just let me adore you.

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@Toni Caldwell
piémont, mer 8 avr
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Ses mots étirent tes lèvres en sourire, alors qu'il t'avoue être légèrement dépassé. Pourtant, il gère super bien pour une première fois, et t'es même très surprise de cette application et cette patiente que n'ont pas les débutants, d’habitude. D'une impulsion dans les talons, tu indiques à Uno de rejoindre Toni et lorsque tu es proche de lui, lui lances « ça va aller, tu te sens bien ? » Un seul mot à dire et vous rentrez à l'écurie pour faire le chemin en forêt juste vous deux, à pied sur la terre ferme. Le but n'est absolument pas de le mettre mal à l'aise. Vous êtes finalement parti dans les allées cavalières entourant l'écurie. Tu marches à côté de Toni, en passant ton attention sur lui, puis sur Nero, à plusieurs reprises, afin de vérifier que le bel hongre reste calme. C'est le cas, alors tu te détends un peu, relâches un peu la pression sur les rênes dans tes doigts et vous passez une bonne demi heure à parler du programme déjà passé ensemble et de ce qu'il restait à venir. Tu préviens Toni que ton ami Lukas viendrait vous rendre visite quelques jours plus tard, à Milan, et que tu t'étais assuré auprès de ton père que la gigantesque suite penthouse du Borgia Milan serait disponible pour vous deux alors que Lukas aurait, lui, une des plus belles suites. Tu veux mettre les petits plats dans les grands, tu veux les accueillir comme il se doit. T'es rassurée que Toni connaisse déjà ton ami Lukas, cet être si précieux à tes yeux que t'as passé beaucoup de temps à consoler ces derniers temps et qui sera toujours là pour toi. La preuve en est, il a décidé de parcourir la moitié du globe lorsqu'il a apprit pour ton kidnapping... Le temps passe à une vitesse folle en sa compagnie, et vous arrivez déjà dans le fameux endroit que tu voulais lui montrer. « bienvenue dans mon endroit secret, celui où j'ai surement dû passer le plus clair de mon temps lorsque je venais dans cette maison. » La vue devant vous se dégage sur la grande clairière nichée entre le ciel et les pins, surplombant la colline sur laquelle se trouve le ranch et la maison. Ça te fait un peu bizarre d'être ici avec Toni parce que pendant des années, t'es venue avec Noah lorsque vous n'étiez que des enfants. Ça te parait tellement loin, désormais... C'est comme le souvenir d'une autre vie, une autre vie qui n'est pas la tienne. Tu descends de cheval, il fait de même, et tu coinces les rênes dans les étriers croisés sur les selles. Les  deux hongres ne perdent pas une seconde pour plonger le nez dans les hautes herbes et brouter pendant que, toi, tu récupères une couverture dans la sacoche de ton tapis de selle pour la disposer au sol et t'installer dessus avec Toni. Tu retires ta bombe, la poses derrière toi, et soupires avant de laisser ton dos tomber en arrière pour te retrouver allongée. Le ciel est si bleu et le soleil bien présent te fait légèrement plisser les yeux alors que tu tournes la tête vers Toni, toujours assis à côté de toi. « ça te plait ici ? tu trouves ça joli ? » Tu souris et viens déposer une main sur ton ventre alors que tu prends une grande inspiration. Tu reprends la parole nonchalamment mais sincèrement « je suis toujours venue ici à cheval... mes parents ne le savaient pas, c'était mon échappatoire, le seul endroit où je pouvais être tranquille et au calme... »

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@katalia borgia
piémont, mer 8 avr
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D'être sur le dos de Nero, ça ne te plait pas forcément. Tu n'es pas à l'aise dans cette situation, pourtant tu ne dis rien. Tu te contentes de sourire pour montrer à Katalia que tu apprécies cet instant de partage entre vous. Tu ne veux pas ruiner ce bout de bonheur qu'elle arrive à attraper entre ses doigts. Ce qui n'était plus arrivé depuis de longs jours pour la demoiselle. « Pas trop ... Mais, je vais faire un effort ! » Tu n'avais pas envie d'écourter ce moment magique. Tu tentes encore de longues minutes de te détendre paisiblement, en inspirant et expirant à plusieurs reprises. Puis, tout à coup ça se déclenche. Tu es plus à l'aise pas assez pour être confiant à cent pourcent. Assez pour continuer de te promener avec Katalia ainsi que Nero et Uno. Vous finissez par arriver dans une grande clairière, une immensité à perte de vue. Une vue terriblement belle et paisible. Un havre de paix dans ce monde de brut. « C'est un endroit fabuleux Kat ! Je suis plus que comblé que tu veuilles partager ces moments avec moi. » dis-tu en descendant doucement de Nero pour ne pas qu'il soit effrayé. Une fois les pieds sur la terre ferme, tu accompagnes la jeune femme pour attacher les chevaux. Tu finis par lui déposer un tendre baiser sur les lèvres. Tu laisses Katalia étalait une couverture sur l'herbe où elle finit par se laisser tomber en arrière pour s'allonger. Tu viens à t'asseoir à ses côtés tout en observant autour de toi et en écoutant la nature. Il n'y a rien de plus reposant que ça. « Si ça me plait ? Tu rigoles où quoi ? C'est splendide ici, c'est tellement reposant et apaisant c'est fou ! » soufflas-tu sourire qui s'affiche sur ton visage. « Il faut toujours cacher des choses à nos parents. Au moins, ça te permettait de te retrouver seule par moment dans un endroit paradisiaque. »

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@Toni Caldwell
piémont, mer 8 avr
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Sa vive réaction ne manque pas de te faire sourire. De toute façon, il est impossible de ne pas aimer cet endroit. Reposant et apaisant, c'est exactement les termes, effectivement. C'est d'ailleurs pour ça que tu as passé tant d'heures ici, à venir à cheval pour lire un livre, pour bronzer ou pour rêver de ton avenir. Tu tournes la tête vers Toni, toujours assis juste à côté de toi, et l’observe dans la lumière de l'après-midi, ses yeux à lui également plissés à cause du soleil. Putain qu'il est beau. Tu soupires doucement, la main toujours posées sur ton ventre et l'autre qui vient glisser sur son avant bras. « oui... mon père m'a toujours foutu une pression monstre, ça a toujours été comme ça. avec ma mère, c'est différent, elle est plus douce mais... elle est moins là. j'ai parfois l'impression qu'elle s'est faite bouffée par ce monde des affaires et qu'elle oublie que je suis sa fille. » Tu fermes doucement les paupières et laisses le soleil venir caresser ta peau de sa douce chaleur. Ta main glisse toujours le long du bras de Toni, avant de venir se poser sur le revers de sa main près de ta tête. Les yeux toujours fermés, tu continues « j'peux pas m’empêcher de me dire... depuis le problème à boston, ils sont à nouveau très présents pour moi, mais, combien de temps ça va durer ? » C'est assez étrange, de révéler tout ça à Toni. Normalement, c'est seulement à Meluzine que tu dis ce genre de choses. Parce qu'elle a toujours été là, qu'elle sera toujours là, qu'elle vit le même genre de schéma avec sa famille et que c'est elle, tout simplement. Mais ici et maintenant, tu te sens en confiance et tu serais presque capable de tout lui révéler de toi, presque. Tu ouvres à nouveau les yeux, te redresses et viens t'appuyer sur tes coudes dans ton dos. Tu regardes Toni et l'interroges avec un léger sourire « quelle genre de relation t'as, avec tes parents, toi ? »

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@katalia borgia
piémont, mer 8 avr
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Lorsque tu vois ce paysage sous tes yeux, tu ne peux qu'apprécier le spectacle que cela t'offre. C'est apaisant et reposant à la fois. Un coin idyllique que tu es content de pouvoir découvrir avec la sublime brune. Tu te sens un peu privilégie qu'elle te donne assez de confiance pour te le montrer. Tu es encore assis avec le soleil en plein visage. Les yeux plissés par la luminosité de celle-ci qui te fait mal. Tu sens sa main sur ton avant bras, tu viens à tourner le visage pour la regarder tendrement avec un sourire sur les lèvres. « Les gens sont souvent comme ça dès qu'il y a trop d'argent en compte. Après c'est facile pour moi de dire ça parce que ma famille n'a jamais connu ce genre de privilège. Dans un sens, je suis quand même triste que tu ne passes pas autant de temps que voulu avec ta mère. » Ton regard se tourne vers les chevaux pour voir si tout allait bien pour eux. Puis se repose sur l'immensité de la clairière qui se tient devant vous. Le soleil est à son paroxysme. Cela te fait du bien, ça réchauffe ta peau, ton cœur. Tu es dans une plénitude totale. Tu ne pouvais pas rêver mieux comme moment avec elle. « C'est une merveilleuse chose qui puisse t'arriver Katalia. c'est souvent dans les moments difficiles qu'on a besoin de sa famille. Tu restes leur fille adorée Kat ... je pense qu'ils ont eu peur de te perdre donc, ils ont dû se rendre compte de certaines choses importantes. » Tu l'as compris avec toutes les péripéties que tu as vécus cette dernière année. Ta soeur Willow est resté constamment à te soutenir même lorsque tu t'éloignais d'elle en cause de la tristesse, la colère, la haine, la déception de vie. Tout un tas de choses ... Heureusement qu'elle a continué d'être présente pour toi. C'est ce que tu essaies de faire comprendre à Katalia. Qu'il faut mieux tard que jamais, que ses parents puissent ouvrir les yeux, maintenant. C'est une bénédiction pour elle. « J'ai une relation saine avec mes parents. Je n'ai pas de parents dans la normalité, il faut que tu le saches. C'est-à-dire que j'ai deux mères comme parents, elles m'ont adopté lorsque j'avais six mois. Je ne leur ai pas raconté tout ce que j'ai vécu ici à Boston. Sinon, elle m'aurait déjà forcé à retourner à Brighton pour être près d'elle pour m'avoir à l’œil. »

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@Toni Caldwell
piémont, mer 8 avr
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Petite lueur de bonheur dans ce monde de brutes, petit instant de bonheur dans cette vie qui est la tienne. T'es juste là, avec lui, et t'es bien. T'es heureuse, t'oublierais presque les dernières semaines, alors que t'es dans cet écrin de verdure qui t'as toujours protégée des maux de ce monde, tout comme du regard de tes parents. C'est ton havre de paix, l'endroit où tu te sens en sécurité et à cent pour cent toi même, et t'es juste tellement heureuse de le partager avec lui... Tu te confies sur tes parents, sur les difficultés que tu peux rencontrer avec eux. Ce n'est pas un secret, d'ailleurs il a surement du s'en douter, à t'entendre parler d'eux, de temps en temps. Mais c'est la première fois que tu t'exprimes aussi clairement à ce sujet. Tu n'aimes pas forcement te dévoiler, ce privilège est reversé à un petit nombre de personnes que tu peux compter sur les doigts de tes deux mains. Tu hoches doucement la tête à ses mots, sur le fait que cette mauvaise passade pour toi a clairement du leur faire peur et leur ouvrir les yeux, par la même occasion. « t'as surement raison... » Pourtant et au fond, tu ne peux t’empêcher de te demander "pour combien de temps ?" ouais, car ça a toujours été comme ça, avec eux. Soit. Tu décides de profiter de ces instants loin d'eux, tant qu'ils te fiche la paix, pour être ici avec Toni, dans la maison de champagne, sans la pression sociale du nom Borgia sur tes épaules. Tu hausses légèrement un sourcil, surprise lorsque tu entends que Toni avait été adopté. Vous aviez déjà parlé famille, enfin surtout frères et sœurs, mais il ne t'avait encore jamais dit qu'il avait deux mères. « j'trouve ça génial ! » tu lâches avec un large sourire « elles ont du t'apporter une sensibilité toute particulière à la vie. » tu le vois bien, il est l'homme le plus patient et le plus attentionné que tu ai jamais pu rencontrer. Puis, ces derniers mots te font légèrement soupirer, il faisait surement référence à ses différents passages à l’hôpital... et les combats de boxes, aussi... Tu te relèves complètement, d'une main vient doucement tirer sur l'une de ses jambes pour te frayeur un passage jusqu'entre ses cuisses et te retrouver juste en face de lui et de son visage, tes jambes repliées sur le côté. T'es si près que t'arrives presque à voir les taches plus clairs dans ses iris. Tes mains viennent glisser à l'arrière de sa nuque et tu souffles comme dans un soupir « je suis très contente que tu sois resté dans le coin. » avant de finir par faire disparaître la distance entre vos lèvres avec ardeur.

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@katalia borgia
piémont, mer 8 avr
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Tu lui dis ce que tu penses sans prendre de pincettes. Certes, tu mets tout de même les formes pour ne pas la froisser. Tu essaies de lui faire comprendre qu'il faut des électrochocs par moment pour réaliser ce qu'on risque de perdre. C'est un peu ce qu'il s'est produit pour toi. Lorsque tu as cru perdre à tout jamais Katalia, tu as réalisé que tu ne voulais plus la quitter une minute. D'être le Koala accroché à sa branche. Le panda qui a besoin de son bambou tous les jours. Ce ne sont que des métaphores, pourtant c'est ce que tu ressens pour elle. Tu es persuadé que ses parents ont réalisés la même chose. À leurs manières. « Je suis persuadé. Regarde, ton père a bien voulu que tu retournes à Milan chez lui, et te laisser le ranch pour toi toute seule avec un pauvre inconnu à ses yeux. » Tu parles de toi, bien évidemment. Il aurait pu clairement refuser la proposition de sa fille en ayant peur qu'un nouveau drame se produise. Toutefois, vous êtes tous les deux dans cette magnifique clairière à discuter de vos vies respectives. Une discussion sérieuse que vous n'avez jamais réellement eue depuis votre première rencontre. C'est un immense pas que vous êtes l'un envers l'autre. « Ça dépend pour qui, à vrai dire ... » Malgré que tu aimes tes mères plus que tout au monde. Tu as un manque de repère masculin dans ta vie. Tu n'as pas de caractère. Tu es trop lisse et gentil avec les femmes. Même quand on te blesse ou détruit, tu continues de pardonner mainte et mainte fois. Tu reproduis systématiquement le même schéma. Cela devient épuisant à force. « C'est pour ça que je suis un homme trop gentil et sensible ... ça m'énerve d'être ainsi ! » Tu aimerais pouvoir avoir plus de poigne avec les femmes. Pas dans la violence, non. Impossible pour toi. Mais, dans le caractère. D'avoir les couilles de dire non quand ça va trop loin. De pouvoir prendre le dessus avec une femme lorsqu'une dispute se déclenche. Tu ne demandes pas grand-chose en réalité. Puis, tu lui annonces que tu as caché énormément de choses à tes mères. Uniquement pour pouvoir continuer de vivre sur Boston, sinon tu serais présentement sur Brighton. Elle vient à s'installer entre tes cuisses, vos souffles se mélangent l'un à l'autre, vos regards ancré comme jamais vous l'aviez fait jusqu'à présent. Un moment magique qui fait battre ton cœur à toute vitesse. « Je le suis tout autant. Je n'aurais jamais rencontré cette merveilleuse femme en face de moi. » affirmas-tu en posant ta main sur sa joue pour lui caresser tendrement avant de prolonger le baiser fraîchement donné par la demoiselle.

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@Toni Caldwell
piémont, mer 8 avr
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Tu hoches doucement la tête de haut en bas à ses mots. Pour le coup, ton père a été étonnement conciliant en te laissant revenir ici, et accompagnée, qui plus est. Depuis quatre ans, depuis Noah, tu ne leur avait jamais présenté personne. Personne. Il était le premier. Et ça comptait forcement pour eux, autant que ça compte pour toi. T'es pas en couple avec Toni.. t'espères l'être un jour, même si cette idée te terrorise. « T'es plus un inconnu maintenant. Pas pour moi et donc plus pour eux. » Le buste redressé, t'es appuyée sur tes coudes, tu l'écoutes te parler de sa famille, de ses mères et de tout ce qu'il ressent par rapport à ça. Il s'énerve d'être trop gentil et trop sensible. Tu bascules la tête en arrière, fermes les paupières et laisses le soleil éclairé ton visage de sa chaleur réconfortante. « ces sont de très beaux traits de caractère. » Le fait d'être comme il est, quelqu'un de bien. T'aimes sa gentillesse, t'aimes son soutien, son regard bienveillant et sa douceur. T'aimes tout ça et pourtant... parfois ça te fait peur. Oui, parfois, tu te demandes même s'il n'est pas "trop" gentil et que ce train de son caractère va permettre à ton esprit un peu tordu -parfois-, de prendre le dessus. Parce que t'as été élevé comme ça. Dans la patience et la bienveillance, mais aussi dans l'amour de la compétition qui provoque chez toi une certaine forme d'égoïsme. T'as besoin qu'on te provoque, qu'on s’élève aussi haut que toi et qu'on élève un peu la voix. C'est le caractère sanguin de ton père qui dicte ta conduite et l'art des beaux mensonges de ta mère qui coule dans tes veines. Tu te redresses finalement et viens te placer juste en face de lui, entre ses cuisses. Son compliment fait battre plus vite ton cœur et même froisser ton nez. Lorsque tu plantes ton regard dans le sien, t'as cette envie qui s’empare de toi et qui te pousses à réduire à néant l'espace entre vos lèvres. Il prolonge ton baiser, t'y prends un plaisir non dissimulé et puis, lorsque tu n'as plus de souffle, tu recules et passes une main sur son épaule musclée. « ça te dit de rentrer ? on pourra aller se doucher et faire une sieste... » Sur le mot "sieste" ton sourire s'étire largement, lourd de sens. Un lit oui, du sommeil non, c'est ce que tu comptes bien lui réserver.

FIN DU RP

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