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ROWIE - don’t let me go

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“don’t Let Me Go” & @Roxane Sears
les images qui repassent inlassablement dans ta tête comme une cassette coincée dans l'autoradio qui diffuse la même chanson éternellement. la scène tout droit sortie d'un film d'horreur, ton regard incrédule et ton corps figé, incapable de réagir à temps. c'est pas tant d'la culpabilité que t'éprouves, t'es arrêté dans ton jugement, ce mec méritait pas mieux. mais ... mais toi, tu t'en serais passé, d'avoir ce souvenir qui allait te coller à la peau, ainsi que la suite des évènements, celle où t'as participé de ton plein gré, le sale boulot pour nettoyer la moindre trace, effacer l'horreur qui avait eu lieu. c'est pas les nuits d'sommeil avec des calmants qui t'aident, parce qu'à peine tu t'lèves et que tu croises ton reflet dans un miroir, tout te revient en pleine face. dawie du genre à faire l'autruche, tout remettre à plus tard pour éviter la confrontation, t'avais fait fort là. une semaine planqué dans un motel qui empestait les vêtements sales, et pour quoi ? ne pas craquer, pas lui faire peur, pas la replonger dans tout ça. t'aurais pu en crever d'être aussi loin d'roxane, t'en tenir à quelques messages par jour pour pas te trahir, comme si ça avait construit un mur entre vous. c'pas l'esprit tranquille que tu reviens, ton sac de voyage sur l'épaule et l'hésitation quand t'enfonces la clé dans la serrure en même temps que ton coeur se serre. immédiatement ion-ion qui vient s'jeter à tes pieds, au moins quelqu'un heureux de te revoir. tu laisses tomber ton bagage sur l'sol pour te pencher et le caresser, c'est qu'lui aussi il était déjà devenu indispensable à ton quotidien, mais impossible de l'emmener avec toi, t'avais eu besoin d'faire le point seul, c'tait mieux qu'il reste ici avec roxane. tu lèves les yeux, sa silhouette qui s'détache dans le salon. hey. premier réflexe ça serait d'lui courir dans les bras, lui avouer la douleur intense que ça t'avait provoqué d'la laisser comme ça, de lui expliquer que t'avais pas eu l'choix mais que c'était pour le mieux, qu'elle finirait par comprendre. sauf que tu peux pas, t'as promis à aidan d'rien dire, d'fermer ta gueule pour pas l'enfoncer davantage. j'suis crevé de la semaine, c'tait intense. prétexte trouvé sur l'tas pour partir en douce sans éveiller les soupçons, ne pas créer d'angoisse inutile. t'attrapes la lanière en tissus pour aller dans la chambre et déballer tes affaires, tu peux pas fuir jusqu'à la fin du monde et c'est pas c'que tu veux, t'aimerais juste que tout redevienne comme avant, quand t'avais pas encore assisté et participé à une mise à mort t'empêchant d'regarder ta femme dans les yeux parce que tu vis désormais dans l'mensonge.
 
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elle aime pas ça. ni la situation, ni l’espèce d’aura qui tourne autour d’elle. probablement parce que dans toute sa perspicacité, elle a la sensation que quelque chose ne tourne pas rond. et si elle avait toujours prôné être totalement indépendante et chérir par dessus tout ce statue, le manque de dawie se faisait sérieusement ressentir. si techniquement, elle tentait de nourrir une confiance absolue en lui, elle restait persuadée que quelque chose manquait. à commencer par les incohérences de ses propos. parce que roxane, elle avait toujours été très attentive à ses dires, mémorisant chaque information qu’il pouvait lui donner. à quel moment avait-elle pu passer à côté de ce stage ? et à quel moment est-ce que ce même stage pouvait s’organiser du jour au lendemain. résultat, elle avait passé la pire semaine au monde, se sentant totalement délaissée et n’ayant le droit en tout et pour tout qu’à quelques messages par jour. si la patience était loin d’être son fort, elle le prouvait une nouvelle fois en faisant les cent pas dans le minuscule appartement. comme un lion en cage, ses yeux ne cessaient de se poser frénétiquement sur l’heure de son téléphone, les minutes semblables à des heures avant qu’il ne daigne finalement passer cette foutu porte. hey ? juste ça ? elle reste sur le cul, ses bras qui se croisent automatiquement sur sa poitrine. l’pire, c’est qu’elle aurait pensé en premier lieu lui sauter dans les bras, lui murmurer des heures à quel point il avait pu lui manquer et à la place, elle se retrouvait avec l’étrange sensation d’être en face de quelqu’un qu’elle ne connaissait pas. oh c’est tout ce qui sort de sa bouche quand presque immédiatement tu disparais dans le couloir. donc c’est tout ? une semaine d’absence et t’es trop crevé ne serait-ce que pour lui dire bonjour correctement ? les sourcils qui se froncent alors qu’elle t’emboîte le pas, s’arrête à l’embrasure de la porte l’air perplexe. j’ai fais quelque chose ? parce qu’elle se posait sérieusement la question. te dévisage sûrement avec trop d’insistance, essaie de nouer la conversation. c’était bien au moins ? elle sait même pas si elle peu t’approcher compte tenu du fait que tu l’as délibérément esquivée.
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“don’t Let Me Go” & @Roxane Sears
raser les murs c'est une première, toi qui prends toute la place disponible et qui en devient même encombrant. si on te donnait la possibilité d'te faire tout petit, invisible et qu'on te laisse dans un coin, t'accepterais volontiers. c'est écrit sur ta gueule que y'a un truc, ça a été marqué avec des poings et des griffures comme pour qu'après coup tu l'oublies pas. les cernes qui se sont creusées sous tes yeux, quelqu'un est venues les faire à la pelle tellement elles sont profondément marquée sur ton visage. de même que les différents hématomes qui commencent tout juste à pâlir à force que tu t'plonges le visage dans d'la glace après y avoir baigné tes poings endoloris. moins visible maintenant que t'as repris l'sport, mais t'as pas non plus l'appétit d'avant, l'idée d'avaler d'la viande rouge te ramène immédiatement à la dépouille de jordy. tu m'étonnes que t'as pas envie qu'le regard de roxane il s'pose sur toi, dans cet état lamentable de torture constante. t'entends ses réflexions et ça t'crispe que plus, t'essaies d'rester naturel et détaché, y'a rien d'grave. pourtant ses pas qui t'suivent, ils te font l'effet d'un coup de tazer. hm non, rien, pourquoi ? tu restes dos à elle, les affaires qu'tu sors lentement de ton sac pour en vider l'contenu. si tu savais roxane, que c'est lui qui a merdé, qu'il s'est foutu dans une connerie sans nom pour toi, alors que t'avais rien demandé, mais qu'il s'était laissé aller à suivre son instinct primaire, animal, idiot. ouais c'tait cool, c'est pas mal là-bas. tu t'mords la langue, quelle idée d'choisir un truc aussi gros, il lui suffirait juste d'appeler l'centre en question pour savoir qu'ils t'ont jamais contacté, mais ... mais est-ce qu'elle t'faisait confiance ? si c'tait le cas, elle se poserait pas de questions, elle laisserait couler, mettrait ton attitude sur l'dos de la fatigue, une épreuve que t'avais vécu que de côtoyer l'milieu professionnel comme ça. tu pourras pas indéfiniment te préoccuper de ton linge à ranger, même sans lui faire face tu sens qu'elle doit te dévisager, peut-être le couteau déjà en main pour t'égorger. et toi ta semaine ? ça s'est passé comment ? la pile de tee-shirt en main tu vas dans l'fond de la chambre et ouvrir l'placard, le miroir sur la porte coulissante reflétant son reflet que tu t'appliques à pas regarder, pourtant, bordel dawie, t'attends quoi pour te jeter sur elle et te rassurer ?
 
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depuis quand tu l’esquives d’ailleurs ? parce que les effusions d’amour, elles viennent de toi. c’est toujours toi qui est emplit d’attention et plutôt elle qui a tendance à les éviter de peur de se sentir étouffer. alors pourquoi ? pourquoi est-ce que les situations étaient soudainement inversées ? elle comprend pas roxane, tente de relativiser. probablement que c’est son esprit de parano qui lui fait imaginer tout et n’importe quoi. ouais, c’était probablement ça. peut être que la fatigue dont tu parlais était tellement intense que t’étais incapable d’agir comme d’habitude. souffle, respire. y avait rien. et sûrement qu’elle devrait arrêter de voir le mal partout, de créer elle même des scénarios dingue dans sa tête parce qu’à quoi ça servirait ? probablement rien. rien à part déclencher une potentielle dispute dont elle se passerait bien à vrai dire. je sais pas ? t’as l’air.. se mord la lèvre avant d’hausser les épaules. rien, laisse tomber. se risque finalement à avancer jusqu’au lit où elle s’assoit en tailleur, les yeux toujours rivés sur ton dos. c’est tout ? non mais c’était pas que dans sa tête pas vrai ? y avait définitivement quelque chose qui clochait. parce que le dawie habituel, il aurait raconté des conneries, se serait épanché plutôt deux fois qu’une sur sa semaine. à la place, elle avait l’impression de devoir t’arracher les mots de la bouche comme si t’avais envie de tout sauf de lui parler. euh, bien. hausse les épaules une nouvelle fois, les sourcils qui se froncent légèrement. c’était long sans toi. bien plus que ce qu’elle aurait imaginé. parce que se coucher tous les soirs dans ce lit sans toi, c’était pas la meilleure des sensations. tomber sur ta soeur sans savoir quoi lui dire non plus n’avait pas été le top. tu vois, étrangement, c’était comme si elle avait été à moitié morte sans toi. tu vas vraiment pas me dire ce qui va pas ? parce que p’tain dawie, tu lui jettes même pas un regard quand généralement tu la dévores des yeux.
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“don’t Let Me Go” & @Roxane Sears
c'est pas toi cette prudence aggravée, elle est passée où ta spontanéité à en faire vomir ? tu te reconnais, c'est pas toi sous ce visage fermé et ces gestes languissants pour retarder l'moment fatidique, celui où t'auras plus rien à faire et qu'tu devras la regarder droit dans les yeux. continuer ta vie, avec un mensonge constant sur l'coeur, à celle à qui t'avais promis qu'il n'y aurait plus d'non-dits, celle que t'avais juré sur l'honneur de protéger et d'aimer. t'avais été juste alors ? t'avais eu l'droit d'être participant actif dans la destruction de ce gars, c'tait légitime hein ? parce que c'était pour roxane, pour l'abomination qu'elle avait dû subir. crispation qui envahie ton corps quand les questions et les accusations montent, la tête enfoncée dans l'placard en tant que bouclier pouvant te sauver d'un interrogatoire que t'aurais grande peine à subir. bah j'vais pas t'embêter avec ça, tu sais ... c'est du foot quoi. t'hausses les épaules en faisant coulisser de nouveau la porte, l'ton désinvolte. bien sûr que t'es prêt à imaginer l'scénario entier si ça peut lui faire plaisir, c'est pas un domaine que t'as pris au hasard. pour une fois t'as tenté d'la jouer futé, pas sortir un truc trop énorme et tuer ta franchise. pardon roxane, pardon d'te mentir comme ça, si tu savais comment son p'tit coeur à dawie il le haït tellement pour tout ça, l'idiot aveugle qui pourtant remarque bien la peine que ça t'cause. c'tait qu'une toute petite semaine ... ton sac que tu balances dans un coin de la pièce avec tes vêtements sales dans la main. comme si sept jours ça t'avait pas encore plus achevé, cent-soixante-huit heures, t'as compté. tout ce temps loin et proche d'elle à la fois, t'avais même peur d'la croiser quand t'allais chercher d'quoi manger à la supérette du coin. j'suis crevé ma roro, c'est tout. tu t'arrêtes face à elle pour la première fois, si toi t'as un physique pitoyable à regarder, roxane elle perd jamais de sa splendeur et t'aimerais lui dire, abuser de tes compliments à l'en faire hurler d'colère et rougir parce que d'après elle t'en fait trop, voir au fond d'ses yeux que derrière ses insultes tout ça lui plait. c'est des pros les mecs, ils m'ont pas ménagé pour voir si j'avais l'niveau. tu pointes ton visage du doigt, les hématomes qui s'estompent et les plaies aussi. aussi gros que c'est ça devrait passer, après tout des grands gars qui s'tombent dessus ça abîme. l'seul truc que t'es pas prêt d'montrer c'est ton pansement au ventre, comment tu peux justifier un coup d'couteau là, aussi léger soit-il ?
 
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elle a le droit du coup. le droit de se poser des milliers de questions. le droit de tenter de comprendre le pourquoi du comment. parce que quand elle te voit agir, elle le sent. que ça tourne pas rond. c’est les impressions, le genre de truc qu’on ressent au fin fond de son être et qu’on tente parfois de refouler. typiquement ce qu’elle était en train de faire là. parce que roxane, reine du drama, était forcément en train d’imaginer le pire dans son esprit parfois trop étriqué. depuis quand tu veux pas m’embêter ? parce que peu importe à quel point elle pouvait lui dire qu’il était chiant et qu’elle voulait pas l’entendre parler, ça l’gênait absolument pas pour continuer à sortir son charabia incessant quitte à la rendre folle la plupart du temps. où alors, est-ce que c’était elle qui voyait soudainement le mal partout parce qu’il avait été absent une semaine et que ça avait été la porte ouverte à toutes les suggestions ? l’soupire qui filtre de sa bouche, les mots qu’elle veut sortir et qui se coince en travers de sa gorge. wow. faire des efforts pour être plus ouverte, lui avouer que ça avait été presque terrible sans lui pour prendre ce genre de réponse ? elle sait même pas si c’est la surprise qui l’empêche de parler ou si c’est le picotement soudain au niveau de ses opales qui la déstabilise. continue à te fixer, découvre des traces sur ton visage que t’expliques presque immédiatement alors qu’elle se contente d’hausser les épaules. elle est où ton alliance ? l’ton un peu sec qui émane, son propre index qui pointe l’annulaire vierge. t’es bizarre dawie vraiment. un truc que la fatigue elle pouvait pas provoquer. j’ai fais quelque chose pour que tu m’dises même pas bonjour, rien ? pas une étreinte, pas un geste affectif. juste le vide et cette distance qu’elle comprends pas.
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“don’t Let Me Go” & @Roxane Sears
l'étau qui se resserre, elle te lâche pas finalement, toujours plus avide d'questions. si d'ordinaire tu les évites sans t'en rendre compte, simplicité d'esprit qui te facilite la tâche à ne pas t'soucier de tout, là tu t'efforces de rester évasif. l'inconfort le plus total, dawie ou le pinochio des temps modernes, ça s'lit tellement sur les traits tirés de ta face qu'il y a un truc. mais pourquoi elle veut pas croire à cette histoire d'épuisement ? sûrement car elle t'connaît sur l'bout de ses doigts manucurés à la perfection, roxane elle voit clair en toi car elle y fait constamment attention, surveiller tes réactions pour mieux t'comprendre. depuis aujourd'hui ? répartie que tu tentes pour alléger l'atmosphère pesante, mais l'coeur n'y est pas, l'envie d'rire à gorge déployée tu l'as perdu ces derniers jours, sûrement au même moment où t'as compris la connerie que vous aviez commise. ce poids permanent au fond de ton estomac, encore plus aggravé quand elle soulève la seule chose qui t'était sortie d'la tête. ton regard qui se baisse illico sur la marque blanche laissée par l'absence de bague à cet emplacement. j'ai- bafouilles. oui ? t'as quoi ? tu l'as perdu pendant l'échange de coups dans cette ruelle sombre et sale, tu la cherchais pendant de longues minutes quand tu savais qu'aidan t'attendais pour la suite. elle doit être quelque part ici, je l'avais pas prise là-bas pour éviter de l'abîmer. bravo, maintenant t'as quelques jours pour retrouver l'même modèle gravé à quatre chiffres pour te rattraper. la boule de linge que tu viens poser sur la commode avant de t'assoir à côté d'roxane, le souffle coupé par la ceinture d'ton jean qui vient effleurer le pansement à ton bas-ventre. excuses moi, j'sais pas où j'avais la tête. tu redoutes l'moment où ta peau entrera en contact avec la sienne, qu'la chaleur de son corps te réchauffera, quand tu seras l'plus vulnérable en fait. ta faiblesse la rousse, ton talon d'achilles capable d'te porter aussi haut que d'te renvoyer tout en bas. bonjour roxane. visage qui se rapproche dangereusement du sien pour venir déposer un baiser sur sa bouche charnue. l'espace d'un instant t'oublies tout, les peurs qui te tordent dans tous les sens la nuit venue, les cauchemars qui te tiennent éveiller comme un enfant seul dans une chambre noire. tu m'as énormément manqué, tu le sais. secoue la tête en baissant les yeux quand tes doigts attrapent les siens, ces retrouvailles dont tu rêvais en sachant pertinemment le risque qu'elles te faisaient encourir.
 
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dans le fond, elle se doute que tu vas encore une fois te moquer d’elle. lui dire qu’elle dramatise pour rien. que toute sa vie était un sacré scénario et qu’elle s’amusait à imaginer le pire à chaque fois comme si le monde entier lui voulait du mal mais ptn, n’importe qui pourrait voir que y avait un truc qui n’allait pas. même s’il était difficile de mettre le doigt sur quoi exactement, c’était présent et t’aurais du mal à faire disparaître cette conviction de son cerveau. au final, elle se retrouve partagée entre l’euphorie de t’avoir retrouvé et l’envie de te pousser jusqu’à entendre la vérité. dans tous les cas, l’euphorie était retombée en moins de deux secondes quand elle n’avait pas eu le loisir d’avoir le traitement mérité. t’es bizarre qu’elle répète à tes réponses. c’était pas toi si tu cherchais pas à la faire sortir de ses gonds. c’était pas toi si tu trouvais pas n’importe quel prétexte pour lui prouver qu’elle était pas drôle et du genre à toujours tout prendre au premier degrés. oh et tu vois, elle est vexée. parce que t’aurais pu la porter hors entraînement. montrer à tout le monde que t’appartenais à quelqu’un et à la place, t’avais juste choisit de la laisser ici comme si elle n’existait pas. t’sais, dans un esprit étriquée comme le sien, elle aurait plutôt tendance à dire que tu l’as laissé pour garder le champ libre. mots qu’elle retient dans sa bouche avec tous les efforts du monde. vraiment ? parce que ça sonne peu probable. parce que peu importe l’état, t’oublie pas que t’as une femme. y a rien qui semble te rendre justice dans ce que tu racontes. elle interprète tout de la mauvaise façon comme si dans son esprit, il était déjà décidé que tu étais fautif. et pourtant, t’es capable de l’apaiser en quelques secondes. le visage qui se décrispe un peu quand t’approches, vos lèvres qui s’accrochent un peu et le second souffle que ça lui donne. toi aussi tu m’as manqué l’murmure doux qui s’échappe, serre un peu plus tes doigts aux siens. promet que tu repars plus sa main libre qui s’accroche un peu à ton tee shirt pour te garder près d’elle. putain ce qu’elle t’aime.
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“don’t Let Me Go” & @Roxane Sears
dawie et bizarre c'est des synonymes, toujours associés l'un à l'autre pour soutenir l'impact de la définition. c'tait un peu devenu ton second prénom, parmi les "idiot", "con", "gamin" et tout ce qui peut y être assimilé. alors pourquoi est-ce qu'elle insiste autant ? elle remarque, tu crois qu'elle peut presque deviner à travers tes yeux c'que t'as vu, que t'as beau t'être frotté comme un malade les mains et le corps entier avec du savon au point de t'en abimer la peau, elle sent l'odeur de la ruelle sombre puis celle du sang, l'tien et celui de jordy aussi, sans oublier les phalanges à vif de son propre frère alors qu'il s'éternisait à frapper. t'as aucune répartie, rien qui vient illuminer ton esprit d'une blague aussi grasse qu'un macdo en plein milieu de la nuit, t'es à sec. ton regard hagard, comme un somnambule tiré de son sommeil. faut que tu réagisses, effaces ses doutes. ah ? et non, ça sort pas, rien de plus, juste cette fausse surprise que tu sembles sortir du fin fond de tes entrailles, la tirer de toutes tes forces pour répondre quelque chose, ne pas laisser le silence planer dans la pièce alors qu'il est déjà omniprésent. elle s'en rend pas compte, mais à tout deviner, du moins à t'accuser comme ça, elle te renferme un peu plus. la peur au ventre, celle de révéler des choses que tu as promis de jamais dire. tu paniques doucement, tu sais que t'as toute l'attitude d'un mec qui a des reproches à se faire, tu pues la culpabilité à des kilomètres. ta expression figé à mi-chemin entre la lassitude et l'inquiétude. t'es mauvais comédien, mais tu veux dire quoi de plus ? c'est vrai, tu l'as perdu cette foutue bague, t'as aucune idée de où est-ce qu'elle est. heureusement qu'elle s'y attarde pas, t'es pas dupe, elle doit penser aux moyens de t'le faire regretter. non je pars plus. c'tait l'unique fois, et tu souffles doucement, apaise tes maux avec ton front qui s'colle au sien, tous tes malheurs qui s'envolent une fraction de seconde. jusqu'à c'que tu paniques de nouveau, pourquoi ? traumatisme sûrement. léger sursaut et tu te défais de son étreinte. enfin là j'vais aller me doucher, mais c'est pas si loin. c'est parfait, relâches toi en apparence du moins. sourire de crispation que tu maquilles en un rictus bizarre, ouais elle a raison t'es bizarre. tu reprends tes affaires pour aller dans la salle de bain et les mettre au sale. t'hésites, fermer à clé ou non ? roxane elle a vu tes marques au visage, ça passe, mais ce pansement juste au dessus d'la ceinture, tu l'expliques comment ? t'allumes l'eau et doucement sans faire de bruit t'actives le verrouillage d'la porte, y'a pas d'raison qu'elle s'en inquiète.
 
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sûrement trop. assez pour tenter d’enfouir tous les doutes. pour arrêter de poser les questions qui visiblement dérange. les efforts considérables pour constituer rien d’autre qu’un moment apaisant qu’en en réalité elle voudrait juste te secouer jusqu’à ce que tu craches les mots. parce qu’il est évident que tu cachais quelque chose. dawie ou le pire menteur du monde. transpire les mensonges par chaque pores de ta peau mais que pouvait-elle faire si tu continuais à jouer sur les mots de la sorte ? l’impression d’être prise pour une idiote. le moment de tendresse qui soulage quelques secondes, s’efface presque aussitôt pour laisser planer une nouvelle fois cette aura de doute. j’peux venir ? le sourire qui vient étirer les lèvres charnues, s’efface presque aussitôt quand elle n’a pour réponse que la porte qui se referme. un non visiblement ferme et les courts métrages qui recommencent à naître dans son esprit. t’es éreintant ce soir. incompréhensible. ionion qui s’agite, gratte à la porte de la chambre et le soupir de frustration qu’elle laisse s’échapper, récupère la boule de poil continuant à analyser chaque détail dans l’espoir de comprendre. les minutes qui défilent, les pas qui la mène jusqu’à la porte de la salle de bain, appuie sur la poignée qui clique pour finalement la laisser toujours au même endroit. est-ce qu’elle interprète tout ? est-ce que c’est la paranoïa qui l’a pousse à agir comme ça ? traîne des pieds jusqu’au lit où elle prend place, les yeux rivés sur la porte dans l’attente de te voir revenir. tu l’as connais pas vrai ? tu sais qu’elle te laissera pas t’en sortir si facilement. et quand la porte s’ouvre enfin sur ta carrure, y a les mots qui filtrent presque aussitôt. t’étais vraiment à un stage de foot ? le ton sûrement trop accusateur, l’impression de se faire berner. tu sais, elle additionne juste les éléments qu’elle peut avoir en sa possession et les conclusions qu’elle tirent sont tout sauf sympathique.
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