soit le cas. et elle relève ses opales à l’entente de la promesse, le temps qui s’arrête pour une fraction de seconde, l’écho pour chasser définitivement les doutes. si j'étais pas moi, je dirais probablement que c'est réciproque le sourire presque complice qui s'envole, un poids qui disparaît et pour une fois, la promesse d'une réelle alliée.

rp terminé ? :heaart:
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