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les larmes roulent sur ses joues, n’en finissent plus — gamine au regard vide, gamine au cœur meurtrit. main abîmée, posée sur le rebord du lavabo. ses jointures deviennent si blanches, forcée de s’accrocher pour ne pas s’écrouler. elle n’a pas le droit de s’écrouler ahreum, elle est plus forte que ça. elle ne doit pas, pour soojin, pour tous les autres qui n’ont pas eu la même chance qu’elle. mais, c’est dur, ça fait mal. et ahreum, elle craque finalement. après s’être retenue depuis que les secours sont arrivés pour récupérer sa sœur ; à ne pas la lâcher une seule seconde, hormis pour aller rendre visite à hyunjae. à se mordre les lèvres, si fort, pour retenir les sanglots. elle ne peut pas pleurer ahreum. les épaules s’affaissent, la cambrure dorsale se courbe. vision de la vie altérée par les événements récents ; finalement, la vie ne tient qu’à un fil. en un claquement de doigt, elle peut tout perdre. perles salées sur les joues, roulent sans retenues. elle n’a plus de force ahreum, pourtant elle arrive à se redresser, le regard qui se pose sur la forme abstraite de sa silhouette contre la buée du miroir, à essuyer. vision d’horreur, lorsqu’elle se voit dans le miroir. à essuyer ses larmes de sa main, attraper une serviette pour essayer de sécher ses cheveux encore trop mouillés. mais, elle n’y arrive pas. serviette qu’elle repose sur l’étendoir avant de sortir de la salle de bain ; visage bouffi. surprise, un peu gênée de tomber nez à nez avec une infirmière. qui semble comprendre l’état dans lequel elle est, puisque naturellement, elle vient l’aider à finir de s’habiller. (…)

allongée dans son lit, tourné vers sa sœur, elle soupire légèrement. elle est fatiguée, exténuée. gamine qui veille jour et nuit au chevet de sa jeune sœur, soojin. elle a remué ciel et terre, quitte à faire payer la famille pour qu’elle puisse avoir un lit auprès d’elle. ahreum, elle s’est interdit de la laisser seule dans la tourmente. incapable de s’en défaire lorsqu’elle se met à imaginer une vie sans elle. impossible. le cœur se serre dans la poitrine, lui donne l’impression d’étouffer. attrapant son portable, elle se perd sur le monde d’internet. juste une parenthèse, pour l’aider à souffler. mais, ses yeux s’ouvrent en grand, le cœur s’arrête. ji-sung. se relevant d’un coup, elle cherche son contact, tape difficilement de sa main libre le message. à se bouffer les lèvres, elle ne l’a pas revue depuis le train, elle ne sait pas comment il va, trop concentrée sur sa sœur. soupire de soulagement quand il lui répond et lui indique qu’il est lui aussi, dans le même hôpital. sans réfléchir, elle se lève, embrasse le front de sa sœur, lui demande de la pardonner si elle se réveille et qu’elle n’est pas là avant de filer aussi vite que son entorse lui permet.

arrivée devant la porte de sa chambre, elle a le cœur qui s’emballe alors qu’elle cogne contre la porte, n’attends pas de réponse avant d’entrer. tombant nez à nez avec une jeune homme, le bras comme elle, immobilisé. et c’est des vagues qui la traversent, le soulagement de l’avoir là, de le voir vivant, la peur qu’elle a ressentie quand elle se remémore le regard qu’ils se sont donnés dans le train. s’avançant vers lui, boîte légèrement à cause de la chaussure immobilisant sa cheville, elle ne réfléchit pas ahreum, laisse le corps, le cœur s’exprimer lorsqu’elle capture son visage pour déposer sa bouche contre la sienne. simple baiser contenant trop d’émotions qu’elle laisse de nouveau quelques larmes s’échapper avant de le prendre dans ses bras. silencieuse, remerciant la vie de lui avoir laissé le garçon.
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tu en avais vécu des situations peu plaisantes. et notamment durant ce long service militaire. hélas ce coup du destin c'était un peu comme la cerise sur le gateau. on croit que ça n'arrive qu'aux autres et pourtant vous aviez fait parti de ces malchanceux présents au mauvais endroit, au mauvais moment. bon nombre de passagers doivent déjà avoir développer une hantise contre le métro mais toi ça te fait ni chaud ni froid. on ne peut pas défier le destin. et si ce n'est pas le métro demain, ce sera peut être la voiture, l'avion ou même la trotinette. tu fais partie de ces gens qui reprendront leur train train quotidien sans réelles conséquences psychologiques. non pas de l'antipathie, juste une conscience différente. et puis t'as pas vraiment le temps de t'attarder sur ton sort quand tu sais que d'autres ont été plus profondément choqués que toi. à commencer par ton frère dont la mémoire lui a fait défaut. heureusement un mal temporaire, mais un mal dévastateur quand on y pense. t'as pas vraiment apprécié lui dire que non vous n'appeleriez pas votre mère parce que cette dernière vous a fait ses adieux il y a peu. c'est là ce qui te fait le plus grincer des dents dans cette histoire. tu n'aimes pas franchement resté dans cette chambre exigüe malgré les soins nécessaires pour ton bras. tout le monde est dépressif ici, tout le monde parle encore du trauma subit et les psychologues qui ont insisté ne comprenant pas que ça te passe aussi facilement au dessus de la tête. pas un monstre, juste un cas bizarre qui préfère avancer plutôt que de ressasser l'enfer et rester figé sur ses proches en mauvaise posture. et puis son message t'a délivré de la solitude. tu ne sais pas pourquoi tu n'as pas pensé à lui en envoyer un avant qu'elle ne le fasse. un oubli sans doute. quelques échanges écrit avant que demoiselle apparaisse comme par magie devant ta porte. tout de suite la chambre lugubre est un peu plus chatoyante quand bien même tu l'as vu bien plus souriante que ça. le poids de l'angoisse est bien évidemment trop fort pour ses frêles épaules. tu le savais qu'elle mentait dans ses messages et tout la trahit à cet instant. son regard brillant, ses mains tremblantes qui caressent ta mâchoire pour t'offrir ce qui ressemble à un baiser de réconfort. si elle n'avait pas été dans un tel état, tu aurais sans doute fait une blague de mauvais goût mais là maintenant tu te voulais inquiet. alors tu te décalais sur le côté, la serrant un peu plus dans tes bras, lui laissant un espace suffisant sur ce lit de fortune." je t'avais dit de ne pas t'inquiéter pour moi. " elle avait sans doute d'autres chats à fouetter que de se faire un sang d'encre pour toi. mais tu l'as laissé craquer si cela lui était nécessaire. ta main caressant doucement son dos, débordant parfois sur sa chevelure. tu attendrais des heures comme ça s'il le fallait, le temps que sa respiration se calme.

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ça déborde de son être alors qu’elle s’avance vers sa silhouette installée sur le lit ; pas rapides, démarche bancale dût à son attelle alors qu’elle serre les dents face à la douleur du corps. gamine au bord du gouffre alors qu’elle se rassure de voir son visage plein de vie devant elle. les mains qui prennent le visage avant de l’embrasser ; geste affectueux sorti de nul part avant qu’elle ne le prenne dans ses bras. étreinte maladroite alors que tout deux possèdent un bras dans le plâtre. et ahreum, elle laisse rouler les larmes sur ses joues sans se soucier d’être vue. visage caché, il n’y a que sa respiration qui la trahie. à le sentir se décaler pour lui laisser un peu plus de place, geste qui fait fondre le coeur alors qu’elle pleure ses pensées, silencieuse. à secouer le visage alors qu’il laisse entendre ses propres mots ; des mots qu’elle refuse, boule au bord de l’implosion dans le ventre. il ne peux pas comprendre ji-sung, qu’elle a faillit perdre plus qu’un bras ou une jambe dans cet accident. dans ses bras, elle se laisse aller à un craquage qu’elle s’efforçait de garder sous contrôle depuis cet accident. soojin, lui, hyunjae, beaucoup trop sur la liste. les minutes s’écoulent sans qu’elle n’ai la moindre envie de s’arrêter. ne s’importe peu de l’image qu’elle peut renvoyer à cet instant, même si il est apte à l’aider dans ce moment. elle sait juste qu’elle se sent bien mieux ici, dans ses bras, que dans sa chambre à tourner en rond. moment passé, elle n’a plus que des traces sur les joues, réconfortée par ses caresses dans le dos alors qu’elle se détache lentement. essuie ses joues du bout de sa manche alors qu’elle a le regard baissé. « je suis vraiment désolée » faible sourire sur ses lèvres abîmées, elle soupire, les épaules qui s’affaissent de nouveau alors qu’elle passe une main dans ses cheveux.  désolée pour avoir craquer, désolée pour ce baiser — « je ne t’ai pas fais mal ? » question stupide, elle s’en rend compte. faible  grimace étire les traits alors qu’elle relève le visage. « tu peux pas me demander de ne pas m’inquiéter alors que j’ai faillis perdre plusieurs personnes dans cet accident » qu’elle murmure - le coeur qui se fissure. « je suis juste heureuse de savoir que ça va, que tu es encore en vie » parce qu’elle a besoin de le dire, de le montrer.
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bien évidemment que tu préfèrerais être mille fois ailleurs que cloué dans ce lit avec un bras handicapé. mais de quoi pouvais-tu te plaindre alors que la chance t'avait plutôt épargné. t'étais pas cloué dans un fauteuil roulant, tu avais tous tes membres et toute ta tête. et pour ça tu pouvais dire ça à l'armée qui a eu comme seul avantage que de te forger le caractère. hélas ce n'était pas le cas de la poupée qui désemparée venait de s'écrouler sur toi comme si elle n'en croyait pas ses yeux. et sans doute que ce baiser volé avait pour but de la ramener à la réalité, plus qu'une signification sentimentale. soit. peut importe le pourquoi du comment, tu la laissais faire. tant que ça pouvait l'aider à respirer de nouveau. ce que tu pouvais détester voir une femme avec les yeux rougies. sachant pertinemment que tu n'as pas toujours les bons mots pour rassurer, tu te contentais surtout de l'encercler de ton unique bras valide. parfois il n'y a pas besoin de mots, juste d'une présence et son corps semblait réclamer cela. une minute. puis deux. puis plusieurs avant qu'elle ne sorte de sa bulle, les traits encore affaiblies. tu plisses les yeux un peu dubitatif face à ce désolé qui n'a aucune raison d'être." il n'y a aucune raison de s'excuser. mon épaule sera toujours là en cas de besoin. " ça ne se lit pas forcément sur toi mais tu te feras toujours passer les autres avant ta propre personne, peu importe le prix. léger rire face à sa maladresse." horriblement mal. je souffre le martyr. " tu préfères en rire pour la détendre un peu. mais après sa confession, tu t'en veux d'avoir encore fait le clown alors que c'était déplacé vu le contexte et sa sensibilité accrue. difficile de répondre face à cette détresse. et surtout c'est bizarre. elle que tu connais depuis si peu de temps, et pourtant déjà profondément attachée." je suis désolé de t'avoir fait peur. je vais essayer de ne plus me retrouver dans une situation pareille. " bon okay c'est pas gagné, toi qui a tendance à te mettre dans dans de beaux draps. mais l'important aujourd'hui c'est de ne pas la blesser plus qu'elle ne l'est déjà." je suis certain que ta soeur va s'en sortir. parce que tu sais y'a une règle dans ce monde: interdit de mourir avant de m'avoir rencontré. " que tu dis avec ton air le plus sérieux possible. oui c'est nouveau, ça vient de sortir. mais tu serais capable des pires conneries pour qu'elle retrouve un peu de paix en elle.

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douce enfant en proie à ses états-d’âmes, elle se laisse couler ahreum. se noie dans ses propres émotions, alors que les larmes roulent sur ses joues tandis qu’elle cherche réconfort dans l’étreinte maladroite du garçon. le coeur bat le rythme dans la poitrine, à se concentrer sur ce dernier, cognant dans les tempes tant le mal est présent en elle. un, deux, trois. et elle compte dans sa tête, se laisse bercer, se laisse calmer par les gestes douceurs de Jin dans son dos. les minutes passent et la jeune femme tente une remontée à la surface ; le coeur un peu plus apaisé de le savoir vivant et en bonne santé. elle se détache doucement, efface les traces de perles salées sur ses joues alors qu’elle murmure un désolé, pour l’arrivée en trombe, le baiser et cette étreinte. parce que finalement, est-ce que les places sont jumelles ? est-ce qu’elle a autant d’importance dans sa vie que lui n’en a dans la sienne ? la question bouillonne, le doute gronde en son esprit. elle hausse les épaules, doucement, grimace à l’inconfort avant d’afficher un sourire faible. il n’est pas plus en bon état qu’elle. sourit à la différence de bras endommagés avant de sentir son coeur se fissurer. les paroles s’envolent, les mots mis sur des maux profondément ancrés. et il s’excuse ji-sung. elle secoue la tête ahreum. « ce n’est pas de ta faute » qu’elle murmure., faiblement. tête baissée, épaules affaissées. comme si elle portait le poids du monde sur ses épaules. rayon de lune caché par les nuages. un léger rire s’échappe de ses lèvres alors qu’il tente d’apaiser la situation. doux sourire sur les lèvres abîmées. « elle va s’en sortir, c’est une battante, c’est une min, c’est juste que. j’ai vraiment eu peur de la perdre » qu’elle commence à dire, avant de passer une main dans ses cheveux. « je prends notes alors, tu vas voir, c’est un tout un phénomène, j’espère que tu n’as pas peur » soojin était l’une de ses plus grandes fiertés, de même que pour le reste de la fratrie min. des femmes fortes dans la famille. à se racler la gorge, relever son regard. « tu me prête laquelle, d’épaule ? j’ai le droit à un pass vip éternité ? » taquinerie maladroite, pourtant, se cache derrière une demande, une promesse, un ‘est-ce que tu seras toujours là?’. parce qu’ahreum, elle a besoin de savoir les gens présent, longtemps, dans sa vie. gamine qui ne supporte plus les chemins séparés trop vite. elle se mord les lèvres. le regard qui glisse sur l’épaule en écharpe. « si je ne te connaissais pas assez, je me serais mise à pleurer, là tout de suite, pour m’avoir sorti que tu souffrais le martyr. anyway, j’crois vraiment que t’as de la chance de pas ressentir la douleur, je me shoot aux antalgiques, j’ai l’impression de bader h24 » qu’elle déclare en s’installant un peu plus confortablement sur le lit.
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t'étais peu habitué à ce qu'on s'inquiète ainsi pour toi. encore moins venant d'une fille. parce que clairement t'étais pas du genre à construire de véritables relations avec cette dernière. ouais les femmes c'est dangereux, ça peut vous retourner le cerveau alors oui tu préférais éviter les drames. mais ahreum était entrée de manière assez fracassante dans ta vie et difficile de dire non à sa bouille d'ange. sa naïveté avait le don de te faire sourire et de te montrer le monde sous un aspect différent. et surtout il y avait cette envie en toi de la préserver des dangers. elle est cette rose que tu souhaites voir éternelle. impossible de ne pas te sentir coupable face à ses larmes et son coeur qui cognait un peu trop vite dans sa poitrine. c'est assez déplaisant de savoir que tu la blessais une seconde fois. comme si lui avoir volé ce qu'elle avait de plus précieux, n'était pas assez. à croire que tu ne seras jamais à la hauteur avec elle. mais est ce si étonnant ? alors forcément tu te caches de nouveau derrière ton humour loin d'être modeste." y'a pas grand chose qui me fait peur dans ce monde. pas même les petites soeurs démoniaques. " sourire rassurant qui s'affiche sur tes lèvres parce que tu connais que trop bien ce sentiment écoeurant que de perdre un être cher et tu ne lui souhaites pas. mine choquée lorsqu'elle demande à prendre ses aises éternellement sur ton épaule." si je te prêtes qu'une seule épaule, l'autre risque d'être jalouse. il faudra alterner. mais si tu veux ce pass vip, promets moi de ne plus pleurer pour moi. " tu te refuses à être source de larmes pour elle. c'est pas toi, c'est pas ton rôle." j'ai une solution magique pour faire disparaître la douleur. efficacité prouvé à 100% mais ça aussi c'est un privilège VIP. " alors tes lèvres viennent délicatement se poser sur son front. sung beaucoup trop respectueux pour allez cueillir ses lèvres. regard empli à la fois de confiance et de tendresse. " oses me dire que tu n'as pas retrouvé toute ton énergie ! "

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dès lors que ses lèvres s’étirent en quelques sourires, le coeur s’apaise instantanément. soupir de soulagement qui s’échappe ; joues humides des larmes coulées, elle renifle de façon incontrôlée avant de se reprendre. elle doit avoir une mine affreuse, n’allons pas aggraver l’image déjà bien entachée. gamine aux maux qui se calment. sans doute que le voir essayer d’alléger la situation l’aide à le faire. main glissée dans ses cheveux alors qu’elle tente une pointe d’humour maladroite, ahreum se glisse à ses côtés un peu plus confortablement. loin d’elle l’idée de s’éloigner ou de quitter la chambre alors qu’elle vient d’arriver. il faudra la chasser pour qu’elle quitte l’endroit. « ça, c’est parce que tu ne l’as pas encore rencontré » de même que le visage poupée d’hae. elle hausse les épaules, affiche un air à la limite de la désolation. « non je blague, elles sont gentilles » est-ce rassurant ? elle n’en savait rien, c’était gênant de parler de rencontrer la famille. elle relève son regard, pince les lèvres. « c’est vrai, il ne faudrait pas que je la rende jalouse alors. » à se mordre légèrement les lèvres. ahreum, elle se perd dans sa contemplation. ne plus pleurer pour lui ? à ne rien dire, encore. elle ne savait pas comment prendre la chose. les pupilles qui se dilatent, intéressée lorsqu’il évoque une façon de chasser toutes les peines. elle est bien curieuse, ahreum. penche la tête sur le côté avant de sentir son souffle se couper — coeur battant manque un battement. figée, elle sent ses joues rougirent sous la surprise du contact de ses lèvres contre son front. geste anodin, c’est ce qu’elle répète ahreum. refuse de penser à autre. chose, écarte les pensées qui s’affolent en son esprit. et elle sourit ahreum, amusée, attendrie par le geste. « je dirais pas à 100% mais on est pas loin. » qu’elle laisse entendre, pointe de taquinerie dans la voix alors qu’elle détourne le visage. le regard qui se perd sur la chambre d’hôpital avant de se retourner vers lui, sa main libre relevée, petit doigt levé. « je ne pleurerais pas, si tu me promets de ne pas me briser le coeur. » c’est donnant-donnant, non ? le regard qui fait des vas-et-viens entre son doigt et lui, attend une quelconque réaction. elle demande trop ahreum, elle demande sûrement l’impossible, mais elle ne peut s’en empêcher.
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étrange sensation que de se sentir comme un ange gardien prêt à déployer ses immenses ailes d'un blanc pur autour de son corps meurtri. tu avais cette envie constante de la protéger, comme si c'était le but ultime de ton existence. la pointe amer dans le coeur de ne pas avoir été un homme digne de ce nom lors de votre rencontre subsistait encore. tu emporterais sans conteste cette culpabilité jusque dans ta tombe. elle qui pourtant semblait avoir fait un trait sur cette déception. tu préférais mille fois voir le sourire sur ses lèvres que les larmes coulaient sur ses pommettes. à l'entendre parler de sa fratrie, tu devinais aisément que ses soeurs représentaient tout l'or du monde pour elle. un concept loin de t'être étranger." par hasard, tu ne voudrais pas échanger une gentille petite soeur contre un frère un peu grincheux. " bon c'était un peu fort comme terme mais yeon avait ses humeurs et devoir traiter avec son amnésie momentanée des suites de sa commotion était quelque peu éreintant psychologiquement. mais difficile de se plaindre quand on sait que d'autres ont perdu bien plus dans cette tragédie. tu remontais un peu la couverture sur son corps endolori, toujours à plaisanter malgré que le lieu ne s'y plantait guère. tu te voulais même enfantin en lui proposant ce fameux bisou magique. remède miracle de toutes les mères de ce monde. et tes pensées qui allaient vers cette dernière étaient douloureuses. malheureusement tu n'étais pas insensible aux blessures psychologique, celles qu'on cache profondément. sourire attendri et silence qui plane quelques secondes avant que la sentence ne tombe." pfff menteuse. " que tu rétorques de ton air presque condescendant avant que ta main vienne déranger ses cheveux en bataille. ouais tu peux vraiment être gamin parfois. et c'est d'un air interloqué et inquiet que tu abordes son deal." t'es dure en affaires. " parce que tenir une telle promesse se voulait quasi impossible. surtout que tu avais déjà jouer avec son coeur si l'on peut dire ainsi. c'était un peu un quitte ou double, pourtant ton petit doigt venant enlacer le sien." promis juré craché que je ne te blesserai pas. " t'étais fou mais tu le serais encore plus si tu venais à briser ce précieux diamant qu'elle était. et voilà que l'infirmière venait déposer ton plateau repas - enfin difficile d'appeler cela ainsi - " je suis certain que t'as quasi pas manger. je veux bien partager mon super menu avec toi. on est chanceux on a eu un gâteau en dessert. je crois que c'est parce que l'infirmière en pince pour moi, que j'ai le droit à ce privilège. " toujours à débiter des conneries.

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et l’enfant se pare d’un demi-sourire lunaire sur les lèvres écorcées par l’inquiétude. gamine au cœur encore ébranlé, mais qu’elle sent s’apaiser à mesure que les secondes défilent ; lui laissant le plaisir de profiter de sa compagnie. éclats d’étoiles dans les prunelles, elle a l’impression d’avoir un poids d’enlever sur ses frêles épaules. ahreum, trop fragile pour encaisser de telles pertes ; pas prête à dire au revoir. jamais. ahreum, c’est l’éternel, le durable, le longtemps. la brune laisse un éclat de ricanement alors qu’elle hausse les épaules. « je suis sûre que je pourrais le rendre moins grincheux » à relever le menton ; elle est fière l’enfant, elle a l’audace de penser qu’elle peut mettre des couleurs, du soleil dans la vie de n’importe qui. sa fine main qui accompagne les propos d’un hairflip. avant de rire, timidement. « mais je suis sûre qu’une semaine avec ma soeur et tu penseras ton frère pas vraiment grincheux » parce qu’il faut dire la vérité, elle aimait soojin de tout son coeur, mais les caractères sont à l’opposés et il était souvent difficile de suivre la jeune. relevant le regard vers lui, ses joues se colorent de rose lorsqu’il dépose un baiser sur son front pour enlever ses maux. « je ne mens pas » et elle fronce le bout de son nez ahreum ; ahreum, jolie menteuse. à cacher certaines vérités, les garder comme des secrets. mauvaise manie que d’enjoliver la vérité pour faire moins mal. ahreum, trop secrète. aussi vite, elle se laisse surprendre dans ses pensées lorsqu’il ébouriffe ses cheveux, chevelure qu’elle s’empresse de remettre en place avant d’afficher une moue mi-boudeuse, mi-amusée. « que veux-tu, les affaires sont les affaires » qu’elle rétorque en pinçant les lèvres. ahreum, elle aime les promesses, elle aime les idées ; se dire qu’elle fait partie d’une pensée. les petits doigts se lient et ahreum, elle est contente. rassurée. éprise à l’idée qu’il ne sera pas une personne qui la blessera. coeur trop mou, trop précieux. la parisienne sursaute lorsque la porte s’ouvre sur l’aide-soignante venue déposée le plateau repas. à se dire qu’il faudrait qu’elle retourne à sa chambre pour récupérer le sien et aider sa sœur à manger. mais la proposition de ji-sung est bien trop tentante. « ooooh » qu’elle laisse entendre avant de le regarder en biais, suspicieuse avant de regarder le gâteau. « fais attention qu’elle n’ai pas glissée un filtre d’amour dedans, tu serais dans de beaux draps » (sans mauvais jeu de mot), elle ricane à sa connerie. « mais ne t’inquiète pas, je crois que le mien m’attend dans ma chambre. je ne voudrais pas tout manger et te laisser avec la peau sur les os » (quelle ironie lorsqu’on sait qu’elle a passé une bonne période ainsi) demoiselle à l’appétit compliqué ; il est encore difficile pour elle d’y plonger à l’aveugle. « tu sais que tu peux commander à manger ? » elle regarde le plateau, renifle un peu, rien de très agréable. « si tu veux, dès que je retourne dans ma chambre, je te commande un truc aussi ? ce qu’il y a ce soir ne me dit pas grand-chose. » à se mordre les lèvres. « faut que tu te reposes okay ? j’serais bien restée, mais j’crois qu’on va m’virer dans peu de temps. » qu’elle glousse faiblement. « maintenant que je sais que tu vas bien, je suis rassurée. » et elle se lève du lit ahreum, s’étire un peu le dos avant de remettre en place ses habits. passe outre la gêne d’un tel accoutrement avant de se rapprocher et déposer un baiser sur la joue de ji-sung. « à plus tard ! je reviendrais te voir si tu veux, passe une bonne nuit ! ». et elle sourit trop fort ahreum, avant de s’éclipser de la chambre après ces au revoir. le cœur apaisé.
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