Arizona B-Blackwell ► Sophia Bush

01/08/2017

ARIZONA BLACKWELL

FT. SOPHIA BUSH

carte d'identité

JE SUIS NE(E) LE 24 janvier 1989 À Seattle. J'AI ACUTELLEMENT 31 ans ET JE SUIS DE NATIONALITÉ Américaine. JE SUIS ATTIRÉ(E) PAR les hommes et les femmes. ACTUELLEMENT JE SUIS célibataire. NIVEAU SOCIAL JE SUIS à l'abri du besoin MAIS TRANQUILLE JE GÈRE je travaille comme inspecteur de police

Fire Starter

J'aime le fait d'avoir pu tout recommencer ici, même si je n'ai pas de souvenir de Seattle. J'aime le fait d'être loin de la bas, loin du souvenir et des cicatrices que mon nom de famille a comme gravé dans ma chair. J'aime le fait que Boston soit devenu ma maison, parce que je l'ai choisi. J'aime ses odeurs, ses couleurs. J'aime ce qu'on peut y faire à tout heure de la journée ou de la nuit. En revanche, comme toutes les grandes villes, il y a des inconvénients. Comme les pics de pollution à certaines heures de la journée, les invasions de touristes, la criminalité.. Même si ce n'est pas propre à Boston. Mais j'aime cette ville, avec ses défauts et ses qualités. Mon endroit préféré ? Surement le bureau de mon boulot. C'est idiot, mais c'est à cet endroit que je me sens vraiment moi et surtout, vraiment bien.

le caractère

1. Rentrons immédiatement dans le vif du sujet, la plupart des gens commence par leur qualités pour montrer avant tout qu'ils sont bons. Je vais faire l'inverse, parce que ça fait partie de moi autant que les bons côtés. Je suis quelqu'un d'extrêmement colérique à tendance agressive parfois, j'ai toujours été comme ça et ni cachets ni thérapeute n'ont réussis à me calmer. Alors j'ai commencé les sports de combats. Ça m'aide à me canaliser, pourtant toute cette haine, elle est toujours au fond de moi. 2. Je suis manipulatrice. Je n'ai aucune honte à le dire, peut-être un peu plus à le vivre. J'ai souvent dû mentir ou même amené les gens à faire ce que je voulais pour mon boulot. Vous savez, être flic sous couverture c'est pas simple. J'ai dû jouer un rôle sauf qu'il arrive un certain moment, une certaine limite où on ne sait plus si ce qu'on est c'est nous ou celle qu'on doit être. 3. Je passe ma vie à repousser les autres. Pourquoi ? Parce que j'ai peur. J'en ai conscience, je crois que c'est ça le plus fou. J'ai peur de perdre ceux qui me sont proches alors je préfère ne pas avoir de proche. Seulement.. je suis humaine. 4.J'ai cette noirceur en moi, qui semble ne pas vouloir disparaitre, peut importe ce que je fais. Parfois elle me semble familière et d'autre fois j'ai l'impression que c'est un corps étranger. Quand je commence à me mettre en colère, je la sens, cette part sombre, elle veut que je la laisse sortir et je dois me battre corps et âme pour la refouler. J'ai peur d'être comme lui. J'ai peur d'avoir hérité de sa folie, de son sadisme, d'être prédisposée à la violence par sa faute. Je bataille, jour après jours pour ne pas sombrer dans sa démence. Je suis la nièce d'un célèbre tueur en série et c'est mon fardeau. 5. Trop autoritaire moi ? Oui. J'aime que les choses soient carrés, droites. Je n'aime pas que le travail soit mal fait et quand c'est le cas, je ne mâche pas mes mots pour le faire savoir. Le problème, c'est que j'ai tendance à être pareil dans ma vie privé et qu'on ne peux pas traiter les siens comme des soldats. 6. Passons aux bons côtés, histoire de vous faire oublier le monstre que je suis. Paradoxalement à tout ça, je suis quelqu'un de sociable. J'aime sortir quand je ne suis pas plongée dans mon boulot. 7. Qui a dit que les flics étaient coincés ? Parce que c'est pas mon cas, j'aime m'amuser, rire, ça me permet de chasser toutes ces mauvaises pensées de ma tête. Ça me permet d'oublier le temps d'un instant. Profiter de ma vie, parce que la mort, je la côtoie trop. 8. Indépendante. Je suis pas vraiment le genre de femme capable de m'occuper de gosse à la maison en attendant que mon mari rentre pour qu'il mette les pieds sous la table. On est en 2019. Un peu féministe sur les bords, j'ai besoin de bouger. 9. Charmante, on dit souvent de moi que mon sourire en fait craquer plus qu'un et d'une. J'en joue, qui ne le ferait pas ? 10.Juste. J'essaie de l'être le plus possible. Parfois c'est ma justice à moi, mais faut bien commencer par quelque chose.

derrière l'écran

Bonjour tout le monde ! Sur internet on m'appelle Sectumsempra et j'ai 25 ans. Je suis française et j'ai connu le forum grâce à top-site. ILH est juste parfait alors je suis déjà présente sur le forum sous les traits de Hope J.F. Kennedy (MH) et Abigail Parris (Love Shot). J'utilise Sophia Bush comme avatar, d'ailleurs les images ont été faites par Mok. Je fais environ 300 à 500 mots par RP et mon personnage est un personnage inventé.

Je souhaite ▲ (retire la balise le symbole et sa couleur qui ne correspond pas)
 je ne veux pas être parrainé
Je recense mon avatar ▲
si personnage inventé:

Code:: [size=10][url=http://www.i-love-harvard.com/u7618]☆[/url] ☆ <span class="pris">SOPHIA BUSH</span> ◊ “ Arizona B-Blackwell ”[/size]

(Jayne Atkinson)

i'm unstoppable. i'm a porsche with no brakes. i'm invincible. i win every single game. i'm so powerful i don't need batteries to play. i'm so confident. i'm unstoppable

01/08/2017

une petite quote par ici

CHAPITRE UN : Le fardeau.

Je suis née le mardi 24 janvier 1989 à Seattle. Deuxième et dernière enfant de la fratrie d'une famille aisée, j'ai plus ou moins toujours eu ce que je voulais. Ma mère était une ancienne professeur d’anglais et mon père était avocat. J'ai grandi en ayant toujours ce dont j'avais besoin, je voyais rarement mon père mais tout de même assez pour ne pas trop lui en vouloir. En revanche, ma mère devenant très vite femme au foyer, était toujours là pour mon grand frère, et moi. Ma mère pensait que je serais médecin et mon père me voyait l’âme d’une femme d'affaire. Mais toute jeune déjà, je savais que je serais avocate comme mon père. Quant à Ambrose mon grand frère de trois ans mon aîné, lui aussi voulait devenir avocat, notre père nous ayant transmis sa passion. Nous avons donc grandit tous les deux, ensemble et tellement proche. Jusque-là, une enfance tout à fait banale oscillant entre l'école et les loisirs comme les arts martiaux que je pratique depuis mes 5 ans à raison de 7h par semaine. Pourtant sous ces airs de famille parfaite se cache un lourd secret. Je porte le nom de jeune fille de ma mère parce que celui de mon père, prononcé à voix haute, provoque chez certain du dégoût et chez d’autre une sorte d’obsession malsaine.. Bundy. Mon père, Samuel Bundy n’est autre que le demi frère du tristement célèbre Ted Bundy, horrible tueur en série des années 70. Il est mort électrocuté le 24 janvier 1989, jour de ma naissance. Une anecdote insolite pour certains, difficile à vivre pour moi. Et puis comme si ce n’était pas déjà facile de vivre avec un tel bagage, un jour ma vie a basculé.
J'étais en dernière année de Bachelor en droit à la fac de Boston. Après la mort de mon oncle mes parents ont décidés de déménager à Boston là où mon frère et moi avons grandi. Je rentrais un week-end sans avoir prévenu mon frère car c'était son anniversaire. Une fois arrivée à la maison, mon père était rentré plus tôt et mes parents et moi avions passés la soirée à préparer l'anniversaire d'Ambrose. Mais il n'est jamais venu. Il avait seulement 24 ans. Au début on a pensé qu'il avait fugué, peut être trop de pression pour une seule personne. La police à débarqué et s'en est suivit de longues heures d'interrogatoires. Puis les semaines passèrent. Je cherchais dans chaque parcelle de mon cerveau des images de lui qui auraient dû me mettre sur la piste d'une quelconque idée de fuguer. Et puis le premier appel arriva quelques jours après. Cette fois-ci pour nous annoncer que Ambrose avait été retrouvé dans une ruelle pas très loin de la maison et qu'il était mort, une overdose. Ma vie à littéralement prit un autre sens. C'était impossible qu'il soit tombé dans la drogue, c'était mon frère, j'aurai dû le savoir. Et puis des tas de choses clochait dans le rapport d'autopsie. Il manquait des informations et après avoir remué ciel et terre je me rendais compte que certaines informations avait été classés confidentiels. Mon obsession pour cette affaire ne me quitta alors jamais. Aujourd'hui encore j'en rêve la nuit et je me lève pour relire les dossiers que j'ai toujours gardé avec moi. Je pense que cette affaire m'a fait voir les choses d'une toute autre manière. Je ne voulais plus être l'avocate qui attend que le crime soit passé pour jouer son rôle. je voulais être flic. Pour lui, pour tout ceux qui ont disparus ou sont morts et dont personne ne s'est alarmé. Je continue de penser que mon frère a été assassiné même 9 ans près cette histoire. C'est d'ailleurs pour ça que j'ai décidé de tenter l'école de police. Pendant tout ce temps je n'ai pas cessé de chercher. J'ai même engagé un détective avec qui j'ai eu un relation privilégier pendant 1 ans. Mais j'ai préféré partir quand je me suis rendue compte que ressentais des choses pour lui, sans savoir ce que lui ressentait pour moi.

CHAPITRE DEUX : L’errance.

Mais pendant tout ce temps ma vie n'a pas été évidente. Ma mère a fait une lourde dépression et même si elle en est à présent sortie, j'attends malheureusement le jour ou elle rebasculera, même si mon père à vraiment été là pour elle. La mort d'Ambrose à laissé des marques indélébile que je ne saurais effacer. Je me suis, sans vraiment le vouloir, éloignée de ma famille. Il m'était impossible de faire comme si de rien était, de diner avec eux en sachant qu'il manquait quelqu'un. Les fêtes de fin d'année ont été une purge pour notre famille si bien que nous avons tout bonnement arrêté de les faire. Pendant un moment j'ai enquêté de mon côté, avec mes ressources sur l'affaire de mon frère et mes parents n'ont pas comprit ce besoin que j'avais de trouver des réponses. Pour eux, je ne faisais que remuer le couteau dans la plaie, je me faisais du mal mais je leur en faisait aussi. Dans leur esprit, c'était comme si je ne laissais pas mon frère reposer en paix. J'ai écumé les bars en buvant toujours de plus en plus. Parfois seule, parfois accompagnée. Je ne pouvais pas me droguer avec ce qu'on disait de mon frère autour de nous. Alors j'avais trouvé une autre drogue, un substitue qui me permettrait quand même d'oublier cette douleur aiguë dans ma cage thoracique. J'ai eu des relations avec des hommes et des femmes, découvrant par la même occasion ma bisexualité, quelque chose que je n'ai pas assumé immédiatement. Venant d'une famille catholique, c'était assez mal vu. J'ai eu des histoires avec des hommes mariés dont je ne suis pas fière à présent. J'ai subit des choses compliqués lorsque j'étais en service sous couverture. Notamment une infiltration qui à mal tourné après que mon partenaire m’ait trahis. J'ai été torturé pendant 6 longues heures avant que mes collègues me retrouve. 6 longues heures qui ont laissés des traces sur tout mon corps. J'ai mis du temps à m'en remettre, je ne voulais pas d'aide parce que je voulais souffrir. Tant psychologiquement que physiquement je voulais la ressentir la douleur. Je me levais, j'allais bosser puis je me soulais et je terminais dans les draps d'inconnu(e)s. Une vie vide de sens, j'étais une coquille vide et ces années ont été les plus sombres de toute ma vie.

CHAPITRE TROIS : De la salvation à la chute.

Puis j'ai rencontré Kelly, lieutenant pompier. Je l'ai souvent croisé pendant mes soirées de boulot. Puis un verre en suivant un autre, nous avons passé la nuit ensemble. Après quelques nuits, restaurants, cinéma et autres long moments à deux, j'ai finis par emménager avec lui tout en gardant mon appartement comme si au fond de moi, je le savais.. J'étais vraiment bien avec lui pourtant, mais sans réussir encore à mettre des mots sur mes sentiments, ces trois petits mot. Puis il a eu un accident. Un soir qu'il était de garde, il à été appelé sur une intervention, un patient trop stressé qui à décompensé et qui lui à planté un scalpel dans le bras, alors qu'il venait de le sortir d'un accident de voiture et de l'emmener dans l'ambulance. Quelques semaines de repos et il était sur pieds. Rien de très grave pour lui, un électrochoc pour moi. J'ai eu l'impression d'avoir de nouveau à gérer l'absence d'un proche. Comme Ambrose quand il est mort. J'ai soudain dû faire face à ce que je ressentais pour lui, tout ses sentiments que je pouvais éprouver pour cet homme, ce risque de le perdre lui aussi. J'ai explosé et sur un coup de tête j'ai décidé du jour au lendemain de tout arrêter. Sans explications j'ai regagné mon appartement. J'ai filtré ses appels, j'ai refusé de lui ouvrir la porte. J'ai simplement disparu de sa vie. A présent quand je le croise un malaise palpable se ressent à 3 kilomètres à la ronde. Mais c'était le mieux à faire pour moi. J'ai conscience du mal que j'ai pu lui faire mais il était inconcevable pour moi de prendre le risque qu'il meurt lui aussi. La mort est présente dans mon quotidien et Kelly, c'était mon pilier, mon repère. Celui qui me permettait de garder la tête hors de l'eau. Si je le perdais, c'était mon monde qui s'écroulait. Instinct de survie ou grosse connerie, aujourd'hui c'est terminé et j'en viens à le regretter.

CHAPITRE QUATRE : Reprendre sa vie en main.

Aujourd'hui je vis à présent un peu plus en harmonie avec moi même. J'ai rencontré des tas de personnes, dans ma vie privé mais aussi professionnel. Des hommes et des femmes qui encore maintenant ont une importance. J'essaie de m'ouvrir aux autres, de ne pas me renfermer. Je tente de repousser le moins possible ceux qui essaie de m'aider à aller mieux. Je vois même une thérapeute, pour essayer de faire le deuil de mon frère que je n'ai toujours pas réussis à faire, pour contrôler ma colère, pour détruire les barrières que j'ai construite et qui m'empêche de me laisser pleinement aller avec les autres. Pourtant au fond de moi, je sais qu'elle est encore là, cette noirceur, ce besoin perpétuelle de détruire les choses qui me rendent heureuse. Malheureusement entre temps j'ai croisé la route de Felix, mauvais garçon, insupportable et pourtant si attachant. On s'est laissé à aller et j'ai finis par en tomber amoureuse. Réellement cette fois, jusqu'à lui dire ces mots qui m'ont toujours écorché la bouche. Relation destructrice et malsaine, c'est dans les coups et les larmes qu'on a finalement décidé d'arrêter. Mais j'ai du mal à me le sortir de la tête.. Alors je tente d'aller de l'avant et je me concentre sur ce qui est le plus important. Mes parents, mon boulot pour lequel je suis vraiment bonne et puis aussi mes amis.. On ne peut jamais être sure de ce que l'avenir nous réserve.

(Jayne Atkinson)

i'm unstoppable. i'm a porsche with no brakes. i'm invincible. i win every single game. i'm so powerful i don't need batteries to play. i'm so confident. i'm unstoppable