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ROWIE - electrify my heart

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electrify my heart

Une nuit comme les autres en apparence, t’étais tombé raide dans ton lit après l’enchaînement surhumain de ta journée. Trop d’choses à faire, rattraper tes heures au travail mais aussi reprendre ta place au sein d’léquipe. trois semaines c’est rien dans une vie, seulement à ton échelle c’était trop. Tu te fais ptêtre des idées, mais t’as l’mauvais pressentiment que ça pourrait faire pousser des ailes à certains. Dawie l’grand déconneur qui prend tout à la légère mais qui revient avec la gueule amochée et des cernes jusqu’au menton ça annonce la couleur déjà. T’avais tout pris sur toi, les malheurs de dada ça restait un chapitre secret d’ta vie. Parce que t’aimes pas te plaindre, la pitié elle sera mieux pour ceux qui en ont vraiment l’besoin. Toi qui dors comme un enfant d’habitude, la tête à peine posée sur l’oreiller que t’es parti pour l’pays des merveilles, en vingt-cinq ans c’tait une première que t’ouvres les yeux comme ça, à chercher ton réveil du regard alors qu’il affiche trois heure trente. Tu tournes, l’premier réflexe d’attraper roxane qui est à l’autre extrémité du matelas. Tu t’attends à sentir son corps alourdi par l’sommeil près du bord comme elle t’accuse constamment d’lui voler la place quand vous dormez ensemble. Tu saurais pas décrire la raideur qu’tu ressens quand tu poses ton bras autour d’elle. tu dors pas ? tu chuchotes alors qu’la lumière d’la rue qui filtre à travers la fenêtre t’laisse entrevoir son visage, à moins que t’ai jamais remarqué qu’elle dormait les yeux ouverts. Tu te redresses sur le matelas, te frottant l’visage comme un gosse qui sort d’sa sieste. si tu l’aimes vraiment pas l’matelas j’en achèterais un autre, mais d’là à carrément faire nuit blanche pour m’le faire remarquer. tu souffles en étouffant un bâillement, ton imposante masse qui s’rapproche de cette fragilité rousse, la tête qui vient s’enfouir dans son cou. j’ai encore pris les couvertures c’est ça ? paraît que t’es pas l’meilleur pour les soirées pyjamas. t’as peur au fond qu’elle te dise qu’elle se voit finalement pas vivre avec toi, ta manière de contourner l’sujet pour l’instant. Tu saurais pas exprimer l’bonheur que ça te procurait de savoir que ni demain, ni après demain, ni à aucun moment t’allais retrouver ton lit vide. Même si ta commode était composée à quatre-vingt pour-cent d’ses affaires et que maintenant l’ménage c’était presque quotidien, savoir que roxane vivait avec toi ça t’provoquait une joie inqualifiable.
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la vie reprenait son cours, pas vrai ? aller en cours, faire acte de présence aux entraînements de cheers quand elle était incapable de faire quoi que ce soit, rentrer chez dawie et attendre qu’une nouvelle journée débute. qu’est-ce qu’elle aurait pu faire de plus de toute façon ? le souci, c’était surtout qu’elle avait l’air inanimé. un peu éteinte. moins brillante ou moins sauvage, tout dépendrait du vocabulaire des autres. mais roxane, elle était surtout connu pour faire bonne figure. prétendre que tout allait bien et ne clairement laisser l’occasion à personne de voir que quelque chose ne tournait pas rond. mais quand la nuit venait, tout était différent. dawie qui s’endort comme à son habitude en seulement quelques secondes et roxy, étendue dans le lit, les yeux grands ouvert. les minutes qui défilent, puis les heures. incapable de trouver le sommeil. les même ombres qui défilent à chaque fois qu’elle ferme ses prunelles. elle le sent qu’elle s’agite, sa respiration qui s’accélère un peu trop et l’écossaise qui réouvre les yeux, les gardent fixés sur la fenêtre un peu plus longtemps. inspire. rien ne t’arriveras ici. mais n’étais-ce pas ce qu’elle pensait aussi quand elle était chez elle ? et le bras de dawie vient soudainement s’emparer de sa taille, voix endormi qui lui prononce quelques mots. non répond doucement, contrôle ses nerfs, sa respiration, tout. et elle inspire doucement, fronce les sourcils à ses mots. non, ça va le matelas y avait strictement aucun rapport mais comment pourrait elle lui en vouloir ? c’était du grand dawie. toujours tout tourner à la dérision, tout le temps. non, pas cette fois tu le vois pourtant non ? que les draps sont toujours posés sur elle. dors dawie, c’est tard. et ses problèmes, well… était les siens.
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t’as pas besoin d’être sur son dos, elle le supporterait jamais. Déjà que d’vivre avec toi ça allait lui demander des efforts inimaginables, t’avais pas l’autorisation d’jouer au grand chef qui allait lui dire quoi faire. Ton appart c’est pas un dixième du sien, faudra qu’elle prenne ses marques, que tu la laisses t’envahir et t’bouffer même, puisque roxane et dawie c’est ça. Tu les entends les cris de protestation d’tes potes, ceux qui veulent savoir où est passé l’gars qui en avait rien à faire des histoires d’amour et qui voyait sa chambre à la dudley comme le quartier rouge d’amsterdam. Celui qui riait bien quand une fille voulait garder des affaires chez lui parce qu’ils étaient en couple non ? C’est bien connu, à partir du moment où on fréquente quelqu’un on s’appartient. Toujours le mot qu’il fallait pour ses clichés là, la blague lourde et grasse qui démontait les clichés. Six mois, c’est tout ce qui a suffit pour briser cette autosuffisance, la moitié d’une année où t’avais compris que ça te gâcherait pas la vie de t’ouvrir corps et âme à quelqu’un. Tu l’comprends en regardant roxane, elle t’a fait viré l’coeur. non. y’a pas qu’elle pour refuser les choses, tu relèves la tête en t’asseyant. si tu dors pas, j’dors pas. enfantin, plus espiègle à chaque échange ou pénible si on demande à la principale intéressée. t’hésites, t’as constamment peur d’lui faire du mal maintenant, d’la toucher à un endroit qui est encore sensible de son attaque, réveiller un traumatisme. Tes doigts qui viennent se perdre dans sa crinière, geste tendre pour l’attirer un peu plus contre toi. tu veux parler ? de tout, de rien. Tu sais que dans son esprit les pensées fusent à un rythme que tu serais incapable de suivre, toi t’es bien trop lent avec ta capacité mentale digne d’un adolescent qui a trop fumé. Mais tu veux être là pour elle, qu’elle sache que quoiqu’il s’passe t’es prêt à l’aider, la soutenir quitte à jouer l’rôle de bouc émissaire durant ses excès de colère à en faire pâlir un volcan en éruption. comment tu fais pour être toujours aussi belle, même là, comme ça, en plein milieu d’la nuit ? tu l’admires, bien qu’la férocité de son visage comme marque de fabrique semblait avoir été troquée pour l’plus grave des abattements. Si ton regard pouvait mettre des mots sur c’que tu pensais t’en finirais pas d’lui faire des éloges parce que toi à côté avec une potentielle trace de bave au coin d’la bouche et les cheveux en bataille sur ton front, t’avais rien d’glamour la nuit.  
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elle aimait pas s’épancher dessus. montrer qu’elle avait définitivement un coeur était sûrement le pire dans le monde de cruauté qu’elle avait crever. et même si dawie était probablement le plus à même de savoir que comme n’importe quel autre humain, roxane était capable de ressentir, elle préférait ne pas laisser ses faiblesses s’échapper trop rapidement -voir pas du tout. c’est bête parce que ça ne changera rien. ça enlèvera pas les monstres sous le lit, ni la terreur de voir quelqu’un surgir soudainement dans l’appartement. tes doigts dans ses cheveux et elle arrête ta main, tire sur ton bras pour le placer autour d’elle, reste accrochée à lui comme si t’étais son rempart. roxane elle avait jamais eu besoin d’un rempart, pourquoi fallait-il que désormais elle ait tant besoin de toi ? non ça va. le plus grand problème de la reine elle même était probablement tous les secrets qu’elle gardait enfouis en elle. comme si la moindre parole mal assuré pourrait lui faire perdre sa couronne. et peu importe à quel point tu l’aimes dawie, elle est pas prête à te laisser ce pouvoir là. dis pas n’importe quoi elle lève les yeux au ciel, léger soupir qui filtre de ses lèvres alors que doucement, elle se tourne pour lui faire face, ses doigts qui poussent les mèches collés à son front, caresse doucement sa joue. c’est ça être heureux ? parce qu’elle se demande roxane. parfois, elle a beau essayer de te repousser de toutes ses forces, elle sait que sans toi elle y arriverait pas. que d’une manière ou d’une autre, elle a besoin que tu sois présent. qu'est-ce qui t'arrives pour que tu joues au loveur en plein milieu de la nuit ? change le sujet, tente de plaisanter avec lui quand bien même l'humour n'était pas une de ses qualités.
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t’es de loin le meilleur psychologue, t’écoutes les gens avec ce sourire niais qui te pend aux lèvres altérant ta crédibilité de moins cinquante pour-cent. T’es pas l’épaule sur laquelle on vient pleurer pour avoir des conseils et en apprendre plus que la vie. T’as davantage l’rôle de l’idiot du village, celui qui ne faillira pas à sa mission d’arracher un rire. Mais t’as envie que ça change, enfin pas dramatiquement, t’es inapte à conseiller justement les gens, t’es foiré c’tout. Mais roxane, ta roxane, tu ferais n’importe quoi pour qu’elle te parle, qu’elle arrête d’se cacher derrière ses yeux noircis d’mascara qui expriment rien qu’le dédain. Ta tête qui s’pose sur la sienne en la serrant contre toi, t’es prêt à croire qu’tu pourrais la tuer comme ça, à vouloir trop la coller sans t’rendre compte qu’elle en étoufferait. c’est un super pouvoir que j’ai eu à force d’dormir avec toi, un sixième sens en gros, j’sens quand t’es en manque d’moi. joue qui s’frotte doucement à ses cheveux quand tu murmures ça. T’es paré à encaisser son revers, te renvoyant ta blague avec son humour à elle qualifiable de douteux. T’as l’marchand de sable qui te guette, mais ce mal-être qui l’fait tout autant. Silencieux quelques secondes tu reprends sur l’ton de la confession. aussi j’pensais pas ça possible, mais crois le ou non, c’qui reste de mon cerveau il s’agite la nuit des fois. t’es pensif, d’habitude rien t’empêche d’profiter dix heures dans un état proche du coma. Distraitement tu lui caresses l’bras, profitant du calme environnant d’la pénombre mais surtout d’son parfum qui t’fais tourner la tête. mais jpense surtout que j’suis un loveur parce que j’suis heureux avec toi. l’choc des titans, entre roro l’avare en compliment et à qui un je t’aime semble coûter un rein, toi tu balances tout c’que t’as sans y penser à deux fois. Ça s’voit à ton visage qui s’illumine quand elle est là, ton besoin contant d’la toucher à n’importe quel moment et la douleur physique que ça provoque quand t’en es privé, mais aussi à ton coeur qui rebondit comme une balle de ping-pong dans ta cage thoracique. Même en pleine nuit avec les responsabilités que t’auras à assumer demain. j’pense à nous aussi.   matin midi et soir, avec la double ratio en fin d’journée même.  
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c’est pas qu’elle était pas drôle roxane, c’est juste que personne n’était apte à comprendre le niveau ou se situait son humour. trop subtil, trop.. ou non, la vérité était juste qu’être drôle ne faisait pas partie de ses attributs. et lui, comme bien souvent, enchéris toujours plus. trait qui l’agaçait en premier lieu mais qui désormais était une part intégrante des raisons de pourquoi est-ce qu’elle l’aimait. raison qu’elle gardait bien enfoui préférant ne pas prendre le risque de le voir développer encore plus les conneries monstrueuses qui sortaient déjà de sa bouche à tout moment. c’est toi qui me colle tout le temps, j’crois que le manque il est surtout de ton côté pique en le repoussant un peu. il a pourtant pas tord dans le fond, elle est tout aussi accrochée que ce qu’il peut l’être. elle est juste plus avare sur les mots, donne moins l’impression d’être dépendante. et qu’est-ce qui se passe là dedans pour qu’il s’agite comme ça ? qu’elle demande, son index qui tapote sur sa tempe. et elle sourit doucement roxy, le mieux qu’elle puisse faire. si elle n’était pas elle, sûrement qu’elle aurait rit bêtement à la confession avant de lui faire une déclaration. mais non, un sourire c’était bien et dans le fond, il savait qu’elle ne serait pas là si elle ne ressentait pas une infinité de sentiment pour lui. de ses doigts un peu froid, elle continue à caresser sa joue, ses lèvres qu’elle dépose légèrement sur les siennes. elle sait pas forcément parler roxane mais elle ressent. et tu penses à quoi au juste ? curieuse de savoir ce qui pouvait tourner dans sa tête. ce que le nous pouvait bien vouloir dire.
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t’assumes, on dit que dans une relation y’en a toujours un qui aime plus que l’autre et c’est bon à parier que t’es celui-là. Ou plutôt d’entre vous deux t’as pas honte d’le clamer, ça tue pas d’aimer aux yeux des autres. Les yeux de roxane qui roulent comme les billes du loto et son nez qui se retrousserait à chaque flamme déclarée dans toute l’élégance d’ta bave qui s’écoule de ta bouche quand tu l’imagines. Tous tes proches savant qu’à présent elle fait partie intégrante de toi, qu’elle passe avant tout. Tu t’sens même égoïste, frère indigne qui est pas du chevet d’sa soeur, préférant la chaleur des bras d’une rousse tumultueuse à en donner le mal de mer. Tu l’as collé depuis l’départ, avant qu’les vrais sentiments naissent et vous mettent au pied du mur. Attraction malsaine pour la reine, quoique déjà à l’époque tu passais au dessus de sa réputation. Toi c’que tu voulais c’était le fauve, la voir déchaîner et s’emporter contre toi, se déferler avec passion alors que tu te tenais droit en face d’elle, l’vice qui est poussé à chaque fois. Fièvre chronique quand elle s’approche de toi, la finesse de ses doigts qui t’font l’effet d’une plume sur l’corps avant d’accueillir sa bouche comme un assoiffé avec de l’eau. des faux contacts j’dirais, faut pas s’attendre à voir une lumière clignoter tu l’sais bien. l’autodérision lâchée quand tu reprends ton souffle après cet échange qu’tu juges excessivement éphémère. Les boutons qui s’allument dans ta cervelle, les souvenirs bons et mauvais de vos expériences passées, quoique parfois altérées parce que c’est bien connu que dawie rime avec amnésie. C’est même plus que tu penses à roxane, tu vis roxane, et la suite en devient logique. à ce que t’as dit à l’hôpital quand j’tai parlé d’orion et chanel. tu reconnais en étant tenter d’faire une moue boudeuse, parce que même si t’es loin d’avoir la mémoire d’un éléphant, là t’avais été marqué au fer rouge. j’pensais t’avoir prouvé que j’étais devenu sérieux et sincère, alors ouais moi j’y avais pensé à ça. « ça » et puis tout le reste aussi, l’futur. bien sûr que ça veut rien dire des fiançailles, tu pourrais te prendre une horde de féministes sur l’dos à te crier dans les oreilles qu’à part enchaîner la femme comme trophée c’est inutile. Mais t’as envie de faire fort, le maximum, parce que toi t’y crois. Dans la semi obscurité tu viens rechercher ses lèvres, une main sous son menton pour prolonger l’moment du réconfort, car la tempête roxane est capable de s’éveiller à tout instant.
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parfois, elle ne savait pas vraiment si elle manquait les signes ou si son égocentrisme l’empêchait de voir plus loin que le bout de son nez. peut être un peu des deux. peut être qu’au fond, elle ne comprenait que ce qu’elle voulait, passait le reste à la trappe comme si ce n’était pas important. arrête qu’elle souffle, son nez qu’elle frotte doucement au sien. pourtant, la douceur c’est pas non plus ce qu’elle fait le plus souvent mais peut être que parfois, quand c’est plus qu’elle et lui, elle se laisse aller. tu joues les idiots, t’es loin d’en être un. derrière le tas de muscle, y avait autre chose. et bien sûr que c’était le physique et les titres qui l’avait attirée en premier lieu mais c’était pour tout ce qu’il y avait à l’intérieur qu’elle était tombée amoureuse. et le sourire, il s’efface d’un coup quand elle se remémore l’échange en question. orion et chanel. elle a les opales qui se fixent dans les tiennes, l’incompréhension qui menace de venir tout submerger. attends, pardon ? reine roxane se fait couper la parole, les lèvres de dawie qui s’écrase sur les siennes et si t’as le don de l’abrutir quelques secondes, elle oublie pas ce que tu viens de lâcher. dawie, dawie ! sa main qu’elle plaque sur ta bouche, se redresse soudainement, longue mèche rousse qui tombent en cascade devant son visage. c’était.. c’est moi qui ait parlé de mariage tout ça. c’était une blague. j’veux dire.. merde. ça n’avait rien à voir avec le sérieux et la sincérité. y avait pas besoin de se passer une bague au doigt pour croire en une relation. t'es déjà pas super drôle en règle général alors.. tu m'fais quoi là ? ça sortait de nul part, c'était franchement effrayant et.. c'était une blague non ? le grand dawie sears, incapable de s'arrêter, obligé de repousser les limites toujours plus loin. regarde moi dawie parce qu'elle le sent ton regard qui fuit, elle le voit. ses mains qui accrochent ses joues, le souffle un peu court. j'veux pas que tu demandes ce genre de truc juste parce que t'as eu peur. et c'est ça la principale motivation pas vrai ? venir ici, aller plus loin. c'est juste parce qu'à un point, t'avais été terrifié de la perdre, pas parce que tu le voulais vraiment.
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tes sourcils pourraient atteindre l'plafond, et comment dire qu'tas une belle hauteur c'tait d'ailleurs l'un des critères qui fait que vous aviez aimé l'appart, mais c'pas ça le moment de parler immobilier. roxane qui t'dit que t'es pas l'dernier des débiles, c'est à marquer d'une pierre blanche, parce que l'autre soir encore à l'hôpital elle avait pas démenti quand tu t'étais insulter tout seul. tu crois qu'ça veut dire que j'le fais exprès quand j'confonds tes crèmes hors de prix avec du savon ? oups, désolé mais pas désolé, quand tu vois un truc traîné à côté du lavabo et qui sent bon, dans ton p'tit esprit ça sonne la clochette que c'est du bon désinfectant. tu pourrais lui confesser toutes les dernières conneries que t'as fait, mais la liste serait bien trop longue. surtout quand elle manque de t'asphyxier en sortant plus de mots à la seconde qu'eminem en personne. t'restes calme pour une fois, placide et docile dada qui attend qu'le quart d'heure de folie de roro passe. les mains qui pressent tes joues comme si t'avais l'air d'un anti stress en mousse. l'regard qui s'balade dans la pièce à peine visible quand elle te demande d'lui faire ça. tu m'fais mal roxane, j'ai encore mes dents d'sagesse qui poussent. t'articules avec ta bouche en cul d'poule de quoi faire jalouser toutes les filles qui s'font des injections. tu te recules un peu en manquant d'te cogner la tête contre le mur, frottant tes joues frénétiquement. est-ce que c'est l'heure tardive, les derniers évènements ou rien d'tout ça, mais t'empruntes l'chemin le plus dangereux de ta vie. d'abord j'ai rien dit encore, c'toi là qui devient incontrôlable. tu ponctues en te retenant d'rire, elle frôle l'internement là, pousses pas dada. tu te recoiffes en arrière, tu parles beaucoup dawie, mais c'pas toujours cohérent, juste quelques secondes pour ranger les pensées à leur place. de un, c'est pas pour faire comme orion, ouais on ... est pareil, mais c'est tout, enfin tu vois quoi. ok tu commences mal, t'es pas assuré, mais la vérité c'est que si orion se jette d'un pont toi aussi, mais ça s'arrête là. too much ? de deux, c'est pas parce que j'ai eu peur, j'sais bien que ça va pas t'rendre invincible. et c'est bien dommage, parce que tu l'aurais fait immédiatement. tu prends une profonde inspiration, voilà comme le coach il dit quand tu vas faire une passe décisive. tes yeux qui se braquent dans les siens alors que tu lui attrapes les deux mains, comme ça impossible qu'elle t'en foute une. de trois, j'dois te le dire combien d'fois que je t'aime ? c'est pas suffisant comme raison ? que j'pense qu'à toi depuis ... bah depuis que j'sais que tu m'aimes bien, que j'ai plus regardé une autre fille ou même que j'en ai jamais regardé une comme j'le fais avec toi ? parce que j'ai jamais aimé, alors comme maintenant j'le sais, j'en suis certain, j'me pose la question. tu t'attends à tout, la crise de larme, les griffures au visage et même la vandalisation de ton appart, mais t'ouvres ton coeur.
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c’était sûrement ça l’explication aux conneries qui sortaient soudainement. et elle panique roxane. tu le sais pourtant. tu sais qu’elle déteste ne pas avoir le contrôle sur tout. ses mains qui appuient sur tes joues, se rend pas spécialement compte qu’elle te traite comme une marionnette. elle passe le coup des crèmes même si elle hésitera clairement pas à lui faire une facture de tous les produits qu’il était en train de lui niquer parce qu’au lieu de lire une étiquette, il préférait se servir de son exfoliant pour les lèvres sur les aisselles. fronce les sourcils, laisse ses mains retomber à plat sur le matelas, profonde inspiration qu’elle prend pour tenter de se calmer. putain, à quoi tu joues dawie. encore ? encore. donc le encore voulait dire que tu allais dire quelque chose. que tu comptais dire quelque chose éventuellement et c’était pas vraiment ce qui avait le don de la rassurer. pourtant, elle essaie fort de se contenir. de pas venir te broyer autre chose que les joues. hoche la tête au petit un. soupire au second. mais elle le sait dans le fond que ça sera le troisième le pire. c’est toujours le troisième qui devient super dangereux dans la moindre conversation. et les mains prises en otage, elle se contente de te regarder, maîtresse d’elle même jusqu’au bout. jusqu’à la prochaine crise. ses opales qui se ferment, accuse le coup quelques secondes. ne pas angoisser, ne pas s’énerver, ne surtout pas attraper le coussin à droite pour chercher à l’étouffer. et tu sais que je t’aime aussi. et dans le fond, la raison était suffisante. les gens s’engageaient par amour, c’était la raison la plus logique au monde. tu te poses la question genre, tu te demandes si tu veux le faire ou tu te demandes si tu vas me poser la question parce que t’as peur que je t’arrache les yeux ? les deux hypothèses étaient totalement probable.
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